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C’est quoi le problème avec Pierre Côté?

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Le clown tristeComme je le relatais le 2 décembre dernier, je me suis intéressé au projet de Pierre Côté nommé « Realtime Réalité ». Assez pour pouvoir dire que j’ai même essayé d’aider le gars, avec l’aide de plusieurs utilisateurs de Twitter. Je voyais même d’un bon oeil une collaboration future :

j’aimerais que chaque lundi soir on se retrouve pour jaser de choses et d’autres, ce qui s’est passé dans l’actualité, sur les blogues, etc. Je serais bien ouvert à préparer un petit quelque chose

Mais bon, si vous n’êtes pas au courant, mon énergie a commencé à baisser, plus le mois de décembre avançait. De son côté, après le 12 décembre, il a disparu du web, les gens se demandaient ce qu’il advenait de lui (il est finalement réapparu le 4 janvier). Ce n’était pas bien difficile d’arriver à la conclusion qu’il n’allait pas très bien lui non plus. Il m’est même passé par l’idée d’essayer de le joindre par un moyen ou un autre, mais j’en avais assez de me battre avec ma propre condition. Et on n’a pas gardé les cochons ensemble, quand même…

Un peu plus tard, par je ne sais quel hasard, je me suis rendu compte qu’il avait arrêté de me suivre, et quelques personnes dont @minicstecroix qui avait, par deux fois, coanimé avec lui. En fait, il a arrêté de suivre pratiquement tous les francophones qu’il suivait avant (il est devenu ainsi un Twitter snob — il me semble qu’auparavant son ratio abonnés/abonnements ressemblait au mien). Drôle de comportement pour quelqu’un qui fait la promotion de l’interactivité et qui voudrait que son projet fonctionne…

Alors, pour en avoir le coeur net, je lui ai adressé hier ou avant-hier ce message sur Twitter :

pourquoi tu as arrêté de suivre plein de gens, dont moi — qui a essayé de t’aider avant les Fêtes?

Il ne m’a pas répondu, alors je le lui ai envoyé en commentaire sur son blogue et il ne l’a pas fait paraître ni y a réagi. À l’heure qu’il est, je ne m’attends plus à rien. C’est pathétique. Et je sais que plusieurs personnes l’interpellent, dont @TVQC qui m’écrivait tantôt qu’il essayait de lui proposer quelqu’un d’intéressant pour son émission, toujours sans réponses.

Les relations virtuelles sont parfois difficiles, mais là ça dépasse les bornes. Malgré le fait que je ne sais aucunement ce qui se passe réellement dans sa tête, je ne peux qu’y voir un grand manque de respect, comme si pour lui l’interactivité n’était qu’un mouchoir à jeter après usage, dans son sens le plus méprisant.

J’ai cette histoire en tête depuis un mois et ce billet est un bon outil pour m’en débarrasser (aussi bien sûr pour l’archiver…). Et, je peux vous avouer que ça me rend plus triste que ça me fâche, quoique, peut-être plus ex aequo.

En tout cas, tout cela est un trop-plein d’incompréhension qui compose un mystère pas très ragoûtant, comme cette phrase abracadabrante…

Dommage, car ce gars-là a du talent, mais pas le principal pour ce qu’il veut faire, soit l’entregent.

Malgré tout, je ne peux même pas lui souhaiter de se planter…

Un dinosaure dans la blogosphère

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Dans ce monde virtuel, malgré une veille assez large, malgré des alertes Google, malgré la technologie de notification des liens entrants, l’humain est toujours utile. C’est qu’à la suite de mon premier billet en lien avec le suicide de Nelly Arcan, quelqu’un est venu m’indiquer qu’un autre commentateur, qui signait « Georges Fedorov », était en fait Maurice G. Dantec, romancier (surtout de la science-fiction) et essayiste (dans la mouvance conservatrice — il « défend ouvertement le rétablissement de la peine de mort au Canada »). Mais à la base, pourquoi avoir endossé cette burqa anonymisante au lieu de commenter courageusement et ouvertement?

Autre bavasserie de l’utile humain : l’écrivain a pondu, suite à son séjour en mes terres (hé hé!), une galette (objet de forme ronde et plate) où il vise mon blogue et/ou moi et/ou les gens qui nous regroupons ici pour discuter. Et la répétition des « et/ou » n’est pas une tentative stylistique, tout ça me fait encore barboter en pleine confusion…

Lisez plutôt :

Le premier mensonge que la société québécoise post-modernisée est en train d’élaborer, c’est qu’elle n’est absolument pour rien dans cette « mort volontaire » (c’est en effet le mot juste), et surtout qu’il s’agit là de la « mort d’un être humain », entendez : comme tous les autres.

Un « être humain » comme vouzémoâ, avec ces pulsions maladives, ces problèmes personnels et professionnels, relationnels et intimes, bref, ce mensonge a pour but d’ôter toute singularité à ce qui fore le mystère du suicide d’un écrivain. Car c’est en tant qu’écrivain (sic) que Nelly Arcan a été « suicidée » ; comme le dit fort justement, et dans une perfection lapidaire, une certaine CalamitySandrine sur un blog québécois (1)  où j’ai vainement tenter de discuter, « on l’a tuée de sa propre main ». Mais comment cette société, qui a produit les conditions suffisantes et nécessaires à l’émergence puis à la disparition d’un tel écrivain (sic), aurait-elle le cran de se regarder bien en face, dans le miroir de ses constantes trahisons ?

Le blog en question est à ce titre tout à fait représentatif de cette tendance, j’oserais dire cette force d’attraction collective vers la pop-psychanalyse, l’humanisme new-age, l’égomanie consensuelle et le syncrétisme post-moderniste, on est ici pour verser quelques larmes, en précisant parfois que l’on n’a rien lu d’elle (quel intérêt, en effet, s’agissant d’un écrivain) et s’offusquer dès lors que l’on ose remettre en question le « modèle québécois », qui est précisément le seul et unique responsable de cette mise à mort dont il s’agit de supprimer toute la singularité en la mixant aussi vite que possible dans le « moule démocratique ». Cet appendicule de la sphère internet aura forgé sans le savoir la nécessité d’écrire ce texte, tout autant qu’il aura servi de test « en temps réel » des formes diverses et variées qu’a prises le néo-conformisme démocratique. Pour un blog se dénommant sans rire « carnet résistant », c’était disons… cohérent avec l’époque.

Et, en fin de texte :

1- Il se reconnaîtra assez vite sans que j’ai besoin de le citer.

Et là, je viens de relire ses commentaires à la suite de mon billet et je crois comprendre que l’homme n’est pas loin d’être un analphabète du web 2.0 (une preuve de plus, il publie ses billets sur un site statique) :

Vous n’êtes pas le seul blog dans ce cas

Je pouvais bien ne pas comprendre : pour lui, il semble que mon blogue est une entité fermée, un système, pas un espace de diffusion de mes productions et surtout, d’interaction libre. En vérité, ce n’est pas un monolithe idéologique : des gens avec des avis très divergents viennent croiser le fer ici, mais il a réussi à tous nous mettre dans le même panier. Il n’a pas compris que la blogosphère, dont je fais partie, mais pas lui (et c’est bien son droit), est un ensemble de paniers percés (dans le sens que tout est mis en place pour que l’information circule), et surtout, sans agendas.

Et j’en arrive à cette conclusion parce que je n’ai pas théorisé au sujet de ce suicide dans mon billet, non plus en commentaire. Je me suis repris un peu dans mon deuxième billet, mais je ne crois pas qu’il l’ait lu, puisque j’ai bien mis l’emphase sur le fait que je crois (comme lui — enfin, en partie) que ce suicide est singulier (surtout au niveau de ses répercussions dans la société). Alors, comment peut-il pointer le « cas » de mon blogue si le principal intéressé (moi) n’a, pratiquement, que lancé le sujet? Parce que Renart L’éveillé n’a été seulement qu’une petite crotte dans son calcul. En conséquence de quoi, je me sens nullement insulté, juste intrigué, comme devant un grand puzzle dont je n’aurais pu voir le résultat final dans sa totalité afin de me guider (et le pire, c’est que ces casse-têtes existent, j’en ai déjà donné un à Douce).

Aussi, comment dois-je comprendre sa notice de fin de texte où il m’annonce que je vais me reconnaître « assez vite »? Pensait-il avec une assurance disproportionnée que je suis un de ses lecteurs assidus? Désolé, mais ce n’est pas le cas. Si ce n’avait été du porte-panier qui est venu m’annoncer la grande nouvelle, il aurait écrit quelque peu dans le vide… (Tout cela m’a quand même fait penser d’ajouter « carnet résistant  » à mes alertes Google, je l’en remercie). Et, pendant que j’y pense, justement, qu’est-ce qu’il a bien pu vouloir dire par « se dénommant sans rire « carnet résistant », c’était disons… cohérent avec l’époque. »? (Si je puis l’expliquer rapidement, en choisissant « carnet résistant » je voulais jouer avec la dichotomie entre l’image — humoristique — de la solidité matérielle et la résistance abstraite, plus explicitement au simple fait de ne pas céder au silence confortable — donc, objectivement, M. Dantec aurait pu nommer son propre site de cette manière et cela aurait été très logique, puisque, même s’il ne se réclame pas de la même pensée que la mienne, nous avons en commun quelque chose comme un désir de sortir la tête de l’eau pour voir où le courant va — ce que j’ai l’impression de partager avec la majorité de la communauté virtuelle, enfin, celle que je côtoie le plus…)

Encore plus, j’aimerais comprendre d’où il tient que mon blogue est représentatif de la « pop-psychanalyse », de « l’humanisme new-age », de « l’égomanie consensuelle », du « syncrétisme post-moderniste » et du « néo-conformisme démocratique ». Serait-ce moi qu’il vise, ou l’ensemble de l’oeuvre, incluant les contributions des autres blogueurs et simples commentateurs? J’opte toujours pour le deuxième choix, et ça me semble complètement surréaliste, comme je le soulève dans mon titre. Le dinosaure arrive avec ses gros sabots, cependant myope comme une taupe.

Et comme la vie est souvent faite de beaux hasards, je suis tombé plus tôt via Twitter sur un très bon billet de Thierry Crouzet où il arrive à la conclusion que les critiques assassines du web que fait le philosophe Alain Finkielkraut sont finalement basée sur sa non-maîtrise de l’outil :

Finkielkraut finit par avouer qu’il ne sait pas surfer, qu’il ne sait pas se servir de l’outil… et que tout son discours ne fait que révéler sa peur et son ignorance. Il aurait pas pu commencer comme ça notre philosophe. « J’ai la trouille, j’y comprends rien, j’ai l’impression que le monde que j’aime fout le camp. » Au lieu justement de nous parler de lui, de ses tripes, de ce qui à la limite n’est pas information, il tente de construire un discours vide car il n’a pas l’expérience de ce dont il parle. Il évoque l’ascèse, l’étude. Mais sait-il vraiment ce qu’est l’ascèse, sait-il ce qu’est une véritable expérience philosophique ?

Je ne dis pas que Maurice G. Dantec est ce genre de dinosaure là, ce serait trop simpliste. Et même insultant pour lui, étant donné le gouffre idéologique qui les sépare. Finkielkraut manque de référents pour appuyer sa critique, Dantec devrait s’exercer à référer et à référencer…

Un marteau ne peut pas fracasser un crâne de lui-même, il lui faut une intention et surtout un corps mouvant pour l’arracher à la gravité.

Ajout :

Citation de Noam Chomsky (gracieuseté de Lutopium) :

Les intellectuels ont un problème: ils doivent justifier leur existence… La plupart des choses qui sont comprises, à part peut-être certains secteurs de la physique, peuvent être exprimées à l’aide de mots très simples et dans des phrases très courtes. Mais si vous faites cela, vous ne devenez pas célèbre, les gens ne révèrent pas vos écrits. Il y a là un défi pour les intellectuels. Il s’agira de prendre ce qui est plutôt simple et de le faire passer pour très compliqué et très profond. Les groupes d’intellectuels interagissent comme cela. Ils se parlent entre eux et le monde est supposé les admirer, les traiter avec respect, etc. Mais traduisez en langage simple ce qu’ils disent et vous trouverez bien souvent ou bien rien du tout, ou bien des truismes, ou bien des absurdités

En rafales du 11 mars 2009

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(Firefox se transforme en tortue – pas ninja – pour cause de trop-plein d’onglets. Je dois en éliminer. Ce billet est pour qu’il en reste quelque chose.)

Un peu de bave sur Twitter : « ce gadget risque de nous enterrer dans une vague supplémentaire de babillage sans autre but que de se donner l’illusion d’être en contact, un peu comme ces ados accros au cellulaire qui n’ont strictement rien à se dire. »

Comprendre nos amis virtuels.

Traumatismes de l’enfance: un effet permanent sur le cerveau. Ou comment blesser à vie, et même sur plusieurs générations…

La liste des radars photo fixes et mobiles du Québec. Ça ne devrait pas être secret ça?

Jean-François Harisson = artiste = pédophile en puissance?

Il va falloir que j’arrête de boire du Red Bull. Dommage que je n’habite pas Québec…

Pourquoi est-ce qu’en 2009 il y a encore des produits qui ne sont pas biodégradable? Une question à répéter et à répéter…

Toute la vérité sur René Angelil par le Doc Mailloux : ça fait un drôle de choc quand t’aime ni un ni l’autre!

Quel beau bottage de cul contre l’Église!

JF Harisson : ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué…

La « société individualiste est un mensonge patent. »

(Ouf… Ça fait du bien!)

(Photo : Sténopé)

Sur la route

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Eh! bien oui, je m’embarque encore dans un autre projet! Ça fait un moment que je songe à ça, et je me lance aujourd’hui (lire mon billet du jour sur Blogosphère).

Donc, je pars à la découverte des recoins qui me sont inconnus de la blogosphère et vous pourrez me suivre les lundis, mercredis et vendredis là-bas. Et, vu que je vais seulement consacrer quelques lignes à cette aventure en fin de billet, en plus de mon sujet principal, je vais sûrement en parler plus librement ici.

J’adore les possibilités que nous offre le web.

L’impératif du présent

quelquun-dautre

Je vous écris d’une main et de quelques neurones en moins… Je croupis sous l’étourdissement des responsabilités paternelles, surtout de mon système digestif besognant la lourdeur des festivités, encore trop de l’alcool, cette folie ordinaire, très acceptable quand on n’a pas à prendre la route.

Ce qui me fait voguer comme en mal de mer. Je ne me reconnais plus non plus dans le miroir virtuel, je n’y entends même plus mon bien rare écho. C’est comme beugler la tête dans un puits et puis se relever trop vite.

J’ai eu de meilleurs lendemains, ça, c’est certain. Mais je ne le troquerais pas. C’est un présent à prendre comme il est.

Humer l’humeur humaine

Démarrer un texte avec aucune idée, ça donne ça comme départ. Se servir de mots comme des fils qui s’entrecroisent pour ajouter de la substance, c’est encore du blanc dans la tête, mais le temps s’emballe. Au moins, la page n’est plus vierge. Ça fait office…

C’est de l’acharnement presque thérapeutique que ce billet en ces temps gris humides. Le froid brille, brun ambré, l’arbre braille ses feuilles brûlées et le brouillard brumeux fait de la broue. Brrr!

Encore plus glacé, j’ai deux amis qui se laissent tomber de l’arbre. Deux morts de plus pour mon cimetière virtuel qui n’a même pas d’adresse. C’est la vague qui se jette par là-bas, il y aura un retour : quand ça bouge, c’est que c’est vivant!

Il n’y a rien de triste. Ultimement. Tout se lave. Je garde mes larmes pour saler l’expectative.

(Photo : Anne*°)

Révérences et nouveaux départs

Ça s’est tramé en catimini depuis quelque temps et voilà, c’est officiel : Patrick Dion quitte Blogosphère pour se consacrer à Vlog et à WebTVHebdo (un peu aussi à son chez lui virtuel) et me laisse les clés. (Pat, ton travail était excellent et je vais bien sûr m’en influencer pour la suite.) Et même si je l’ai remplacé voilà pas si longtemps, ça me fait légèrement trembler les phalanges de l’actualiser devant vous ici. Alors, je vais continuer de scruter ce qui se passe sur notre blogosphère pour vous donner le plus possible l’heure juste et parfois même vous en faire découvrir quelques recoins inédits. J’espère que vous aller me suivre!

Aussi, autre révérence, celle de l’ami ExIvrogne qui la tire par un « Au revoir » touchant, rempli d’entre les lignes comme il sait si bien les faire. Je n’écrirai pas que je vais m’en ennuyer puisqu’il semble que ça aboutira à une résurrection virtuelle, que cela est simplement la fin et le début d’un cycle phénixien. Par contre, de quelque manière qu’il revienne, je suis absolument certain qu’il ne nous fera pas le coup hautement désagréable d’un Leloup qui se met à mort et qui revient pour nous faire regretter de l’avoir pleuré…

En passant et en parlant de ce Jean, question nouveau départ manqué, l’écoute de l’entrevue que l’homme (est un loup pour l’homme) a donnée à Christiane Charette en jette toute la mesure (pour ne pas écrire « la démesure »). Comment déféquer autour de soi à partir de son piédestal d’estime et réussir à en rajouter une autre couche tout en lui gardant sa propriété de support… Je ne peux pas ne pas l’écrire : je le trouve insupportable! (Question support, il se trouve encore des gens pour l’aduler : voir les commentaires à la suite du billet sur le site de Radio-Canada au sujet de cette entrevue…)

Dire que cet enculeur à tous les vents était mon idole de jeunesse (non ce n’est pas gratuit, il l’a dit, il nous encule tous, tous autant que nous sommes!). La vieillesse lui va très mal, ce n’est visiblement pas tout le monde qui en attrape la supposée sagesse qui vient avec! Il a besoin de nous pondre un album béton comme « Le Dôme » pour se racheter au moins artistiquement, ce qui me surprendrait…

Ajout : pendant que je suis dans les nouveaux départs, l’anthropologue Claudia est de retour, allez la saluer si vous la connaissez, sinon, allez la découvrir!

Interrogatoire

Est-ce que j’ai le droit d’écrire pour mon propre plaisir, et pour être lu à la fois?

Est-ce qu’il y a seulement une seule bonne manière d’entrevoir la problématique environnementale?

Est-ce que j’ai vraiment besoin d’avoir un BAC, une maîtrise ou un doctorat en politique pour avoir le droit d’émettre des opinions sur le sujet?

Est-ce qu’il est positif de croire que la révolution internet est parallèle à la constitution d’un cerveau virtuel commun où chaque individu est un de ses angles?

Est-ce que l’idée de la liberté n’est pas seulement un concept qui permet d’improviser à froid et de s’en servir comme défense quand ça tourne mal?

Est-ce qu’être ouvert d’esprit est seulement une manière de ne pas se trouver dans l’extrémisme?

Est-ce que se poser des questions est une perte de temps?

Est-ce que quelqu’un est tout à fait certain de ses réponses?

(Photo : William Kunz)

Désamorcer les malentendus…

Vous avez sûrement remarqué à droite, la liste de liens vers des billets de ma blogoliste. En tout cas, il y a une personne qui l’a tellement remarqué cette liste que j’ai eu en prime un déchirage de chemise en règle parce qu’un de ses billets ne s’est pas retrouvé dedans… Ce qui a signé, pour cette personne, unilatéralement, la fin de notre amitié virtuelle, rien de moins!

Le but ici n’est pas de pointer cette personne (mais si elle vient ici se manifester comme étant cette personne, la discussion – possiblement la prise de bec – qui va s’en suivre sera de sa propre faute, cela va de soi), mais bien plutôt d’expliquer à tout le monde comment je vois cette liste, qui est bien sûr beaucoup en lien avec ma blogoliste, que l’on peut consulter bien sûr sur une page dédiée. Il y a parfois aussi des billets qui ne parviennent pas de blogues de ma blogoliste qui y apparaissent, étant donné que j’ajoute de temps en temps de nouveaux blogues à mon agrégateur. Certains d’entre eux se retrouveront assurément dans ma blogoliste prochainement, même si certains la trouvent interminable… Premièrement, je crois que les blogueurs actifs (le masculin étant utilisé ici pour alléger le texte) devraient être privilégiés, donc je préfère avoir sur ma page principale un suivi de nouveaux billets qu’une blogoliste statique.

Avant toute chose, il faut que je spécifie que mon agrégateur me fait parvenir les nouveaux billets d’une base de données d’environ 150 blogues, avec en moyenne une trentaine de billets par jour. Selon le temps que j’ai à ma disposition, mon humeur, mes goûts, je sélectionne les billets que je veux partager, et en plus je n’ai pas le temps de les lire tous… Je n’ai pas de règles bien précises, mais un billet discutant de problèmes de société aura plus de chance de s’y retrouver qu’un billet racontant une anecdote personnelle; un billet original, drôle, cocasse aura plus de chance de s’y retrouver qu’un billet déprimant. Et je ne crois pas avoir besoin d’expliquer ce que veux dire « plus de chance »… Et tout cela, avec dans l’idée que si j’ajoute tous les billets que je reçois, ça fait moins de visibilité pour tout le monde…

Alors de grâce, ne le prenez pas personnel si votre dernier billet ne se retrouve pas dans ma liste. Primo, parfois Google Reader prend bien du temps à actualiser mes choix. Deuxio, parfois je n’ai pas le temps de consulter mon agrégateur avant un jour ou deux. Tertio, ne pas se retrouver dans ma liste est rarement parce que j’ai hais complètement ou en partie un billet. Quand c’est le cas, souvent, je ne me gêne pas pour aller le dire directement, ou du moins aller confronter les idées. En somme, je ne crois pas avoir à justifier mes choix en détail!

En faisant tout ça, j’espère aider les autres et leur apporter des lecteurs (même si c’est peu) alors pour moi il n’y a que du positif. Si vous portez trop d’attention à ça et que vous me jugez en retour, la balle est dans votre camp, vous devriez réviser vos priorités, et surtout vous calmer les nerfs.

Avec l’été qui arrive (et qui devrait bien arriver un jour!), les occasions seront bonnes…

(Photo : owenbooth)

Ajout :

Charity Bernhart m’a mis en lien cette super pyramide :


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