Tiens, sujet névralgique (ha ha!), sur le peu de billets apparus ce matin (j’ai le matin tard…) dans mon agrégateur, deux sont au sujet de Pierre Foglia, de sa chronique du jour en lien avec l’histoire complètement inintéressante au sujet d’un, quoi déjà, d’un gouverneur qui s’est trempé le pinceau à la mauvaise place et à trop gros prix. Ah! j’allais oublier qu’il a mis, par sa bévue, une autre couche sur le cliché du politicien amoral et menteur, comme s’il n’était pas déjà assez fourni ce cliché, pour ne pas dire coulé dans le bronze pour la postérité…
Mistral le congratule, Foglia, pas Eliot Spitzer, et Gaétan Bouchard s’en sert comme tremplin pour plonger dans le sexe. Y’a même Antipollution qui exhibe une photo de la nouvelle star péripatéticienne, ce qui est finalement le but inconscient de tout ça : voir de la chair par un chemin plus propre, puisque la politique c’est du sérieux!
Bon, pour revenir à nos moutons, moi, Foglia, je ne le congratule pas, je tangue, comme expliqué chez Mistral :
Ah! moi, et je sais que mon opinion compte pour du caca, de plus en plus j’en prends et j’en laisse de Pierre Foglia. Par exemple, j’ai essayé de lire au complet la chronique pointée ici et non, ç’a fini par m’emmerder royalement with cheese… (Moi et les cheeseburgers, c’est deux!)
Des fois, je le lis et je crie au génie, des fois, j’ai l’impression de lire une vieille qui parle de dentellerie.
Tout ça pour dire que je le trouve très inégal.
Ouin, je sais, de ma part, c’est de l’écriture de fin de semaine (et je remarque qu’Antidote pointe « fin de semaine » comme étant un québécisme, ha ha!)…
Je ne suis pas à une dérogation près.
Je vous avais averti.
(Photo : Églantine – et par mon titre, je ne veux surtout pas insulter la photographe…)
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