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Ç’a été long, mais chose due, chose faite, je l’ai lu ton Vamp. Et je m’incline bien bas, mon cher Christian.
Comme un chocolat pur cacao à 99%, je l’ai grignoté à petite dose ta brique, m’explosant les papilles, humant ton mistral a plein poumon, pour en épuiser ensuite l’esprit pendant que j’expirais.
Désolé, mais je n’ai pas d’autres images que celles se rapportant au goût et à l’odorat qui me viennent. C’est plein d’épices, d’arômes, étourdissants.
Je me suis retrouvé aussi, en toi, en tes amis de galère, revenu en arrière dans l’époque, puisque les vingt ans sont immortels, malgré les différences d’âge : il y a une trame commune, quelque chose dans le sang des enragés de vivre.
Alors, tu m’as eu, je m’abonne.
Abonnement à vie puisque indélébile sous et sur la peau.
Tu t’es fait tatouer « Christian Mistral » ? 😉
Il faudrait bien que je lise ça prochainement! Tu me donnes le goût 🙂
Vautour, la suite, est un excellent roman. Sur l’amitié, entre autres sujets. Je t’encourage à le lire, si ce n’est déjà fait.
Noisette,
cours vite à la librairie! 😉
Alsalvas,
bienvenue ici!
Vamp était mon premier de la série, j’étais vierge de Mistral. Et je compte bien continuer, comme je l’indique avec ma finale : « je m’abonne »…
Fuck, Maître Renart, c’est le bout de la marde pareil, je débarque chez vous pour te lire et rattraper mon retard, et je tombe sur ce beau et généreux billet portant sur ta lecture de moi et du retard que tu rattrapes. Pas de danger qu’on m’en aurait informé. Si quelqu’un me blaste en Cybérie, crains pas, y a toujours quinze amis pour me l’écrire avant que les pigeons ne se mettent à roucouler sur mon balcon et que les gentrificateurs ne se mettent à gentrifier à grands renforts de scies électriques crissantes, c’est-à-dire très tôt. Mais les mots sweet, faut que je les trouve tout seul, sans les chercher, faut quasiment que je m’enfarge dedans.
Suis content, Pascal, que ça t’ait plu. Attention, toutefois: le monde pourrait croire à te lire que tu viens seulement de me découvrir, et moi toi, or nous ne sommes guère ce qui s’appelle vierges…
Bizz, old boy.
C’est comme ça. Pour ça qu’au Téléjournal les bonnes nouvelles sont plutôt rares…
Bizz too!
Et, comme ça, en passant, quand est-ce que tu te mets à Twitter? Me semble que tu enjoliverais cet univers.
Y a déjà bien assez de Twits dans l’univers, trop en fait pour que je suffise à l’enjoliver un peu sans en crever beaucoup.
Juste une suggestion. Sans blague, je pense souvent à toi quand je suis là-dessus.
Depuis que Hemingway a écrit sa nouvelle en six mots (« For sale: baby shoes, never worn. »), la considérant comme son meilleur travail, je vois mal comment faire mieux, en faire autant, faire presque aussi bien.
Faire différent?
Bon, j’arrête… 😉
Première véritable visite sur ce site. J’aime bien certaines choses bien spécifiques de l’oeuvre de Mistral, mais les amis, il faudra arrêter de vous caresser l’un l’autre en public comme cela. C’est indécent, et franchement je n’aime pas du tout.
Quant au livre de Christian, si je réussis à trouver le temps, je prendrai le temps de lire et d’émettre une critique.
Salutations,
PPF
Bienvenue ici!
« il faudra arrêter de vous caresser l’un l’autre en public comme cela. C’est indécent, et franchement je n’aime pas du tout. »
C’est plutôt rare que je fasse état de mes coups de coeur, et je ne vais surtout pas m’en empêcher quand j’en ai le désir par pruderie ou par toute autre règle de bon goût…
Prends pas le temps de lire, dude, critique tout de suite, la vie est courte. Moé pis Renart, on se mignote au beau milieu de l’autoroute de l’information, on perd pas dix minutes pour trouver un motel!