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Denise Bombardier et le Bye-Bye

denise-bombardier-en-meduse

J’écoute pour la deuxième fois l’entrevue qu’a donné la bombardière ha! ha! re-quant. Je n’ai pas trop l’habitude d’ouïr ou de zieuter ses écorchures à celle-là parce que je trouve que c’est majoritairement des propos bas enrobés de hauts mots. Les borborygmes qu’elle a servis sur le 98,5FM n’y font pas exception.

En gros, malgré ses justifications, elle se sert de cette tribune pour se venger d’une petite blague du Bye-Bye à son endroit avec des théories boiteuses, blague dont je me souviens à peine… Elle trouve que ce spécial de fin d’année a franchi « toutes les limites de l’infranchissable, toutes les limites des tabous, des interdits, pensant que c’est drôle » (les concepteurs on s’entend!). Pousse, mais pousse égal! On ne parle pas de ce qui se passe dans la bande de Gaza…

Elle continue en disant que le fait que des gens, individuellement, aient trouvé ça drôle n’est pas un critère pour « évaluer si c’était drôle ou pas, si c’est acceptable socialement ou pas ». Et c’est bien sûr elle la Grande Juge pour nous l’expliquer, pauvres crétins que nous sommes!

Donc, exit l’humour noir, méchant, critique, caustique, grinçant, surtout à l’endroit des personnalités publiques. Selles de boeufs! Elle voudrait avoir l’immunité pour cause de notoriété, moi je dis que personne n’est intouchable, surtout par l’humour!

Seul point positif, elle n’a pas été aussi pathétique que la fan tordue de Celine qui s’est fait entendre sur YouTube (et qui ne veut se faire entendre maintenant que par ses amis…).

Le confort de l’anonymat et autres divagations blogosphériques

Si vous avez écouté le Gala Blogu’Or au complet, vous avez sûrement remarqué la présentation de Philippe Schnobb en lien avec l’anonymat (pour le revoir, c’est dans la deuxième partie, à la 3e minute — le minutage n’apparaît que dans la version YouTube). En gros, il invite les blogueurs et blogueuses à se démasquer pour que leurs écrits paraissent plus sérieux et crédibles. Pour ma part, il a fallu que je me dévoile pour cette raison, même si je signe encore de mon pseudonyme mes textes. La question est revenue alors que j’ai commencé ma contribution chez Branchez-vous! et ça me trotte bien sûr encore en tête…

Je crois que Philippe Schnobb a un peu raison, bien que cela ne semble pas si simple. Pour avoir entendu et lu divers membres de la blogosphère me raconter les raisons de leur anonymat, j’ai bien de la difficulté à voir la situation d’une manière monolithique comme quelques personnes semblent la voir. Je crois que les anonymes sont bien conscients du déficit de crédibilité au niveau des médias et d’un lectorat plus conventionnel, mais cela ne semble pas affecter le dynamisme de leurs blogues, au jour le jour.

Pour ma part, je regrette mon ancien sac de papier brun car depuis quelque temps un ancien-ami, dont notre relation s’est terminée d’une manière assez houleuse merci, m’a retrouvé. Il a commencé par m’envoyer un message haineux ici, que j’ai bien sûr modéré. Je lui ai répondu très poliment via son adresse de courriel, et il a surenchéri de la même manière qu’auparavant. J’ai décidé de ne pas lui répondre parce que je n’ai pas de temps à perdre avec le passé (surtout quand c’est visiblement inextricable et fortement négatif), et, après quelques jours, il a recommencé à commenter à s’acharner ici comme tout bon troll sait le faire : je l’ai alors ajouté dans mes indésirables pour ne plus avoir à le lire (ma black list, pour les intimes…).

Bien sûr, il y a pire dans la vie, mais je crois que c’est ce genre de situation que les gens ne veulent pas vivre. Pour beaucoup d’autres, c’est pour le travail que ça semble problématique. Enfin, chacun a un peu ses raisons, et il serait bien mal venu pour les gens qui exposent leurs vrais noms de juger du choix des autres de le cacher…

Mais le plus drôle dans tout ça, c’est que Philippe Schnobb a sévi dans un Gala qui est l’oeuvre des très très anonymes La Fêlée et L’Exivrogne

Parallèlement, ça me fait penser au thème de la blogoliste, sujet sur lequel j’ai échangé depuis deux jours sur le blogue Je vais jouer dans vos plates-bandes. Ça m’a donné le goût de faire un peu de ménage dedans. Donc, j’ai enlevé en majorité les blogues inactifs depuis 2 à 3 mois, et les autres pour d’autres raisons personnelles. Au total, presque 25. Il en reste beaucoup, mais au moins c’est un peu plus éventé, enfin, plus logique : donc, plus de visibilité pour ceux qui sont actifs. Comme j’écrivais sur ce blogue, « je considère ma blogoliste plus comme mon panorama de la blogosphère que comme le résultat d’un jugement précis et calculé. »

Et le pire, c’est que mon agrégateur est rempli de blogues que je devrais y ajouter…

Aussi, pendant que j’y pense, je me demande bien pourquoi Patrick Lagacé n’a pas glissé un seul mot sur le Gala… je le considérais un peu comme le parrain symbolique de cet évènement.

(Photo : chrismaverick)

Il était une fois…

Mon ami Eric, la dernière fois que je l’ai vu, m’a prêté un film qu’il a loué, n’ayant à le retourner qu’une semaine plus tard. « Once » que ça s’appelle. Il me décrit ça comme un film musical, je lui rétorque que je n’aime pas les comédies musicales, « non c’est pas ça » qu’il me dit, alors un « opéra rock? », non plus… Il me montre un extrait sur YouTube, intense, presque trop. Il m’explique un peu l’histoire, intéressante, mais je pars quand même avec le DVD quasi à reculons…

Je convaincs Douce de nous y mettre dans la soirée, ça n’a rien coûté de toute façon… Bien au chaud dans le lit conjugué unisexe, nous trouvons la manette et play! Le début du film c’est l’extrait, que je trouve encore plus coup-de-poing sur écran moyen.

C’est donc l’histoire d’un réparateur d’aspirateur qui compose à temps perdu des chansons, qu’il chante dans la rue la nuit. Et ça se poursuit sur une rencontre avec une jeune fille qui le poussera à se dépasser.

Les chansons accompagnent l’histoire un peu comme dans une comédie musicale, mais toujours sans forcer et surtout sans flaflas, ce qui est très agréable à suivre et à entendre. J’ai acheté le surlendemain la bande sonore. Il va donc sans dire que je le conseille, et fortement, si vous n’êtes pas allergique au folk un tantinet romantique.

En somme, un bon petit film très réaliste, sobre, vibrant, parfait pour une soirée de couple. Les célibataires, surtout filles, s’y retrouveront aussi.

Alors voilà, je crois que je viens de payer mon visionnement…

André Sauvé, l’extraterrestre

Steve Proulx a créé une page Facebook en l’honneur de l’humoriste André Sauvé. Si vous ne le connaissez pas, visionnez cette vidéo (où il présente les finalistes pour un prix au gala des Oliviers, vidéo que je viens à peine de découvrir), et même la totalité de ce que vous pourrez trouver sur le web, ça vaut la peine (l’ami Détracteur Constructif en a déniché quelques-unes pour vous). Si vous l’aimez déjà, joignez-vous au groupe pour signifier votre appui et contrebalancer les mauvaises critiques qu’il a eu dans les journaux, et, si vous ne l’aimez pas, je n’ose même pas écrire ce que je pense de vous… hé hé!

Il fait des chroniques dans l’excellente émission de Marc Labrèche, 3600 secondes d’extases, et je n’en reviens pas comment son humour est déstabilisant, par rapport à ce qui se fait généralement ici, sans toutefois dénigrer personne, mais il apporte un vent, non je dirais plutôt une bourrasque, de fraîcheur!

À la dernière émission, il nous entretenait sur le stress et, après de bons conseils sur la relaxation, il a formulé un avertissement dans le cas d’un relâchement extrême : si vous vous retrouvez dans un couloir avec une lumière blanche au bout, et qui vous semble irrésistible, revenez sur vos pas!

Être ou ne pas être… né pour un p’tit pain

Dominic Arpin nous parle aujourd’hui de l’histoire de Jon Lajoie, diminutif de Jonathan Lavoie.

Jonathan Lajoie, le comédien, joue au Québec dans L’auberge du chien noir et Jon Lajoie, le réalisateur-humoriste-auteur-compositeur- interprète indépendant, s’apprête à faire le saut à Hollywood, U.S.A.

Ça me parle beaucoup, au-delà du merveilleux pouvoir du web, et vous?

Gorillaz en vie

J’adore cette chanson du groupe de Damon Albarn. Mais le plus étonnant, c’est que l’animation 3D qui nous permet de voir les personnages du groupe Gorillaz est un hologramme. La toute dernière technologie. C’est magique.

(Trouvé via Le Détracteur constructif, pour plus d’infos.)

Le temps, c’est de l’argent…

Avec la chanson « The Final Countdown », je ne peux qu’y voir un mur… bam!

Un vaccin contre la Ladygripette?

Vous avez sûrement, comme beaucoup de gens, entendu parler de Ladygripette, la dame qui expose sa nullité vocale, ainsi que celle de sa famille, sur You Tube. Le pire, c’est que je ne l’ai même pas écouté une seule fois… (J’ai seulement écouté son fils jouer au lutteur-(ou-boxeur)-qui-annonce-qu’il-va-y-avoir-du-sang!)

Et vous me direz que je parle « à travers mon chapeau », mais non, justement, si c’est si populaire, c’est qu’elle ne doit pas être très bonne! Et je suis un popomane trop sensible pour me faire écorcher les oreilles! Je laisse ça à d’autres

Je me demande bien pourquoi le monde s’intéresse à ça. Pour se remonter le moral? Parce qu’il n’y a pas assez d’humoristes au Québec? Parce qu’ils ne sont pas assez drôles? Parce qu’elle habite dans la même ville que Mario Dumont? Parce que la politique, c’est plate?

Je vais m’acheter une caméra prochainement et, après avoir fait un examen de conscience pour trouver la chose avec laquelle j’ai moins de facilité dans la vie, je vais me filmer en train de pocher dans ce domaine et inonder ensuite You Tube du résultat! Peut-être, et je dis peut-être, qu’il y aura une infime minorité qui s’intéressera alors à ce que je crois être capable de faire assez bien…

Alors que j’ai trouvé la photo de la « Chanteuse Country-Retro » (tel que vu sur son profil You Tube), et qui orne ce billet hautement intellectuel, hé hé!, j’ai regardé rapidement les nombreux commentaires laissés là-bas et il est clair, avec la qualité du français qu’on y retrouve, qu’il s’agit de « drop out » (une expression anglaise c’est toujours « winner » pour se faire comprendre!) du système d’éducation québécois (enfin, j’espère…).

Je m’apprête à appuyer sur « publier » et je tremble, mais pourquoi donc?

Hé hé!

Maquillage à bas prix

Une autre super bonne de Jean-François Mercier!

StSanders / Metallique – Uno

Tant qu’à être dans le comique, je continue sur ma lancée, et je vous jure que j’ai pleuré en voyant ce vidéo-clip modifié. J’ai trouvé ça chez Parce qu’y a pas juste les chips qui sont croustillantes !

Fatigué?

Il fait beau dans l’métro!

En regardant ça, on se demande presque pourquoi il y a si peu de gens qui prennent les transports en commun…

Ajout :

Ça, c’est du bon incitatif!

La prédiction

Jump around!

Mon Facebook est en feu! Je reçois de mes amis une quantité incroyable de vidéo sur mon FunWall, tous plus incroyable et drôle les uns que les autres. Celui-là est pas piqué des vers, hein?

Mama Africa

J’écoute cette chanson en boucle depuis tantôt et je viens de voir la vidéo pour la première fois à l’instant sur YouTube. Je ne pouvais pas m’empêcher de le partager avec vous, pour la simple et bonne raison que j’adore le reggae et que cette chanson fait partie de mes préférées.

Enjoy!

Akon/MamaAfrica(lyrics)

So much so much love
So much
So tell me can you feel it
So much so much yeah
Ya know
Make that visit
So much so much love
So much
Senegal can you feel it
So much so much yeah
So much
OOWW!

So much love to share
Pure blackness, oneness so rare
So much love to care
Let them know they’re missin’ out
Mama Africa has
so much love to share
Sweet blackness, oneness be there
So much love to care
Let them know they missin’ out
Sing again

A
This is for all the love
And the life took away
F
Don’t forget we were born in trade
R
ripped from the land and shipped away
I
Is the inspiration we used to survive
C
Have to see it with your own cries
A
Don’t play
Add it up and alright

Still ya don’t know
Land is so gold and green
The place is so fresh and clean
And everyday I water my garden
Tell if you feel it deep in your heart and
The space is so cool and nice
Visit once, guaranteed to visit twice
And if you just believe in the most high
I know you’ll be alright

Mama Africa has
So much love to share
Pure blackness, oneness so rare
So much love to give
And let them know they’re missin’out
Mama Africa you
So much love to share
Sweet blackness, oneness be there
So much love to care
and let them know they missin’ out
Sing again

A
That’s my favorite place when I need to get away
F
Must forget but we can’t forget to pray
R
Like Lance ridin’ on the runway
I
In my homeland and I’m feelin’ so alive
C
Hear me chant Africa unite
A
Gonna accept the mass alright

Still ya don’t know
Skin is so dark and brown
She lifts me right off the ground
But no ya not gonna see it on ya tv
So yo just listen up and believe me
Her trees have the only cure
Her love is so blue and pure
Had to kiss them troubles goodbye bye
No I don’t have to lie mama Africa, you got

So much love to share
Pure blackness, oneness so rare
So much love to care
Let them know they’re missin’ out
Mama Africa
So much love to share
Sweet blackness, oneness be there
So much love to care
And let them know that they missin’ out
Mama Africa

So much so much love
So much
So tell me can you feel it
So much so much care
So much
Make that visit
So much so much love
So much
Senegal can you feel it
So much so much care
so much
Ooow!
So much love to share
I just can’t see how we livin’ without it
So much love to care
Don’t miss don’t miss one moment about it
So much love to share
Resist this bliss yo I really doubt it
So much love to care
so much love
So much love to share (ooh yeah)
Pure blackness, oneness so rare
(Thoughts had crossed my mind)
So much love to care
Let them know they’re missin’ out
(Feelin’ it all the time)
so much love to share
Sweet blackness, oneness be there
so much love to care
Let them know they’re missin’ out
Sing again

Inland Empire : poésie audio-visuelle

Inland Empire. Hier. Un moment passé avec la liberté d’expression pure. Celle à laquelle tout artiste fantasme, incroyablement laide et belle à la fois dans ce cas-ci, nous déjouant d’autant plus, ou moins, selon son degré de liberté qui atteint une quintessence inégalée en bout de course. (Le générique est un chef-d’oeuvre en soi!)

Comme tous les films de David Lynch, j’attendais cette dernière livrée avec une impatience tranquille depuis Mulholland Drive : qui pourrait servir d’introduction à Inland Empire, pour quiconque ne connaîtrait pas ce réalisateur. Mais je voudrais rajouter pour ceux-là que son oeuvre est de moins en moins accessible, donc que ce dernier est très très loin de ce qu’on nous sert habituellement en salle et en boutique de location : c’est plus un délire visuel que du cinéma, comme on l’entend du côté d’Hollywood (le fait que l’« action » se passe à Hollywood, justement, n’est sûrement pas étranger à ça…). Alors, je fais cet avertissement pour ne pas recevoir de commentaires de bêtises plus tard…

Avant de louanger cette oeuvre plus en détail, j’aimerais ajouter un bémol (celui de la longueur du film en est un autre, mais ce n’est que mon corps qui en a souffert…). Et il s’agit du choix de l’image numérique (bien qu’il soit moins coûteux et plus facile à travailler et à retravailler, selon l’avis de Lynch). Quand le film (que je ne devrais pas appeler ainsi, car ce n’est pas du film), quand la présentation a commencé, j’avais presque l’impression de regarder un vidéo sur YouTube sur écran géant. Le même effet de contraste pas très subtil, la même espèce de pixelisation aléatoire, donc, une texture assez agressive qui contraste avec le support sur pellicule qui sert à la projection en salle, avec la poussière et les saletés en prime. (Cet effet devrait être moins évident en DVD, les écrans maison étant beaucoup plus petits.) Et, tout au long du visionnement, étant donné que la facture numérique et sa qualité étaient plus ou moins évidentes, je me suis demandé si Lynch a varié cette qualité pour servir son propos. Il faudrait que je le revoie avec cette optique, ou que je fouille un peu sur cette question sur le web. Peut-être…

Mis à part ça, je me suis régalé. Ce maître de l’autoréférencement a joué cette carte à fond, ce qui amène un côté presque humoristique à cette oeuvre, assez sombre et cauchemardesque à la base. Il se joue de nous en nous faisant basculer d’une émotion à son contraire pour nous déstabiliser. Et c’est bien là l’intérêt de voir cette oeuvre cinématographique. L’histoire du remake d’un ancien film inachevé où les deux vedettes auraient été tuées ne sert qu’à nous asseoir pour mieux nous faire décoller vers « Là-haut dans les lendemains bleus (On High in Blue Tomorrows) », titre du scénario dudit film.

L’autre force de cette oeuvre est l’utilisation des acteurs pour différents rôles, procédé qu’il utilise aussi dans Mulholland Drive d’une manière plus floue. Mais ici, ce procédé est encore plus probant et presque plus « logique », car tout le scénario est construit autour de l’acteur versus son personnage, et de ce qui peut en découler comme questionnements et parallèles. Donc, le point de vue se promène d’un à l’autre, et où se greffe aussi d’autres points de vue métaphoriques, un peu comme dans le classique de la vidéo où la caméra filme l’écran, qui se retrouve à l’infini reproduite : j’utilise cet exemple, car justement, il y a une très belle scène où Lynch s’en inspire.

J’ai lu quelques critiques de ce film (je vais quand même utiliser ce terme, à défaut d’un meilleur, plus à jour…). La comparaison avec le rêve revient souvent et c’est bien vrai : au premier abord certains éléments semblent absurdes, tant dans les liens que dans la pertinence, mais il y a moyen d’en faire une interprétation, et, comme le dit lui-même le réalisateur dans d’autres mots, ce n’est pas tant de trouver celle de David Lynch que celle que le spectateur se forgera par lui-même. Pour ma part, je compare encore plus ce film à la poésie : une oeuvre poétique qui se sert des moyens cinématographiques. Le lien avec l’image, la métaphore, le rythme est assez éloquent. Quel art est plus pur et libre que la poésie?

En somme, si la création et la liberté vous intéressent, courrez voir ce film.


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