Voilà, c’est officiel, je suis déménagé à cette adresse :
http://www.renartleveille.com
Qui m’aime me suive! 😉
(Photo : Werner Schnel)
Opinion, humeur, politique et poésie!
Voilà, c’est officiel, je suis déménagé à cette adresse :
Qui m’aime me suive! 😉
(Photo : Werner Schnel)
Pour avoir la tête dans le cul, je l’ai quand même un peu. Je suis encore légèrement enrhumé (la petite a ramenée ça de la garderie), pas grippé de l’ah! (contrairement au blogueur qui tient Le Gros BS).
J’avais trouvé cette photo naguère sur le blogue de Mazzaroth et je l’avais gardé pour une occasion. J’aurais pu en trouver une meilleure, mais j’ai d’autres photos qui me prennent des onglets et je veux m’en débarrasser pour le bonheur de vos yeux et de votre cerveau. (Parlant de ça, si vous ne connaissez pas encore Pluche, c’est du régal oculaire à la tonne!)
Continuons :
Ça, c’est une photo d’un graffiti de Filippo Minelli. Ça fait partie d’un projet nommé « Contraddictions ». Assez probant merci! On est loin de la virtuosité plate de certains graffiteurs…
Une autre :
Celle-là se passe de commentaires…
Bon, à un autre appel! :
(Crédit : Bobshaw)
Je pense à la chanson « Sortez-moi de moi » de Daniel Bélanger.
Une dernière :
(Crédit : dcapfoto)
Je l’ai gardée pour aucune autre raison que l’effet visuel, et plus tôt en zappant je suis tombé sur une pub d’émission au Canal V où on voyait quelqu’un faire ça. « Distraction » ça s’appelle. Autant cette photo m’interpellait, autant cette émission pas du tout.
De retour plus tard avec (sûrement) plus de substance.
Quand la circulation dans mes neurones sera revenue (un peu plus) à la normale.
Cette grosse larve blanche, c’est un robot. Un robot, nommé Funktionide, qui devrait procurer « un bien être émotionnel ». Il est encore au stade de projet. Dans une vidéo, on le voit se déplacer lentement, et quand il est collé sur la personne, il se contente d’imiter les mouvements de la respiration.
Ce visionnement m’a tiré quelques larmes. Pas parce qu’il y a une petite musique douce et triste (bien que ça aide), mais bien parce que cette chose est en remplacement d’un être vivant.
Vincent Abry pose la question qu’il faut poser :
Serions-nous inconsciemment en train d’apprendre à nous passer des êtres humains et à vivre seul sans contact extérieur ?
Cela nous projette dans un futur qui n’est peut-être pas si loin. Et dans la mesure où notre planète devenue hostile nous contraindrait à rester enfermés, ce gros oreiller ondoyant deviendrait très attirant pour les gens seuls. En ouvrant les vannes de l’anticipation encore plus — et même dans le cas où la planète nous permettrait de humer l’air extérieur —, pour tout le monde, dans le fond, quand les robots seront totalement imbriqués dans notre culture. Ce qui arrivera vraisemblablement.
Je vois bien que ma tristesse est nostalgique. Mais je ne m’y appuierai pas pour critiquer le changement. Je laisse ça aux autres…
Et la blancheur de cet objet est au moins libre, elle permet la projection.
*
Petites réflexions connexes et anecdotes. (Avertissement : ce qui va suivre peut vous choquer…)
Je repense à hier au travail. Il y avait une fille dans le bar pas très avantagé par la nature. Des malformations évidentes. C’est peut-être un préjugé, mais je ne doute pas qu’elle ait de la difficulté à trouver l’amour. Elle ne doit pas souhaiter quelqu’un comme elle. Alors, sa solitude doit peser lourd.
Je repense aussi à une vieille anecdote. J’avais rencontré une fille sur un site de rencontre. Intéressante, jolie et tout. On discute et elle me demande ce que j’aime physiquement chez une femme. Je lui réponds franchement que j’aime les femmes pulpeuses, avec des formes (pas dans le sens d’obèse ni proche de l’être, on s’entend…). Ça l’a contrarié et elle m’a envoyé une photo d’elle en bikini, puisque toutes les photos d’elle que j’ai vues, et même une vidéo, ne montraient seulement que son visage.
J’en suis tombé de ma chaise… C’était visiblement une naine, même si elle n’avait pas le visage typique des nains. Et en plus, moi qui aime les grandes femmes… Je me suis senti très mal, mais j’ai coupé court à la discussion. Elle m’a envoyé un message de bêtises. Je n’ai rien répliqué, par empathie, même si je trouvais stupide sont petit jeu qui lui fait perdre du temps, et aux autres, dans une optique de site de rencontre où on « magasine », justement.
Voilà pour les anecdotes.
Pour aller dans un sens plus général, si on fait entrer là-dedans l’aspect sexuel, ça se complique encore plus. Par exemple, je sais qu’il y a des gens pour désirer sexuellement, par perversion, des obèses très morbides (et même parfois ces personnes obèses se font sacrer là par leurs amants parce qu’elles ne sont pas assez grosses…). Ça doit bien exister aussi pour les exemples que je cite plus haut.
On a beau espérer pour ces personnes un amour vrai et pur, il n’en reste pas moins que les statistiques ne vont pas dans leur sens.
C’est hautement triste, mais c’est la réalité.
Je suis tombé sur un site en cliquant sur un lien venant de Twitter, si je me souviens bien. Toutes les photos qui suivent proviennent donc du site The Chive. J’ai passé un bon moment à fouiller sur le site et j’ai eu l’idée de vous garder mes préférées.
Celle-là, je n’en reviens tout simplement pas… Ça sent le divorce-minute! (Si c’est un appareil numérique qui a été utilisé…)
Ç’a le mérite d’être clair!
Une annonce de Chiclet?
Je ne sais pas pourquoi c’est classé dans la section « weird ugly people exist », ce n’est pas drôle, mais ça vaut le coup d’oeil!
C’est peut-être juste bien personnel, mais j’ai eu le fou rire quand je l’ai vu!
Je me demande si c’est bien ce que je pense, s’il y a un lien avec le vert qui sert à l‘incrustation, donc qu’on pourrait intégrer l’image de n’importe quel gars sur lui… hé hé!
Ajout :
Tant qu’à faire, je l’ai fait!
(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)
Je suis tombé sur cette photo la semaine dernière. Elle m’a troublé.
Au-delà de la confiance aveugle, j’y vois une allégorie de notre condition sociétale. Les anarchistes (enfin, quelques-uns), qui ne doivent plus beaucoup m’aimer, seront peut-être heureux de lire que je vois dans cette photo notre assujettissement au pouvoir.
On nous organise et la majorité s’installe, sans dire un mot, la baloune entre les dents, le risque inhérent étant un concept mou, une suite de lettres sans substance.
Alors, il reste le refus. Le problème, c’est que le refus n’attend que le poids du nombre. Et il ne saurait se décliner en une seule théorie, même une myriade ne saurait faire atteindre le point de bascule puisque c’est l’utilité, la survie qui prime. La philosophie ne rime malheureusement pas avec la survivance, elle est un luxe.
Mais comment ne pas voir la contradiction qui s’installe? C’est la survie qui empêche et entretiens le refus, comme possibilité. La peur de perdre empêche la fuite dans la rébellion, et l’état de survivance est souvent l’étincelle qui l’allume. Et tout cela, toujours dans le déficit.
C’est l’habileté de l’archer, ou plutôt la croyance en son habileté, voire sa virtuosité, qui tient tout ça ensemble. Qu’il soit personnellement et pour la plupart un mauvais homme n’est même pas important. Sa place dans la photo est tout ce qui compte. Et il est interchangeable.
À cette distance, il n’a pas de visage.
J’ai entendu parler de Pedobear, soit l’ours pédophile, via un usager de Twitter. À la base, pour tomber dans un langage spécialisé, c’est un mème (qui pullule sur le web) : « un élément culturel reconnaissable (par exemple : un concept, une habitude, une information, un phénomène, une attitude, etc.), répliqué et transmis par l’imitation du comportement d’un individu par d’autres individus. » (Source : Wikipédia.)
Et la photo qui chapeaute ce billet, je l’ai trouvé sur un site (Encyclopædia Dramatica : un wiki ironique se spécialisant dans les mèmes et autres phénomènes Internet) qui explique qu’il provient originalement du Japon, mais qu’il est maintenant principalement une des mascottes du forum et site d’images 4chan (la version états-unienne du japonais 2channel, où il est né).
Je voulais comprendre, et je suis tombé sur une explication en langue française :
J’ai beau être un nouveau père, je dois avouer que j’ai bien ri en voyant l’image qui suit, trouvée sur un site consacré à cet ours :
Mais bon, en même temps, je ne peux pas m’empêcher de voir où et pourquoi certains seront outrés par tout ça. Par contre, entre le statut de tabou et celui qui frôle la banalisation, on doit se demander, au bout du compte, qu’est-ce qui sert le mieux les enfants?
Niaiseries : le mot est faible. C’est supposé être des apparitions divines, pourtant, si on se fie seulement sur les seules probabilités que ce genre d’images apparaissent quelques fois, par-ci par-là, dans notre monde, il n’y a que dans le cerveau de celui qui regarde que ça peut être ça.
En guise d’introduction, pour ceux qui ne sont pas trop au courant de ce qui s’est passé en art, naguère, ça commence par un tableau de René Magritte (La Trahison des images, 1928-29).
(Le billet se poursuit après les images.)
(Images trouvée sur odee.com, via un billet de Stéphane Pageau.)
Et le pire c’est que j’ai une anecdote familiale à propos d’une image du genre.
Ma grand-mère avait pris une photo dans les nuages en avion où on voyait clairement une représentation du Christ. Elle nous l’avait passé pour que nous puissions la montrer. Elle était sertie dans un cadre en carton.
Mon père, séparé de ma mère, nous recevait aux deux fins de semaine et cette fois-là, c’était mon tour, je devais coucher par terre sur un lit de camp à côté du lit qu’il partageait avec sa nouvelle femme. La photo en question était sur une commode dans la chambre. Nous nous sommes réveillés au matin et le cadre de carton était déchiré en une dizaine de morceaux.
sucer la mort jusqu’à la moelle
ça outrepasse même l’habitude
le gri-gri
l’analyse pseudomachin-chouette
on la tète de toutes les manières possibles
du bout de la tête aux ongles d’orteils
du premier réflexe poupon
jusqu’à la paparmane
on ne fait que ça
c’est pas une raison
(Photo de David Sykes – trouvée sur whitezine.com.)
On essaye de forcer la main de Bob Gainey. Effectivement, hier, dimanche, une manifestation s’est déroulée devant le Centre Bell « pour que l’attaquant russe », Alex Kovalev, « revienne jouer à Montréal. » Aussi, deux pétitions accumulent les signatures actuellement sur le web.
(Pour lire la suite, ça se passe du côté de L’événement sur le web où je remplace Cécile Gladel pour la semaine. J’y expose quelques réactions, dont celles de Nicolas Racine et des blogueurs derrière Histoires de Geek!, Go Habs Go et Habs en Orbite.org.)
Je continue de m’amuser avec Photoshop et l’effet Tilt Shift. J’ai eu l’idée d’essayer avec une image contraire à celles habituellement utilisées, donc j’ai pris une photo d’un coin de mon bureau. L’effet n’était pas très concluant, mais je trouvais que ça donnait un effet théâtral, ce flou. J’ai alors décidé de jouer avec la couleur pour accentuer cet effet, en faisant ressortir les couleurs, le rouge, le vert, le bleu, le jaune, le violet, l’orange, qui se trouvaient un peu partout dans la photo. La luminosité aussi.
Ça m’a fait penser aux couleurs diverses que l’on retrouve dans les tableaux de panier de fruits, les natures mortes, d’où le titre. Nature morte aussi pour d’autres raisons…
Ce billet, je l’écris presque à reculons, il faut que je l’avoue. J’ai peur de passer pour un éternel instigateur de guéguerre, mais je n’ai pas le choix, la marmite est prête à exploser.
Je mène une petite enquête depuis quelque temps au sujet d’un blogueur, celui qui me fait penser à un maringouin. Un blogueur qui me donnait l’impression de tout faire pour faire parler de lui, alors je m’étais juré de ne pas lui faire de pub directe. Juste le confronter directement chez lui et en commentaires ici pour arriver à aujourd’hui où j’ai tenté de laisser ce commentaire chez Patrick Lagacé, à la suite d’un billet où ce blogueur était en vedette :
Je n’en reviens pas Pat que tu prennes au sérieux ce supposé « journaliste »… À moins que tu le connaisses personnellement, et ça soulèverait d’autres questions, puisque je m’en suis déjà posé beaucoup à son sujet.
Premier constat : googler Pascal-Pierre Bradette et c’est presque le néant. Très bizarre pour un journaliste.
Deuxième constat : il est venu commenter chez moi, je l’ai constaté et il me l’a confirmé, il utilise un module anonymiseur pour qu’on ne puisse avoir accès à sa véritable adresse IP. Autant se dévoiler et en même temps autant se cacher. Biz biz biz…
Constat général : un nom surréaliste, une photo qui va beaucoup trop bien avec son ton fendant, un désir qui frise l’absurde de se placer à contre-pied de la majorité, et le fait qu’il se soit retrouvé dans ta blogoliste au tout début de la création de son blogue, ce qui ne semble pas être dans tes habitudes…
Tu ne ferais pas une petite expérience blogosphérique Pat?
Je l’ai envoyé à deux reprises, mais sans succès. J’ai constaté plus tard que d’autres commentaires passaient, ce n’était pas un problème d’absence de modérateurs alors. Les deux premières fois, j’avais ajouté l’adresse de mon blogue comme signature, alors je l’ai envoyé une fois sans, pour voir. Pas plus, et j’ai constaté la présence de nouveaux commentaires… Ça faisait très longtemps qu’on ne m’avait pas censuré chez lui. Pourquoi? C’est rendu une question absurde à mon avis.
Ce qu’il y a de sûr, c’est que ce présent billet où je soulève un foutu gros doute sur la connivence ou la participation de Patrick Lagacé au blogue Pataklow! fera beaucoup moins de vague que si mon commentaire était apparu. Le trafic n’est pas comparable. Alors, passez le mot :
*
Je viens de remarquer en ajoutant la photo que son adresse contient « journaliste_04_moyen.jpg » à la fin. Je vois tellement le topo. Il avait une série de photos de différents visages pour représenter son personnage de journaliste-pigiste, et il a finalement choisi la quatrième.
Màj :
Màj :
En parcourant mon agrégateur, je suis retombé sur un billet récent de PP Bradette où il rentre dedans Patrice Lagacé, comme il l’appelle… Et ce n’est même pas une coquille, il répète la faute.
Même pas besoin d’expliquer, c’est d’un humour… surtout qu’il termine son billet par : « Les plus allumés d’entre nous ne sont pas dupes. »
(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)
De prime abord, il faut que je vous avoue que je n’ai pas du tout été happé par ce qui se passe en Iran et je n’arrive pas encore à m’expliquer pourquoi, exactement. Enfin, pas avant la fin de semaine dernière. C’est que j’ai parlé avec un ami qui m’a fait part de sa vision des choses, vision qui ne cadre pas du tout avec ce qu’on entend par les temps qui courent. Surtout pas en phase avec la pratique qui consiste à afficher sa photo en vert sur Twitter pour appuyer les partisans de Mir-Hossein Mousavi. Et la lecture d’un billet de mon confrère Pierre JC Allard, « Twitter et démocratie », a fini de me convaincre d’aller voir de ce côté.
Premièrement, la CIA. Ils ont fait le coup une fois en 1953 de fomenter un soulèvement populaire afin de renverser un gouvernement démocratiquement élu. C’est assez logique de se poser la question aujourd’hui si ce n’est pas seulement une répétition de l’histoire, avec les moyens technologiques actuels, mais ça ne viendra pas de nos médias « mainstream ». Alors, on va du côté alternatif, mais pointer ça c’est réellement suspect… Parce qu’on ne peut pas réellement rien faire d’autre que soulever la question, étant donné que les seuls échos proviennent de ce qu’on peut appeler le « journalisme citoyen », même si l’expression est galvaudée, via Twitter, YouTube, Facebook, etc.
Parlant Facebook, justement, saviez-vous que « la CIA est un des principaux investisseurs »? « En effet, la vénérable institution n’a pas hésité à y placer 40 millions $ à travers ses sociétés de capital de risque. » Qui me répondra sans rire que le but de ça est seulement pécuniaire? Parlant contrôle, concernant le web plus général, saviez-vous que l’« Iran possède un système à ce point sophistiqué de pistage des paquets Internets qui circulent sur son réseau, et non seulement l’état détient-il un monopole sur tout ce qui se nomme communication, mais il peut aussi prendre le contrôle de ce qu’il veut bien »? En sachant cela, il est tout à fait plausible de douter fortement de ce qui réussit à passer jusqu’à nous, d’un côté comme de l’autre. Entre un agent de la CIA et un simple citoyen iranien, qui a plus de chance de réussite?
Tout le monde sait que l’Iran est depuis longtemps une épine dans le pied des États-Unis. Et la seule manière d’arriver à mater Mahmoud Ahmadinejad, ça serait par la voie arrière, puisque par devant c’est bloqué diplomatiquement. Sommes-nous certain que ce spectacle de Twitter-réalité ne soit pas seulement un spectacle, du moins en partie, pour préparer une quelconque légitimité guerrière?
Je ne dis surtout pas que j’ai raison, mais ces questions se posent. Et là tout « semble revenir à la normale dans les rues de Téhéran, et aucune manifestation n’est prévue » après que le porte-parole du Conseil des gardiens de la Constitution ait annoncé sur une chaîne officielle : « Heureusement, lors de la récente élection présidentielle, nous n’avons constaté aucune fraude ni infraction majeure. Par conséquent, il n’y a pas de possibilité d’une annulation du scrutin. »
Quelqu’un est surpris?
Mes dernières pérégrinations sur le web, les blogues, Facebook et Twitter m’ont fait voir que l’éthique — la néthique, et par extension, la nétiquette, termes qui semblent aussi synonymes — est un thème qui ressort beaucoup depuis quelque temps. Comme une poussée d’acné.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, je juge bon de citer l’article sur la nétiquette de Wikipédia, question de jeter des bases solides à la série de billets que je veux vous proposer :
S’il ne fallait retenir qu’une règle : Ce que vous ne feriez pas lors d’une conversation réelle face à votre correspondant, ne prenez pas l’Internet comme bouclier pour le faire.
Pourquoi ne le ferait-on pas en face? Parce qu’en face, les claques ne se perdent pas…
J’ai quelques exemples à faire ressortir tout au long de cette série, mais le premier en sera un bien personnel, qui m’est arrivé hier. Il y a un froid entre moi et un blogueur (lire : animosité, de son côté), et j’ai tout fait pour m’en éloigner depuis les derniers soubresauts de cette histoire, voilà plus d’un an. Je ne le lis plus, je l’ai banni du mien, mais bon, la blogosphère étant ce qu’elle est, assez petite — encore plus que le monde! — ça m’arrive de tomber sur ses écrits en commentaires ailleurs, puisque nous avons beaucoup de fréquentations en commun.
En sirotant mon café, je tombe sur un billet d’un blogue où on me cite, et le blogueur en question en profite pour exposer tout le mal qu’il pense de moi, même si cette autre personne est déjà parfaitement au courant de notre différend. La même chose, sur un autre blogue. Et ce n’était vraiment pas la première fois. C’est sporadique. Et je ne réplique jamais rien parce que ça fait longtemps que je n’ai plus d’acné…
Le premier blogueur a effacé le commentaire désobligeant et a écrit un billet pour expliquer son désir de neutralité dans les « guéguerres » entre blogueurs, et avec raison. La deuxième a effacé la partie me concernant, dirigeant l’explication en privé, par courriel, avec le principal intéressé.
Ce gars-là a tout à fait le droit de m’abhorrer, mais pas de contaminer les autres espaces avec sa haine pour m’atteindre par un chemin indirect. Et en plus, en regard de la règle que j’expose plus haut, si le gars agissait de la sorte dans la réalitosphère, il aurait sûrement le visage beaucoup plus boursoufflé (et coloré par endroits) que ce qu’on peut voir sur la photo qu’il arbore dans sa bannière (oui, je suis allé une fois, par curiosité…).
Pour vous dire, je commence vraiment à en avoir assez de ces enfantillages. Mais comment les faire cesser? Je me verrais mal faire une plainte à la police pour harcèlement et tentative de ternir ma réputation web…
Je me demande si ça serait possible un boycottage organisé : des blogueurs solidaires à ma cause qui enlèverait son blogue de leurs blogolistes et de leurs agrégateurs pendant un certain temps, par exemple, question de lui faire perdre de la visibilité et ainsi lui faire comprendre que son comportement est inacceptable, et à tous les autres qui font de même, par la même occasion. S’il n’y a pas de lois et de sanctions applicables, organisons notre propre justice! Ça serait comme une épée de Damoclès qui pendrait au-dessus de tous.
C’est une idée que je lance comme ça, en espérant qu’elle rebondisse au bon endroit. Pour ce qui est du moment, c’est là, pas le choix. Mais il y a un côté de moi qui la trouve ridicule cette idée, comme si un problème ridicule trouvait sa solution et qu’elle devait être absolument aussi ridicule…
(Photo : NY_Doll)
Je me suis acheté un programme de lettrage qui s’appelle Art Text. En le survolant pour la première fois, j’ai remarqué qu’on pouvait charger des images. J’ai essayé avec une de mes photos. Ça donne ça. Bizarroïde.
Ce qui suit, je l’ai réalisé après avoir eu un flash à la vue d’une photo d’une utilisatrice Twitter. Il y avait un jeu d’ombres et de lumières qui donnait l’impression de pixélisation dans son visage à certains endroits, de loin. Mais je me suis plus amusé avec la couleur.
Ça me fait penser que l’art numérique a fait un pas de géant avec la dernière couverture du New Yorker, entièrement réalisé sur un iPhone par l’illustrateur, photographe et designer graphique Jorge Colombo.
On est loin du peintre angoissé dans sa cave humide…
Ça, c’est une autre, avec la même technique que la précédente. Faite à partir d’une photo que j’ai trouvée naguère. Une photo d’une tasse brisée, je crois.
Plus décorative, je l’ajoute ici parce qu’elle caresse bien l’oeil, justement.
Ça ne m’inspire pas un poème, non plus.
Elle a un petit côté « fond d’écran ».
Personnellement, mon rhume est sur la pente descendante. La couleur de cette image représente vaguement ce vers quoi je tends.
Un bleu comme ça ne peut pas donner d’envies de noirceur.
Le blogueur Éric de Scotch et sloche pose une foutue bonne question par rapport à cette photo-là : Info ou vidange? Pour ceux qui ne la reconnaissent pas, c’est Rihanna qui venait tout juste de se faire battre par son amoureux Chris Brown. Pour ceux qui ne la connaissent pas, c’est une chanteuse pop, originaire de la Barbade, qui trône plus souvent qu’à son tour depuis quelques années au sommet des palmarès mondiaux. (Voir sa page sur Wikipédia et/ou une recherche d’image sur Google pour voir la différence.)
Donc, à la question de savoir si c’est de l’info ou de la vidange, je ne vais pas m’enfarger dans les fleurs du tapis en écrivant que tout ce qui touche à la musique commerciale, au star system états-unien, c’est tout simplement de la marde, conséquemment ce qui en ressort aussi. Nan… Même si c’est sûrement profitable pour le magazine qui a sorti la photo, elle ne nous parle pas moins. J’irais même jusqu’à dire que pour une fois ce champ de pourriture qui avilit notre belle société pourrait servir à quelque chose de constructif, au lieu de simplement nous gaver de sucre, de calories vides!
Mais c’est certain que mon regard là-dessus est complètement biaisé, vu que j’ai la violence conjugale de tatouée dans ma fibre depuis tout petit. Et il l’est encore plus puisque je gagne ma vie à faire se trémousser les demoiselles, qui par définition préfèrent majoritairement au sang les bonbons… Je leur donne ce qu’elles veulent, et ça fait longtemps que j’ai arrêté de croire que la plus grosse partie de mon travail c’est d’éduquer musicalement une meute en chaleur. Ça me fait même beaucoup plaisir de le faire ce travail. Sauf que j’ai quand même mes limites, justement, je n’ai jamais voulu jouer des chansons de ce Chris Brown : là, ça commence à trop sentir cheap! Un peu comme Celine. Bon, je divague.
C’est dommage, mais les histoires de femmes battues anonymes ne réussiront jamais à faire autant réagir et réfléchir que celle-là et je crois qu’il faut en profiter (même si ça s’avérait au pire une farce de très mauvais goût…). Et les hommes battus ne sont surtout pas en reste dans le calcul. Qu’une ou un trou de cul se permette de violenter la personne qui par définition devrait lui faire le plus confiance, ça ne me rentrera jamais dans la tête comme quelque chose de sujet à débat, sur le fond. Et pis fuck l’alcool et tout le reste comme bémol aux actes! La violence conjugale, c’est la pire des trahisons après l’abus sexuel.
Oui cette histoire pue, mais rien en comparaison de la puanteur des violents de l’amour.
Vous avez sûrement remarqué dans le coin en haut à droite que j’ai ajouté une petite image avec les mots : J’appuie le silence du journaliste Daniel Leblanc. Cela fait référence, pour ceux et celles qui ne sont pas au courant, à la tentative du Groupe Polygone (qui s’appelle maintenant Malcom Media), de tirer les vers du nez du journaliste Daniel Leblanc pour savoir qui est « Ma Chouette« , la source anonyme qui a fourni les informations menant au scandale des commandites.
J’ai piqué la photo et le lien chez Mario Asselin (qui lui l’a trouvé chez Félix Genest). Si vous cliquez dessus, cela mène au texte de Yves Boisvert de La Presse à ce sujet. Ce qui va suivre est un communiqué de la FPJQ, paru sur le site CNW (ça sera plus lisible ici… et j’ai mis en gras un paragraphe très important!) :
Protection des sources des journalistes: le cas de « Ma Chouette » est alarmant
MONTREAL, le 17 févr. /CNW Telbec/ – La Fédération professionnelle des journalistes du Québec s’alarme des manoeuvres qui se multiplient en ce moment devant les tribunaux québécois pour identifier « Ma chouette » nom de code de la source confidentielle du journaliste Daniel Leblanc du Globe & Mail.
Ce journaliste est celui qui a mis à jour l’énorme scandale des commandites au gouvernement fédéral. Son intérêt public a été si considérable que, depuis 2002, il a donné lieu à 91 321 articles de journaux et à 403 119 mentions dans les stations de radio et de télévision du Canada selon les données d’Influence Communications.
Le Groupe Polygone (aujourd’hui Malcom Media) est poursuivi par le gouvernement du Canada qui entend récupérer des sommes qui lui ont été versées dans le cadre du programme des commandites. Polygone se défend en prétendant que le délai de prescription est écoulé. Pour le prouver, Polygone veut savoir qui est la source confidentielle du journaliste, voulant démontrer, si la source est haut placée dans la hiérarchie gouvernementale, que le gouvernement était au courant depuis longtemps et qu’il aurait pu poursuivre à l’intérieur du délai de prescription.
Pour identifier la source, Polygone a usé, avec l’autorisation de la Cour supérieure du Québec, d’une tactique qui menace sérieusement l’intérêt public.
Au lieu d’en débattre en cour, et d’affronter les objections légitimes du journal, les avocats du gouvernement et Polygone ont convenu le 8 septembre dernier « de faire une liste de 22 personnes, toutes, sauf trois, employés fédéraux, afin de répondre par écrit et confidentiellement à trois questions dont l’une est « Etes-vous la personne identifiée dans ledit livre (« Ma Chouette » de Daniel Leblanc ndlr) sous le nom de code Ma Chouette? » Il était ordonné aux 22 personnes interrogées de n’en parler à personne.
La FPJQ s’insurge contre les tentatives qui durent depuis deux ans et qui se poursuivent ces jours-ci d’identifier une source confidentielle dont l’action a été salutaire pour la démocratie et les citoyens du pays.
Deux facettes de l’intérêt public s’opposent ici, l’une qui veut que la justice doive s’exercer pleinement en s’appuyant sur toutes les preuves disponibles et l’autre, le droit du public à l’information, qui exige que les sources puissent parler confidentiellement aux journalistes sans craindre de représailles.
Si l’identité de « Ma Chouette » devait être révélée, ce serait un avertissement terrible envoyé à tous les membres de la fonction publique : ne dites plus rien, taisez les scandales dont vous êtes témoins car votre identité pourra être révélée en cour et votre carrière se terminera là.
Les quelques millions en jeu dans l’affaire Polygone sont clairement moins importants que la possibilité de garantir aux fonctionnaires la possibilité de révéler les malversations de l’Etat. La protection de l’identité des sources est, dans ce cas-ci, une manière de garantir une plus grande transparence de la chose publique et une meilleure qualité de vie démocratique. Ce n’est pas un privilège pour les journalistes.
La FPJQ croit plus que jamais qu’il faut une loi pour assurer la protection des sources des journalistes, comme celle que le député bloquiste Serge Ménard a piloté jusqu’en 2e lecture l’an dernier. Sans une telle loi, les sources confidentielles resteront toujours à la merci d’avocats zélés et de juges qui comprennent parfois mal cette autre facette de l’intérêt public que sont la liberté de presse et le droit du public à l’information.
Renseignements: François Bourque, président, FPJQ, (418) 686-3394; FPJQ (514) 522-6142
En regardant des photos de ma fille, je me suis rendu compte de la grande différence entre les dernières semaines et sa première journée de vie, telle que je vous l’avais présenté ici. Ça change, c’est pas possible! C’est pour ça que j’ajoute celle-là, pour lui rendre un peu justice. Et en attendant de l’avoir dans mon porte-feuille…
Non, mais, quelle belle aventure rose bonbon! (Sans oublier ce qui est plus jaune… hé hé!)
Non mais quelle semaine! Mon attention s’est beaucoup porté sur le conflit israélo-palestinien et un peu aussi sur le Bye-Bye, puisque j’ai remplacé encore Cecile Gladel chez BRANCHEZ-VOUS! Par contre, j’ai choisi ce dernier sujet pour mon billet du jour sur Blogosphère, où je fais un petit tour de piste, en formule « jour ouvrable ».
L’image qui coiffe ce billet représente bien la dichotomie actuelle et elle accompagnait originalement un billet là-bas. Justement, si vous ne me fréquentez pas ailleurs qu’ici, ou que c’est votre première fois, voilà pour vous une sélection de mes illustrations préférées, puisque je me suis donné comme résolution, quand j’ai obtenu cette place, de fournir des images personnalisées au lieu de photos.
Bonne fin de semaine!
Ajout :
Et ça continue au sujet du Bye-Bye…
Inquiétudes : Point de Presse.
À lire absolument : La toute vérité sur le Bye Bye.
Bonnes questions : Suivez l’Argent.
Gros coup de gueule contre Angelil.
Patrick Lagacé commence à perdre patience…
J’ai déménagé ici le premier de l’année 2008 et, selon mes statistiques, mon blogue approche à grands pas de la 250 000e visite, ce qui devrait arriver dans environ 3-4 jours. Alors, ça sera assez facile de dresser un petit récapitulatif basé seulement là-dessus. Donc, rien de subjectif.
Selon ces données, l’année 2008 a été fortement marquée par Julie Couillard. Deux billets à son sujet se retrouvent dans le top 8 des « Articles les plus consultés » :
« Enfin, une autre photo de Julie Couillard! » (en première place avec 35 349 visites) et « Julie Couillard strikes again! » (en sixième place avec 1 603 visites).
La plus grande curiosité se trouve à la deuxième place. C’est un billet où je raconte une anecdote au sujet du seul tatouage que j’ai :
« Le plus petit des tatouages » (avec 3 467 visites).
La troisième place est aussi curieuse :
« Portrait de Bush formé à partir de photos de militaires morts au combat » (avec 2 402 visites).
La quatrième place me fait bien plaisir. Comme quoi on vient ici un peu pour découvrir du nouveau :
« Blogoliste » (avec 2 246 visites).
Pour la cinquième place, c’est le billet qui draine le plus les recherches de cul (et qui doit faire en même temps beaucoup de déçus…) :
« Si votre mari suggère l’accouplement » (avec 1 693 visites).
En septième, c’est la page qui me présente :
« Renart, en vrac » (avec 1 243 visites).
Et, finalement, en huitième, mon billet au sujet de l’excellent André Sauvé :
« André Sauvé, l’extraterrestre » (avec 1 189 visites).
Cela n’est vraiment pas représentatif de mon expérience au jour le jour avec vous. Je vous reviendrai avec quelque chose de plus consistant. Mais la curiosité reste quand même agréable!
(Photo : cessrichte)
J’ai reçu à 2h53 un beau commentaire d’un anonyme très original qui se surnomme (donc m’appelle) « Renart l’endormi ». Ce qui est le plus drôle, c’est que je me souviens clairement qu’on me niaisait en m’appelant « Pascal l’endormi » en première année…
Parce que je traitais Le Prodige des pauvres de pleutre (et pour cause : il n’a pas osé inscrire son lien vers son blogue à la suite d’un commentaire assez insultant concernant la photo de ma bannière — « C’est tu toi la photo du gars a moitié fou qui rit à s’en décrocher les molaires ?? Parce que… »), ce génie est venu écrire :
Pleutre pleutre pleutre… Que de belles insultes d’un beau gros prétentieux qui aime se sentir intéressant avec son blog plein de prétention.
Sauf que depuis quelque temps, toutes les fois que je reçois des commentaires qui me mettent la puce à l’oreille (insultes, nouveau commentateur, ambiguïté quelconque, etc.), je fais une recherche d’adresse IP dans mon tableau de bord.
Or, premièrement, il s’avère que ce commentaire provient d’une adresse du Gouvernement du Québec (RAMQ) et que je me souvenais en avoir déjà vu une ici. Était-ce la même? J’allais le savoir assez rapidement…
Donc, je tape l’adresse 142.213.19.254 et le programme fait le reste.
Un dénommé Kilo, supposément un DJ, avec qui j’ai entre autres discuté musique, qui me disait qu’il aimait bien mon blogue. Agréable en général.
Un autre qui signait « Pffff….. », qui avait été un peu loin dans un commentaire, mais qui s’était rétracté.
Et, le comble de la surprise, Le Voyou du Bayou, le gars dont je suis l’ennemi (peut-être) numéro un (ça sera à lui à me donner le haut du pavé, je ne suis pas prétentieux à ce point…)!
Alors, des questions : est-ce que cette adresse IP est utilisée par plusieurs utilisateurs? Dans le cas où la réponse est non, pourquoi ce gars-là n’est pas capable de s’assumer avec un seul pseudonyme, étant donné qu’il est capable d’une plus grande palette d’émotion que seulement de la hargne envers moi, visiblement, avec ses diverses personnalités?
La balle est dans son camp. Surtout que j’ai décidé d’écrire ce billet au lieu d’envoyer une plainte à la RAMQ. Je ne suis pas certain qu’ils aimeraient savoir qu’un (ou plusieurs) de leurs employés écrit des insultes sur les blogues à partir des ordinateurs du bureau (et pendant les heures de travail?)…
(Dessin : adrienportugal)
Comme vous le savez, à défaut de consacrer toute ma vie à en faire de la façon requise, j’aime bien parler d’art contemporain. En ce jour d’Halloween, voilà, ci-haut, un exemple d’un concept génial qui démontre bien où en est rendu l’art aujourd’hui, et ce qui le différencie de l’illustration.
Il y a là-dedans les deux éléments, dichotomiques, les plus importants de cette fête : l’horreur et l’enfance. Les clichés convenus pour illustrer l’Halloween consistant à ne montrer que l’horreur, sans faire entrer le niveau sociologique. Et c’est là où le regard artistique va plus loin que l’illustration. L’illustration s’occupant de développer une « manière », un style, un crayonné (un coup de pinceau!), un graphisme aguichant pour l’oeil, ce qui est aussi très bien. Et ce n’est surtout pas une tentative de dénigrer les illustrateurs…
C’est convenu, les détracteurs de l’art contemporain pointeraient, dans l’exemple de la photo de l’ourson aux ciseaux, une certaine facilité technique : c’est donné à n’importe qui de faire ça! La belle affaire…
Pour ma part, je regarde ça et je suis juste jaloux de ne pas avoir eu cette idée, parce que je sais très bien, contrairement à la population en général, que ce n’est pas donné à tout le monde.
(Trouvé via My Arts)
Selon le National Post, trouvé via Goudaille, Justin « fait caca » Trudeau serait le choix canadien numéro 1 à la chefferie du PLC.
S’il devient un jour PM of Canada, bonjour la souveraineté du Québec!
(Montage-photo : Neil Obstat)
Tenez, je fais un Patrick Lagacé de mon moi-même et vous demande de m’aider à comprendre le trouble que je ressens à la vue de cette photo. Et la référence à Lagacé est encore plus drôle quand on sait qu’il aime beaucoup le groupe U2, dont on y voit le chanteur en pâmoison…
(Trouvé chez Fumed.)
Mauvais Oeil
Published juillet 7, 2009 blogosphère , Critiques , humour 10 CommentsÉtiquettes : agent immobilier, agressant, ancien français, animal, canular, chiot, collaboratif, collaboration, Comment se débarrasser d'un animal de compagnie, corporatif, discutable, fiction, Google, goupil, Hier j'tais chaud, humoristique, humour, humour noir, image, Impression, Jean Simard, légende, Lucien Goupil, Mauvais Oeil, médiéval, mignonne, nom commun, Nouveau, oeuvre, Oops, parfum, Pascal-Pierre Fradette, Pataklow!, Patrick Lagacé, personnage, Petite fille, photo, populaire, poussière, projet, propos, Pseudonyme, pub, Publicité, réalité, Renard, Renart, retombée, sarcasme, sérieux, site, sujet, surréaliste, tordante, we're dead!, Web
Visitez mon nouveau blogue : http://renartleveille.com/
Vous devez trouver que cela détonne beaucoup de mon propos d’avant à ce sujet, et vous avez bien raison. Autant je pouvais trouver discutable et même très agressant le blogue Pataklow!, autant là je trouve qu’on entre avec Mauvais Oeil dans une certaine justesse : c’est de l’humour noir bien ficelé, et qui surtout ne donne pas l’impression de vouloir se situer outre mesure au-dessus de la ligne entre la fiction et la réalité. Patrick Lagacé avait beau écrire, « évidemment qu’on a affaire à un type qui s’amuse à appâter les gens dénués d’humour et handicapés du sarcasme », j’ai encore l’impression qu’il fallait être au parfum pour le savoir… Entre avoir l’impression de se trouver devant un canular et de se trouver devant une oeuvre (humoristique), il y a autant de différence que de recevoir une bine ou un coup de deux par quatre!
Alors, voilà, un autre de plus pour accompagner les Hier j’tais chaud et Oops, we’re dead! de ce monde.
(Petite note comme ça en passant à propos du nom de famille de Lucien Goupil. En ancien français, le goupil était le nom commun donné à l’animal que l’on nomme aujourd’hui le renard. Je crois que ce changement dénominatif provient du populaire personnage médiéval Renart — d’où provient mon pseudonyme. Pour ce qui est du changement du « t » au « d », ma théorie est que le « d » est plus pratique en français pour créer de nouveaux mots comme « renarde » et « renardeau ».)
Màj :
J’ai oublié d’indiquer que ce message apparaît lorsqu’on laisse un commentaire :
Ha ha ha!