Posts Tagged 'Fraude'
Vincent Lacroix plaide coupable
Published septembre 22, 2009 Caricature 8 CommentsÉtiquettes : 115 millions de dollars, 200 chefs d'accusation, arrêt, complot, Coupable, crime, fabrication, faux documents, fondateur, Fraude, investisseur, juge, libération, médiatisé, Montréal, Norbourg, palais de justice, peine, plaidé, procès, procès pénal, processus judiciaire, rejet, requête, Richard Wagner, Vincent Lacroix
La cravate dans le tordeur
Published août 26, 2009 économie , politique , société 11 CommentsÉtiquettes : avenir, électoral, banque, Bonheur, catégorie, Charest, Citoyen, Code criminel, conseiller financier, Conseiller.ca, cravate, crime, crime économique, criminel, Cyberpresse, Earl Jones, enjeu, fonds d’assurance, Fraude, Gouvernement, Harper, investisseur, Janet Watson, l’affaire Norbourg, le blogue de l'édito, Majorblog.net, Patrick Lagacé, Pauline Marois, Pétition, personne, politique, PQ, réveil, réveille-matin, registre canadien des victimes de fraude économique, Sentences Plus Sévères Pour Les Criminels à Cravates, sentiment de culpabilité, victime, vigilance, Vincent Lacroix
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Le gouvernement Charest s’est finalement réveillé et veut maintenant serrer beaucoup plus la cravate aux criminels qui en portent, comme Vincent Lacroix et Earl Jones. Quand on sait que le PQ et beaucoup de citoyens mettaient de la pression depuis quelque temps dans ce sens, on se demande bien où ils ont trouvé tout ce courage…
(Pour lire la suite, ça se passe du côté de L’événement sur le web.)
Le « Mad » à « Off »
Published juin 30, 2009 économie , opinions 2 CommentsÉtiquettes : 150 ans, 65 milliards, actuel, Affaire, affairiste, asocial, Économique, états-unien, Bernard Madoff, bonne conduite, Canada sixième, canadienne, candidat, complexité, crime, criminel, crise économique, disposition, escrocs, extraordinaire, faits, finance, financier, Fraude, fraudeurs, gigantesque, habituel, homme d'affaires, investisseurs, Justice, monde, peine, préjugé, Prison, prison ferme, prisonnier, pyramidale, riche, superstructure, système, vingt ans
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Bernard Madoff, le plus grand criminel financier de tous les temps a reçu une peine extraordinaire de 150 ans de prison et ça ne doit pas faire grand peine à personne… Petit rappel des faits : il a floué des investisseurs, petits et grands, dans une fraude pyramidale qui totaliserait des pertes entre 50 et 65 milliards. Signe des temps?
(Pour continuer votre lecture, ça se passe du côté de Pascal Henrard, que je remplace.)
Le spectacle iranien tire à sa fin
Published juin 24, 2009 monde , opinions , Twitter , Web FerméÉtiquettes : 1953, 40 millions $, alternatif, annulation, État, États-Unis, élection, élu, chaîne officielle, CIA, Citoyen, communication, Conseil des gardiens de la Constitution, contrôle, Démocratie, démocratiquement, diplomatiquement, Facebook, Fraude, Gouvernement, guerrière, Histoire, infraction, Internet, investisseurs, iran, iranien, journalisme citoyen, légitimité, Lecture, logique, Mahmoud Ahmadinejad, majeure, Manifestation, médias, Mir-Hossein Mousavi, monopole, moyens, paquet, partisan, photo, Pierre JC Allard, pistage, présidentielle, question, répétition, réseau, renverser, scrutin, sociétés de capital de risque, soulèvement populaire, Spectacle, suspect, Téhéran, technologique, Twitter, Twitter-réalité, Vert, Web, YouTube
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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)
De prime abord, il faut que je vous avoue que je n’ai pas du tout été happé par ce qui se passe en Iran et je n’arrive pas encore à m’expliquer pourquoi, exactement. Enfin, pas avant la fin de semaine dernière. C’est que j’ai parlé avec un ami qui m’a fait part de sa vision des choses, vision qui ne cadre pas du tout avec ce qu’on entend par les temps qui courent. Surtout pas en phase avec la pratique qui consiste à afficher sa photo en vert sur Twitter pour appuyer les partisans de Mir-Hossein Mousavi. Et la lecture d’un billet de mon confrère Pierre JC Allard, « Twitter et démocratie », a fini de me convaincre d’aller voir de ce côté.
Premièrement, la CIA. Ils ont fait le coup une fois en 1953 de fomenter un soulèvement populaire afin de renverser un gouvernement démocratiquement élu. C’est assez logique de se poser la question aujourd’hui si ce n’est pas seulement une répétition de l’histoire, avec les moyens technologiques actuels, mais ça ne viendra pas de nos médias « mainstream ». Alors, on va du côté alternatif, mais pointer ça c’est réellement suspect… Parce qu’on ne peut pas réellement rien faire d’autre que soulever la question, étant donné que les seuls échos proviennent de ce qu’on peut appeler le « journalisme citoyen », même si l’expression est galvaudée, via Twitter, YouTube, Facebook, etc.
Parlant Facebook, justement, saviez-vous que « la CIA est un des principaux investisseurs »? « En effet, la vénérable institution n’a pas hésité à y placer 40 millions $ à travers ses sociétés de capital de risque. » Qui me répondra sans rire que le but de ça est seulement pécuniaire? Parlant contrôle, concernant le web plus général, saviez-vous que l’« Iran possède un système à ce point sophistiqué de pistage des paquets Internets qui circulent sur son réseau, et non seulement l’état détient-il un monopole sur tout ce qui se nomme communication, mais il peut aussi prendre le contrôle de ce qu’il veut bien »? En sachant cela, il est tout à fait plausible de douter fortement de ce qui réussit à passer jusqu’à nous, d’un côté comme de l’autre. Entre un agent de la CIA et un simple citoyen iranien, qui a plus de chance de réussite?
Tout le monde sait que l’Iran est depuis longtemps une épine dans le pied des États-Unis. Et la seule manière d’arriver à mater Mahmoud Ahmadinejad, ça serait par la voie arrière, puisque par devant c’est bloqué diplomatiquement. Sommes-nous certain que ce spectacle de Twitter-réalité ne soit pas seulement un spectacle, du moins en partie, pour préparer une quelconque légitimité guerrière?
Je ne dis surtout pas que j’ai raison, mais ces questions se posent. Et là tout « semble revenir à la normale dans les rues de Téhéran, et aucune manifestation n’est prévue » après que le porte-parole du Conseil des gardiens de la Constitution ait annoncé sur une chaîne officielle : « Heureusement, lors de la récente élection présidentielle, nous n’avons constaté aucune fraude ni infraction majeure. Par conséquent, il n’y a pas de possibilité d’une annulation du scrutin. »
Quelqu’un est surpris?
Une crise économique digne d’un suspense
Published septembre 24, 2008 économie , opinions , politique , société FerméÉtiquettes : État, États-Unis, échec, économie, épargne, étatisme, Bank Holding Company, banque, bénéfice, Bernard Élie, Capitalisme, Consommation, crise, Croissance, cupidité, dilemme, endettement, environnemental, faillite, finance, financière, Fraude, Gérald Fillion, Goldman Sach, hommerie, Hou-Hou Blog, Houssein, hyperconsommation, investissement, Le Blogue du Québécois Libre, Libertarien, Liberté, magie, marché, Martin Masse, maximum, modèle, monnaie papier, Morgan Stanley, Politiques, portefeuille, profits, pyramidale, réglementation, rendement, Social, société, spéculation, surinvestissement, suspense, système, taux d'intérêt, UQAM
Le billet qui va suivre est une collaboration au blogue « Les 7 du Québec ». Les commentaires ici seront fermés. Pour suivre la discussion et/ou laisser un commentaire, c’est par là-bas que ça se passe.
Devant la crise économique états-unienne qui nous tient en haleine, et en plus en crescendo, il y a bien sûr deux solutions diamétralement opposées, soit plus de réglementation pour encadrer le monde de la finance, soit un abandon total de la mainmise étatique sur l’économie. Je peux vous avouer ici que le dilemme est pour moi puissant. Deux lectures récentes m’ont influencé dernièrement sans que je puisse vraiment pencher d’un côté ou de l’autre. Il s’agit du billet « La fin d’un modèle », du Hou-Hou Blog, et de « Le château de cartes financier s’effondre » de Martin Masse pour le Blogue du Québécois Libre. J’espère pouvoir trancher à la fin de ce billet, mais je ne suis pas très optimiste.
Le premier, Houssein, prend pour preuve la restructuration des banques d’investissements indépendantes Morgan Stanley et Goldman Sach en société financière de portefeuille (Bank Holding Company — beaucoup plus sujette aux réglementations étatiques) pour affirmer que le « système financier hors de tout contrôle » est en faillite, et que c’est « un aveu des géants de la finance, un aveu d’échec : nous avons gaffé, nous n’y arriverons pas tous seuls, nous avons besoin de l’aide de l’État, et de garde-fous qui nous empêcheraient de faire des conneries dans le futur. »
Le deuxième, le libertarien, explique que le gros du problème concerne directement l’intervention de l’État, et pas seulement la réglementation : « on se prépare déjà à d’autres faillites en chaîne, le système financier étant construit sur une gigantesque fraude pyramidale, dont la base est constituée par la monnaie papier ne valant rien que nos banques centrales impriment en quantité industrielle depuis des années, et dont elles inondent les marchés par des politiques de taux d’intérêt maintenus artificiellement bas et d’autres techniques d’intervention encore plus directes. »
Voilà pour la mise en situation. Nous sommes en face de deux réalismes bien distincts qui prennent chacun le pouls de la situation selon leurs paradigmes bien impossibles à concilier, au premier abord. Tandis que le premier culpabilise les financiers quasi à outrance, le deuxième refuse totalement d’admettre leurs torts. Mais Martin Masse a beau écrire que la « cause première n’est pas la “cupidité des marchés” », il faut bien admettre que les requins de la finance nagent dans l’eau du système en place et qu’ils se sont servis où ils pouvaient se servir. Un changement vers « moins de réglementation et plus de liberté dans les marchés financiers » ne les rendra pas moins voraces et plus soucieux des répercussions sociales et environnementales de leurs activités. Ça, je n’y crois pas. L’hommerie ne disparaîtra pas par magie en coupant les tentacules de la bête nommée État.
Tant que le système économique n’aura pas été remanié en profondeur, j’aurai tendance à me ranger du côté d’Houssein, tout en prônant un retour à une économie basée sur autre chose que de l’air… ce qui sied très bien à la pensée de Martin Masse. En espérant que cela ressemblera à faire de la haute voltige sans filet de sécurité.
J’aimerais terminer avec un commentaire trouvé sur le carnet de Gérald Filllion, qui cite les mots, éclairants, du professeur d’économie Bernard Élie, de l’UQAM, ce qui me semble faire le pont entre les deux :
Toute crise économique est toujours due à un surinvestissement, qui a pour but d’atteindre une croissance de plus en plus élevée. La crise qu’on connaît aujourd’hui a été provoquée par cette recherche d’avoir toujours des rendements maximums en ce qui a à trait aux bénéfices des sociétés financières, peu importe les conséquences. La spéculation et toutes ces aventures de crédit sont complètement déconnectées de la réalité « vraie ». Actuellement, une des principales caractéristiques de notre capitalisme, c’est l’hyperconsommation et l’endettement au détriment de l’épargne. C’est, en quelque sorte, une fuite en avant en faveur de la consommation. La maximisation des rendements et des profits, toutes les crises économiques commencent comme ça…
La contravention de Lafleur
Published avril 5, 2007 Canada , opinions Leave a CommentÉtiquettes : Canada, Cyberpresse, Fraude, Gouvernemental
On comprend que M. Lafleur soit revenu faire face à la justice quand on regarde quelques chiffres. Selon l’article paru dans cyberpresse, « il fait maintenant face à 35 accusations de fraude, totalisant près de 1,6 million $ » tandis que sa compagnie « a obtenu pour environ 65 millions $ de contrats du gouvernement fédéral entre 1995 et 2003 ». De son côté, il « a empoché 36,5 millions $ en commissions, honoraires et dépenses de toutes sortes. »
À plus petite échelle, ça ressemble beaucoup à une contravention à payer…
Et j’ai l’impression que cette histoire n’est que la pointe de l’iceberg.
4,5 millions $ par année de nos impôts dans ses poches, ça aurait fait combien de problèmes de réglés de la part du gouvernement canadien? Bon, c’est de l’histoire ancienne…
Ajout:
Et Il plaide non-coupable (rire jaune)…
Autre ajout:
Non mais, nous les petits payeurs, on peut bien être aigri en lisant des trucs comme ça: Les 54 députés qui quittent recevront 4,3 millions $
Et encore ça: Trois millions en allocations pour les députés battus
C’est le party dans les grandes sphères gouvernementales!!!
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