Pour s’améliorer, il faut accepter de se faire dire ses vérités. Pour accepter de se faire dire ses vérités, il faut s’améliorer. Et le meilleur chemin pour entrer dans le noeud de cette dynamique se trouve en dehors des sentiments.
Pensée du jour
Published mai 1, 2008 philosophie , société 20 CommentsÉtiquettes : amélioration, dynamique, pensée, Photographie, sentiments, vérité
Renart, toutes vérités ne sont pas toujours bonnes à dire !
Je m’en suis rendu compte aujourd’hui meme. Mais ma grande gueule je ne suis pas capable de la fermer.
Antipollution,
la manière, la manière, voilà la clé! Mais il y aura toujours des gens susceptibles…
Reblochon,
dit m’en plus, je ne suis pas certain de te suivre…
Si toute vérité n’est pas bonne à dire, ses vérités sont toujours bonnes à entendre en fin de compte…
Je préfère qu’on me dise ce qui ne tourne pas rond, plutôt qu’on fasse semblant que ça n’existe pas…
Je suis allé sur le blog de la charmante noisette… et j’ai dit ce que je pensais, meme si mon intention n’etait pas de la blesser. Je pense que j’ai encore fait fort !
Petit, ma mere me disait (en parlant de moi) : 5 ans pour apprendre à parler, une vie pour apprendre à se taire.
De taire pour apprendre 😉
se taire :p
Oui c’est une autre possibilité à envisager. Mais malgré ce que l’on croit, j’ecoute enormement, meme quand je parle. Ca m’a permis d’apprendre plein de choses.
Sinon investir dans une entreprise de ruban adhesif ou aller à l’assemblée nationale quand il passe une loi avec le baillon.
Il n’y va parfois que de la façon de dire la vérité…
Le Détracteur,
toujours avoir un doute général sur soi-même est déjà un bon bout de fait…
Reblochon,
« Petit, ma mere me disait (en parlant de moi) : 5 ans pour apprendre à parler, une vie pour apprendre à se taire. »
au moins, tu en es conscient! 😉
Lusciousloba,
bienvenue ici! 🙂
@Renart: Ceux qui n’ont pas de doutes sur eux-même ont un sérieux problème d’égo 🙂
Exact!
Le doute est le plus puissant des moteurs!
Que veux-tu, je suis une émotive 😉
Sinon, je suis d’accord!
Noisette,
ça serait bien d’avoir un bouton pour mettre en veille ses émotions…
Sieur Goupil,
je ne sais pas à quoi votre pensée du jour réfère, mais au risque que vous me trouviez éminemment cul-cul, je vous dirais que pour faire accepter à quelqu’un ses vérités, une bonne dose de compassion est presque toujours indispensable…
Morgane,
ah! c’est certain! Et cette compassion passe par une bonne dose de diplomatie. Mais ma pensée est en lien particulier avec la personne qui se fait dire ses vérités. Et quand on se fait dire ses vérités, il est tellement facile de gonfler sentimentalement ce que l’autre dit, d’où l’idée d’y mettre un bâillon…
Ouais, bon, ne connaissant pas la personne qui s’est fait dire ses in vino veritas, moi pas être plus avancée…
Serait-ce Michel Brûlé ?
(Je sais, je sais, j’ai une fixation malsaine… ça, ce sont mes 4 vérités à moi…)
Quoi qu’il en soit ! Facile pour moi de te parler de compassion, de tact et de courtoisie, je suis du genre trop directe avec des gants de boxes même pas blancs !
« Il est plus facile d’être sage pour les autres que pour soi-même », disait La Rochefoufou.
Par contre, quand je reçois des insultes, je préfère qu’elles soient proférées d’un ton compatissant et diplomate…
😉
“Par contre, quand je reçois des insultes, je préfère qu’elles soient proférées d’un ton compatissant et diplomate… ”
C’est sûr. Moi aussi, ultimement.
Mais, à trop tourner autour du pot pour être fin, il arrive que le message ne sorte jamais de la bouche de celui ou celle qui devrait s’exprimer … au moment opportun. Et ça, ça cause souvent plus de troubles que de risquer de brusquer « un peu » les trop sensibles en laissant les gentillesses de côté au profit de l’efficacité de la clarté dans nos communications directes.
Enfin, pour ceux qui ne se froissent pas avec les aléas sociaux que cela peut engendrer.
Billet et commentaires intéressants.
Salute!
Morgane,
« ne connaissant pas la personne qui s’est fait dire ses in vino veritas »
ce n’est pas une personne en particulier, mais bien seulement ce sujet-là.
Ha ha! Michel Brûlé! Je trouve aussi souvent le moyen de le ploguer à toutes les sauces!
Et salute à Françoisb!
Une vie pour apprendre à comment dire les choses, voilà ce que ma mère aurait pu dire à mon sujet… :o)