J’aimerais revenir un peu sur le passage de VLB à TLMEP. Je pourrais presque écrire que le polémiste avait mis ses gants blancs pour l’occasion. Aussi, qu’il devait se sentir comme quelqu’un marchant sur des oeufs. En tout cas, il avait toute ma sympathie puisqu’on l’attendait avec une brique et un fanal (même s’ils se sont avérés être en styromousse…).
Par contre, je ne crois encore pas une seconde qu’il n’a pas fait le calcul en gravant « reine-nègre » dans son pamphlet. Être à sa place, je me serais aussi gardé de le dévoiler… Pourquoi révéler avoir un as de caché dans sa manche?
Autre sujet, j’espère qu’il va planter Mario Dumont dans Rivière-du-Loup, même s’il n’a rien d’un politicien, ni le style vestimentaire, ni le glabre obligatoire (comme le voudrait le lutteur), et surtout ni l’habilité à s’écraser devant les impératifs de la partisanerie. VLB est vraiment l’antithèse du politicien et s’il gagne, je me demande même ce qu’il aurait à faire confiné sur un siège parmi ses dissemblables…
Et je l’en félicite d’autant plus, puisque, contrairement à d’autres, il n’a rien à y gagner personnellement (mis à part un remplissage d’égo grâce aux effluves de la victoire). Je ne crois pas qu’une députation fait vendre des livres, et puis à la question de se faire connaître, il n’en a plus vraiment besoin : le sigle VLB fait bien partie de notre imaginaire collectif.
Contrairement à ce que je pensais, le polémiste n’a pas polémiqué. Paul et Mickey. Ah! je divague. Dix vagues. Je suis encore un peu enrhumé. Désolé.
Commentaires récents