Posts Tagged 'Transport'

U3-X : entre la beauté et l’horreur

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Question de changer de sujet, voilà une découverte que j’ai bien de la difficulté à qualifier. C’est un « Segway-like » signé Honda, pas encore sur le marché, très compact, comme vous pouvez le voir.

En voyant ça, je me suis dit qu’il y avait un problème. Regardez la vidéo sur NOWHEREELSE : ça m’a tout l’air de ne pas aller bien bien vite. Et ça ne pourrait pas aller bien vite, question sécurité, étant donné que le bolide est si petit et que de le chevaucher semble précaire.

À vue de nez, ça doit ressembler à la vitesse de la marche rapide (pas celle olympique..). Alors, je ne vois pas pourquoi quelqu’un qui n’a pas de problème de mobilité s’achèterait ça?

Il y a quelque chose d’épeurant là-dedans même si le design est vraiment bien foutu.

(Si vous avez vu Wall-E, vous devez sûrement me comprendre…)

Voiture obèse morbide

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Erwin Wurm "Fat Car"

Je suis tombé là-dessus dernièrement. C’est une oeuvre, nommée « Fat Car », de l’artiste autrichien Erwin Wurn.

Il va sans dire qu’il est un artiste engagé :

Malgré une apparence de démocratie, déclare l’artiste, nous vivons sous une forme de dictature économique de plus en plus forte. Les inégalités se creusent et nous vivons les uns les autres dans des réalités de plus en plus éloignées. Mon travail est très lié à ce constat. J’ai été élevé dans les années 1960-1970 et le monde d’aujourd’hui est de plus en plus dominé par l’argent, que ce soit le monde du travail, celui de la mode ou même de l’art… J’en fais partie et par conséquent je pose des questions.

Michael Jackson n’est pas mort!

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Après l’apparition du fantôme de Michael Jackson, voilà la « preuve » qu’il n’est pas vraiment mort. Il s’agit peut-être alors d’une résurrection?

Ça me fait un peu penser à tout ce qu’on disait à propos d’Elvis Presley, après sa mort, comme quoi c’était un complot et qu’il voulait juste avoir la paix.

Elvis attend Michael sur son Île Fantastique, avec le nain Hervé Villechaize

C’est drôle.

Enfin presque.

(Trouvé via un gazou de @cafevrac)

Màj :

désolé, je dois fermer les commentaires.

Prix à la consommation : comme une odeur de prise d’otage

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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)

Il y a de ces choses qu’on sait, mais quand on se les refait remettre en pleine face, elles puent. C’est ce qui m’est arrivé quand j’ai cliqué sur le lien donnant la réponse à la question d’un blogueur : « Combien ça coute à fabriquer les cochonneries que l’on achète? »

Ça m’a mené sur le site Sympatico, section Finances, où on explique combien ça coute approximativement produire un CD :

Le coût pour convertir les chansons d’un musicien en un CD inclut le prix de l’enregistrement et du mixage audio. Il faut aussi payer les droits d’auteur et la licence pour la distribution. Avec les dépenses supplémentaires des matières premières et de l’artwork, James Wilkinson de Goldirock Records évalue le coût de production pour une grande nouveauté à 2,50 dollars. L’album Dangerous – Remastered [de Michael Jackson] se vend présentement à 14,99 dollars.

Le site donne quelques autres exemples. L’iPod Nano (8 Go) coute 96 dollars à produire, « un chiffre qui n’inclut pas le coût de la main-d’œuvre », et il est vendu à l’Apple Store 169 dollars. Pour 300 grammes de café, le plus récent prix était de 85 cents, pour une revente de 5 dollars, après « avoir été torréfié, moulu et emballé ». Pour le riz, c’est 33 cents versus 3 dollars pour un kilo. Les souliers de course, 10 dollars versus 80 dollars (« ce chiffre n’inclut pas les budgets des compagnies en ce qui concerne la recherche et développement, la publicité et le transport »). Les jeans, 20 dollars versus 70 dollars.

D’un autre côté, on apprend que Sony ne fait pas de profit avec sa Playstation 3, mais se rattrape un peu avec son lecteur Blu-ray : 115 dollars versus entre 300 et 350 dollars. Apple avec son iPhone 3G en fait beaucoup moins que les premiers exemples : un prix de vente à 299 dollars pour un cout de production de 208 dollars. Et pour terminer, la voiture électrique Tesla se vend environ 120 000 dollars pour un cout de production de 90 000 dollars.

Je ne remettrai pas en cause ici l’idée du profit, mais il faut avouer qu’il y a de l’abus pour quelques produits, comme les CD de musique. Et il semble que les consommateurs prennent leur revanche en ce moment avec les possibilités de téléchargement illégaux, et même légalement, puisqu’on peut se payer des chansons à la pièce. Mais loin de moi l’idée de blâmer toute l’industrie de la musique. Elle était une pompe à fric pour les grands « majors », pas vraiment pour les petits joueurs, puisque pour ces derniers il n’y a pas de volume, enfin si peu.

Mais pour des produits comme le riz, aliment de base d’une grande partie de l’humanité, c’est tout à fait déraisonnable. Il y a comme une odeur de prise d’otage qui se dégage. L’article dit clairement que malgré une baisse de près de la moitié (de 62 cents à 33 cents le kilo), le prix coutant était à la hausse en 2008. En sachant cela, j’ai le loisir d’opter pour d’autres aliments, et je pourrais très bien arrêter mon raisonnement là…

Humm…

Sur le site Newser, découverte récente, via le Blog à Max, je suis tombé sur un condensé d’article en lien avec les joyeux Hummers. Matthew DeBord, chroniqueur au Washington Post, pense qu’il serait très dommage de mettre la hache dans la production de ces énergivores boîtes à flasher, voire même de les hybrider, afin de ne pas perdre l’American Soul

Il s’explique plus longuement, et j’en fais ici une traduction libre : pour que le mode de vie états-unien fonctionne, l’illusion de l’abondance se doit d’être perpétuée. C’est certain, nous devons nous adapter à un futur qui s’annonce moins abondant en ressources naturelles. … Mais nous devons garder des vestiges de nos vieux rêves pour nourrir notre optimisme national.

Comme moi, ça ne vous semble pas un peu pathétique? Par quelle distorsion de l’esprit peut-on arriver à faire tenir en équilibre l’optimisme d’une nation sur un symbole aussi terre-à-terre que ce moyen de transport caricatural?

C’est par ce genre de propos que l’anti-américanisme (qui devrait plutôt se dire : anti-états-unianisme…) se construit, il ne faut pas se le cacher. Voilà bien le pire de l’idéalisme et du conservatisme réunis.

(Photo : eye of einstein)

Le bol, la broute et le trône

On trouve du bon et du mauvais dans nos médias québécois et La Presse n’est absolument pas en reste.

Du côté du pire, mon collègue blogueur (et inséminateur agréé comme moi!) Sylvain Marcoux a blogué à la blague un reportage gescaien qui a pour but de classer les toilettes publiques de Montréal. On tenterait de damer le pion au JdeM?

Mais du côté lumineux, le chroniqueur environnementaliste François Cardinal a torché un texte ma foi très réjouissant où il donne 10 raisons de se réjouir du prix de l’essence. Ruminons là-dessus! Le point 2 est tout simplement génial, et je fais bien exprès d’utiliser ce terme hautement galvaudé, ils se méritent bien :

2 – La semaine de quatre jours point à l’horizon. Les États de New York et de l’Utah ont modifié l’horaire des fonctionnaires à quatre jours de dix heures pour qu’ils diminuent leur facture d’essence, tout en réduisant la circulation et le smog. L’idée traversera-t-elle la frontière?

Je retiens aussi en particulier le point 3 qui expose la réduction de la vitesse sur les autoroutes, puisque je le remarque moi-même depuis quelque temps. La vitesse maximale ressemblait pas mal à 120-130 km/h avant et maintenant ça ressemble plus à 100-110 km/h. Donc, rouler à 80 km/h sur l’autoroute ne donne plus l’impression d’être centenaire…

En somme, on relaxe ses transports, on relaxe plus longtemps et on se déconstipe sur les bons trônes!

(Photo : Cat Faery et Blackhybride)

Vroum vrum vrm

Regard Urbain propose aujourd’hui un texte en réaction à la nouvelle idée de Julie Boulet, la Ministre des Transports, d’interdire les publicités automobiles faisant l’éloge de la vitesse. Puisant en grande partie son argumentaire sur l’inutilité d’une telle idée (ce qui reste quand même dans la sphère de l’hypothèse et de l’opinion) et la pensée que l’État serait trop interventionnisme, je lui ai répondu :

Si on met bout à bout l’absurdité des publicités qui vantent la vitesse, puisqu’ils font la promotion de quelque chose de plus psychologique que réaliste, et le fait évident que la conduite automobile en dehors des pistes de courses prévues à cet effet est la chose la plus dangereuse en société, je crois que ce genre d’interdiction permettrait de forcer la créativité des publicitaires automobiles, ou mieux, de mettre l’emphase sur la sécurité, parce qu’il faudrait bien qu’automobile rime plus avec sécurité que vitesse. Et on sait très bien quand même qu’à force de répéter, le cerveau finit par faire des liens, surtout les cerveaux pas très entraînés à analyser des signaux…

Autre absurdité, que tu nommes avec ton point 4 : les moteurs trop puissants. Mis à part les polices, les pompiers, les ambulances et les bolides de course, pour le sport automobile, pourquoi quelqu’un aurait besoin d’un moteur plus puissant que la vitesse maximale permise? Et c’est bien ça qui justifie la pub qui vante la vitesse : parce qu’il y a possibilité de, car cette puissance existe.

Alors, je crois que c’est une bonne idée, au-delà de la critique que tu fais de la mainmise de l’État dans nos vies. Parce qu’entre le statu quo et la manière coercitive, je crois sincèrement qu’il y a plus de chance d’amélioration en étant plus sévère sur tous les aspects. Je suis prêt à laisser tomber ma liberté de voir des annonces de chars qui vont vites pour risquer d’avoir moins peur de me faire frapper dans la rue…

Des armes sur quatres roues

Je suis vraiment fâché. Je me promenais en vélo tantôt avec ma copine et, arrivé au coin Champlain et Dollar, à Ville Lasalle, nous attendions tranquillement que le petit bonhomme s’allume pour qu’on s’engage, moi devant, pour aller rejoindre la piste cyclable afin de se rendre chez nous. Je venais d’avoir une petite prise de bec, donc je n’étais pas très pimpant ni joyeux… Donc, le petit bonhomme vert s’allume pour m’indiquer que c’est mon tour, mais, dès que je donne un premier coup de pédale, une voiture me klaxonne. J’entends le conducteur baragouiner quelque chose en freinant et moi je ne me gêne pas pour crier :

– Regarde où tu vas, cal…!

Il m’a contourné et n’a pas demandé son reste, une chance pour lui! J’étais bleu! Rouge comme une tomate, la vapeur me sortait par les oreilles! Je me suis senti un tout petit peu mal parce qu’il y avait un enfant assis sur le siège arrière. Mais je vous jure qu’il n’aurait pas fallu que le conducteur s’arrête et sorte, parce qu’il aurait payé pour tous les autres qui m’ont fait suer depuis belle lurette! Habituellement, je suis doux comme un lapin (ma copine m’appelle souvent comme ça, ou chaton…), mais là je me sentais comme un prédateur, sans pitié et sans merci. Grrr!

Voilà pour l’anecdote. Le comportement de ce crétin est bien représentatif de beaucoup de conducteurs qui pensent que la route leur appartient et qui oublient aussi que les piétons et les cyclistes n’ont pas une cage d’acier autour d’eux, et surtout, que ces derniers ont pratiquement toujours priorité. Je suis bien placé pour le savoir, car je suis justement mes cours de conduite en ce moment même.

Je crois que tout conducteur se doit d’avoir constamment en tête qu’ils peuvent tuer et se tuer avec leurs bolides. Vivement des tests de conduite cyclique pour tous! À tous les cinq ans, ça ne serait pas de trop, question de rappeler à tous les règles de base. Est-ce que vous laisseriez une arme dans les mains de n’importe qui?

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Et là, en cherchant des images, je suis tombé sur une belle image d’un artiste (Benjamin Maloway) qui se trouvait sur un blogue anti-voiture. Je peux vous avouer que j’ai bien aimé cette lecture…

Une simple roue de vélo

Hier soir, je prends mon vélo pour revenir chez moi après le travail. La roue d’en avant fait des sons en frottant sur les freins : un deux de pique a sacré un coup de pied dedans! Il y a vraiment des claques qui se perdent… Malgré l’effort de plus que ça me demande, je décide de continuer. Sauf qu’après 2 minutes, c’est la chambre à air qui explose et mon pneu dégonfle.

En vain, j’essaye d’arrêter un taxi pour me faire embarquer, mon casque sur la tête et mon vélo à côté de moi ne me rendent pas très alléchant pour eux… ou peut-être trop contradictoire? Je me rends comme ça en pestant jusqu’au coin St-Denis et Rachel.

En battant les bras comme un nageur de style papillon, un chauffeur de taxi décide de m’aider. La gentillesse est parfois payante : une course de 25$ pour lui et un baume sur mon coeur!

Je lui raconte ma mésaventure et son empathie est flagrante. Nous échangeons sur l’idiotie de certaines gens, je lui raconte que je vois parfois des jeunes crétins faire du vandalisme gratuit dans les rues à la sortie des bars. Le reste du trajet se passe dans un silence fulminatoire, pour ma part en tout cas…

On arrive à destination, je lui donne un bon pourboire, il me remercie grandement. Alors que je pars clopin-clopant vers chez moi, il me dit quelque chose qui revient à dire que la société est vraiment malade pour qu’il se passe des niaiseries de la sorte.

Il faut que j’aille faire réparer ma roue cette après-midi.

La STM à rabais

Je me sens vraiment ambivalent par rapport à cette grève de la STM. D’un côté, je crois au droit des travailleurs, au syndicalisme et de l’autre, je vois l’illogisme de certaines revendications, le bien-fondé de d’autres, et surtout la problématique que soulève cette grève, même au-delà de la grogne des usagés, dont je suis un des laissés pour comptes. Étant dans la tranche des gens qui sont vraiment pénalisés, je pourrais monter aux barricades, mais je ne le ferai pas, car ce n’est pas ma petite personne qui est importante (je ne veux pas faire la morale à personne, mais c’est comme ça que je le vois).

Le sujet a été beaucoup discuté sur UHEC et un des commentateurs, Frank a amené une bonne idée, qui va comme suit : si les employés de la STM veulent faire suer leurs employeurs, pourquoi alors ils font suer les usagers? Il propose alors que les employés de la STM offrent le service de transport en commun gratuitement à la population. Et, moi, étant donné que je vois une possibilité de problèmes pour eux de faire ça, possibilité d’accusations de vol des deniers publics, et j’ajoute aussi une congestion des transports en commun par une augmentation accrue des usagés (gratuité oblige!), j’ai proposé de donner plutôt un rabais substantiel aux usagés : ce qui ne changerais rien aux gens qui ont déjà la CAM et ferait plaisir aux autres. Donc, une pierre deux coups!

Ajout (24 mai) :

Je viens de tomber sur ce blogue où est très bien expliqué la situation des travailleurs de la STM. Et je joint ici une copie d’un tableau trouvé sur ce blogue, qui illustre bien la différence de salaire avec les autres travailleurs dans le même domaine :


Et, en passant, j’ai envoyé un courriel à la CSN pour qu’ils prennent en considération cette idée de gratuité (ou de rabais). En espérant qu’ils la mettront en pratique. Ils n’ont vraiment pas les moyens de se mettre la population à dos (qui trouve, à tord ou à raison, qu’elle a le dos déjà assez large…).

Quelques complaintes autochtones

Voilà quelques jours j’ai pris l’autobus de nuit. En entrant, j’ai remarqué deux femmes autochtones assises au fond. Dès que je me suis installé, plus vers l’avant, je me suis rendu compte qu’une des deux femmes engueulait quelqu’un, avec une voix traînante qui sentait la robine. Elle le traitait de fucking rat, de looser et de quelque chose qui ressemblait à cob lober

Je regardais les quelques personnes présentes dans l’autobus et tous semblaient mal à l’aise. À un moment donné, je me suis retourné et j’ai vu qu’elle engueulait un homme, qui restait là, crispé, sans rien dire. Quelques secondes plus tard, le chauffeur a crié, en français :

— Vas-tu arrêter de crier? Sinon, j’appelle la police!

Elle a arrêté de crier pendant qu’il disait ça et elle a repris de plus belle une seconde ou deux après.

À quatre heure et vingt du matin, j’étais vraiment tanné de l’entendre et je me retenais de ne pas lui crier un shut the fuck up! bien senti.

À un moment, elle a cessé sa rengaine et les deux femmes se sont misent à chanter une petite ritournelle dans leur langue. C’était presque agréable, n’eût été de la voix de celle qui nous avait tant embêtés auparavant…

Et, on ne sait pas trop pourquoi, le chant a cessé, et la pénible boucle sonore est repartie de plus belle!

fucking rat… …you’re a fucking loser… …you’re a cob lober

Un peu plus tard, le chauffeur a arrêté l’autobus sur le coin d’un boulevard et la femme a demandé si nous étions sur le coin d’Atwater. Il a répondu que oui même si ce n’était pas vrai, nous étions même assez loin (à environ 20 minutes de marche). Elles sont sorties en remerciant le chauffeur (ce qui était assez surprenant!).

Quand il a fermé la porte, les gens se sont mis à ricaner, quelques petits applaudissements se sont même fait entendre. On pouvait voir les deux femmes regarder le nom des rues et, quand elles se sont rendu compte de l’arnaque, elles sont revenues vers l’autobus pour tenter de rembarquer. Mais le chauffeur n’a pas ouvert la porte et il est même reparti, brûlant un feu rouge pour s’éloigner au plus vite.

(Encore quelques ricanements et applaudissement)

En sortant de l’autobus, j’ai remercié le chauffeur, et doublement, en le lui spécifiant par un pouce en l’air et un sourire.

*

Après coup, je me demande encore comment je me place par rapport à cette histoire, étant donné qu’il y a une partie de ma blanchitude qui se sent toujours coupable quand elle voit des autochtones à Montréal dans cet état de décrépitude. Est-ce que le problème social autochtone serait le reflet amplifié de notre propre échec social?


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