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La Clique et ses claques…

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Comme le disait très bien hier Joël Martel avec l’image de la Caramilk, je me foutais bien de savoir qui était la personne en chair et en os derrière La Clique du Plateau. Mais bon, ç’a l’air que du côté de La Presse le masque du clown était une trop grosse claque dans la face du journalisme, ce domaine où ce qui n’entre pas dans une case bien définie est un aimant à suspicion. On l’a acculé dans un coin (quelqu’un sait comment? avec quels arguments?) et on lui a fait cracher le morceau.

Marc Cassivi avait fait de gros yeux précédemment, démontré qu’il n’avait pas moins la susceptibilité dans le tapis que certains petits blogueurs (dont votre humble serviteur) qui n’ont pas eux à se plaquer le noble masque de l’objectivité, et ça donne ce que ça donne au bout du compte : Philippe Martin, un nom tout aussi anonyme dans le fond que son drôle de pseudonyme. On cherchait une vedette, ou quelque chose dans ces eaux, mais on a trouvé un quidam comme moi. Grosse déception…

Si le gars avait fait quelque chose d’illégal, je dis pas, la manoeuvre aurait été au moins un peu logique. Règlement de compte, règlement de compte… Nous voilà en plein dans l’Amérique des années 30, à l’époque de la pègre, des chapeaux, trench-coats et mitraillettes à chargeur en forme de bobine de film.

J’espère que pour la majorité des gens le mystère entourant l’identité dudit blogueur n’était pas ce qui créait le gros de l’afflux de popularité du blogue. Parce que là les journalistes auront trouvé l’aiguille dans la botte de foin pour dégonfler la baloune (esprit de bottine, quand tu nous tiens!). Mais bon, ça me surprendrait.

En tout cas, pour ma part, je vais continuer à me divertir en sa compagnie. Encore et toujours sans culpabilité. En espérant que sa nouvelle nudité ne le rendra pas moins caustique.

(Photo via Le Détesteur – un autre qui va devoir assurer ses arrières…)

Màj :

La réponse (hilarante) de La Clique à cette histoire : L’équipe de la Clique!!!

Autour de Nipi

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Oeil-TerreTant qu’à être dans la poésie, continuons!

De Claude Péloquin, je ne connais pratiquement rien, sauf bien sûr sa chanson ultra connue : Lindberg; et son célèbre « Vous êtes pas écœurés de mourir, bande de caves ? C’est assez. ». J’ai bien dû lire sans trop m’en rendre compte quelques poèmes de lui dans quelques recueils et anthologies que j’ai achetés dans mon jeune temps… (comme si j’étais très vieux!) en tout cas, dans le temps où j’en lisais beaucoup, beaucoup plus qu’aujourd’hui. Et à force de lire les gros titres de son brasse-camarade avec Guy Laliberté, je me suis demandé si je ne pouvais pas le lire son fameux poème pour l’eau (Nipi) en ancienne grande vedette dans l’infini de l’espace et dans le faux fini de l’espace économico-médiatique. Avec encore dans une bulle-nuage le feutre de Mistral qui me titillait : je sens qu’il est déjà rouge d’avoir seulement vu ce nom! (Il en a remis en plus!)

Je tombe sur cet extrait sur le site de Radio-Canada :

Les sages gardiens de l’humanité étaient alignés

Leur regard fixé dans la direction de l’eau

Qui les a remerciés d’être là pour elle

Car elle ne se sentait plus bien


Bien personnellement, j’espère qu’ils n’ont pas choisi le meilleur passage… J’ai vu plus belle voltige poétique! Mais bon, focus! ça m’a tout l’air d’emprunter plus à la fable qu’à l’éclatement verbal auquel je m’attendais. Néanmoins, la finale, « Car elle ne se sentait plus bien », m’apparaît maladroite, quand même. Il me semble que quelque chose comme « elle ne se sentait plus à sa place », par exemple, aurait moins l’air d’une queue de poisson… Mais c’est juste mon opinion, et il faut bien noter que je ne reçois pas 125 000 $ pour vaquer à soupeser le poids des mots!

Il y a un document audio de l’oeuvre, je vais tenter de l’englober le plus possible de ma gloutonnerie auditive. C’est le mieux que je peux faire. Et en ajoutant à ma gourmandise les lettres trouvées sur Cyberpresse.

Voilà, c’est mangé. J’ai bien trouvé quelques deux trois bons bouts comme « Que plus personne au monde ne meure d’eau », mais l’ensemble ne me convainc pas plus. Je n’irai pas plus loin, par respect pour sa peine d’amitié.

Mais ça ne me surprendrait vraiment pas que Yann Martel fasse mieux.

Ça pue l’expérimentation journalistique! (avec Màj)

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Ce billet, je l’écris presque à reculons, il faut que je l’avoue. J’ai peur de passer pour un éternel instigateur de guéguerre, mais je n’ai pas le choix, la marmite est prête à exploser.

Je mène une petite enquête depuis quelque temps au sujet d’un blogueur, celui qui me fait penser à un maringouin. Un blogueur qui me donnait l’impression de tout faire pour faire parler de lui, alors je m’étais juré de ne pas lui faire de pub directe. Juste le confronter directement chez lui et en commentaires ici pour arriver à aujourd’hui où j’ai tenté de laisser ce commentaire chez Patrick Lagacé, à la suite d’un billet où ce blogueur était en vedette :

Je n’en reviens pas Pat que tu prennes au sérieux ce supposé « journaliste »… À moins que tu le connaisses personnellement, et ça soulèverait d’autres questions, puisque je m’en suis déjà posé beaucoup à son sujet.

Premier constat : googler Pascal-Pierre Bradette et c’est presque le néant. Très bizarre pour un journaliste.

Deuxième constat : il est venu commenter chez moi, je l’ai constaté et il me l’a confirmé, il utilise un module anonymiseur pour qu’on ne puisse avoir accès à sa véritable adresse IP. Autant se dévoiler et en même temps autant se cacher. Biz biz biz…

Constat général : un nom surréaliste, une photo qui va beaucoup trop bien avec son ton fendant, un désir qui frise l’absurde de se placer à contre-pied de la majorité, et le fait qu’il se soit retrouvé dans ta blogoliste au tout début de la création de son blogue, ce qui ne semble pas être dans tes habitudes…

Tu ne ferais pas une petite expérience blogosphérique Pat?

Je l’ai envoyé à deux reprises, mais sans succès. J’ai constaté plus tard que d’autres commentaires passaient, ce n’était pas un problème d’absence de modérateurs alors. Les deux premières fois, j’avais ajouté l’adresse de mon blogue comme signature, alors je l’ai envoyé une fois sans, pour voir. Pas plus, et j’ai constaté la présence de nouveaux commentaires…  Ça faisait très longtemps qu’on ne m’avait pas censuré chez lui. Pourquoi? C’est rendu une question absurde à mon avis.

Ce qu’il y a de sûr, c’est que ce présent billet où je soulève un foutu gros doute sur la connivence ou la participation de Patrick Lagacé au blogue Pataklow! fera beaucoup moins de vague que si mon commentaire était apparu. Le trafic n’est pas comparable. Alors, passez le mot :

c’est un gros canular!

*

Je viens de remarquer en ajoutant la photo que son adresse contient « journaliste_04_moyen.jpg » à la fin. Je vois tellement le topo. Il avait une série de photos de différents visages pour représenter son personnage de journaliste-pigiste, et il a finalement choisi la quatrième.

Màj :

Je n’accuse pas formellement Patrick Lagacé d’être derrière Pataklow! comme certains semblent le penser. Ce ne sont que des questions!

Màj :

En parcourant mon agrégateur, je suis retombé sur un billet récent de PP Bradette où il rentre dedans Patrice Lagacé, comme il l’appelle… Et ce n’est même pas une coquille, il répète la faute.

Même pas besoin d’expliquer, c’est d’un humour… surtout qu’il termine son billet par : « Les plus allumés d’entre nous ne sont pas dupes. »

Il interview, et un autre surprend

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Vous allez croire que c’est mon chouchou, mais je vous parle encore d’Il Blogue. Le billet précédent, c’était au sujet de son projet de musique, là c’est au sujet de son projet d’entrevue avec différents blogueurs et blogueuses, qu’il publie tous les jeudis. Aujourd’hui, c’est mon tour!

Dedans, je parle de Martineau et de Christian Mistral. Ça tombe drôle parce justement hier soir je lisais Mistral qui pointait assez positivement le Martineau, ce qui n’est vraiment pas dans ses habitudes, oh! que non! En effet, on dirait que le chroniqueur vedette s’est fait transpercer par quelque chose comme la lucidité alors qu’il rédigeait son texte nommé « Le crime d’Ovide Plouffe ». Pour le dire autrement, ça donne l’heureuse impression de sortir des années 90…

On a beau cogner tous sur lui, la moindre des choses, c’est aussi de faire ressortir ses bons coups quand ça lui arrive.

Ça peut se dire aussi : « être bon prince ».

De l’hyper dans le sexe de nos anges

Comment broder autour de l’hypersexualisation des adolescents et des enfants (bientôt les poupons?) sans tomber dans l’hypervictimisation ou l’hyperculpabilisation? Dans le monde boursoufflé des hyperliens, les réponses sont trop subtiles en vérité…

Je regarde autour de moi et ça ne ressemble pas à ce que j’entends, dans le sens de lire sur les lèvres des gens et de mon écran : c’est facile de monter sur ses grands chevaux même si après une grande respiration on finit par constater que ce n’est pas si pire… Ce qu’on voit dans les clips, dans les magazines, dans les pubs est grandement dilué dans le réel, comme si les deux mondes ne pouvaient se regarder avec franchise. C’est seulement de l’épice même si elle est souvent trop piquante pour plusieurs, dont moi, parfois.

Je me souviens d’une autre époque où une grande vedette d’aujourd’hui m’éveillait de sa jeunesse et réveillait autrement mes soeurs et les filles autour de moi. Madonna, je me souviens, n’avait que le dodu de son corps à offrir au départ, s’enveloppant d’un style désinvolte comme l’époque, en proie au clinquant d’un côté et à la déprime de l’autre, après ces années soixante-dix de sexe, de drogue, de spiritualité et de rock-prog-funk-disco… C’est à l’approche des années quatre-vingt-dix qu’elle a gagné la stature, gravit le piédestal qui a tant inspiré, celui de l’artistique femme d’affaire forte, et fortement sexuée.

Il y a bien là un déclic qui a opéré, mais je ne pourrais pas mettre tous mes oeufs dans le panier de la Madonne. Non, car la recette qui consiste à mélanger le sexe, le pouvoir, l’argent, la religion, en dosant différemment selon l’humeur, est du domaine archétypal, il ne faut pas s’en cacher! Toujours jouer en émoustillant les uns et en ne confrontant pas trop les autres est un jeu qui est de moins en moins dangereux quand on regarde derrière, puisqu’à la base les années qui passent servent de tremplin à la nouveauté de plus en plus nouvelle, à des questionnements qui ne nous effleuraient guère, même l’année dernière. Le futur a souvent peur de la redondance.

Nos artistes de plus en plus internationaux visent large à l’image de la globalité, imprégnée à la société par la répétition des mantras éconocentristes. Ils sont des marques déposées tout comme les autres, et on peut à peine leur en vouloir, car ils ne sont que des miroirs formatant, formatés, fictifs, la preuve de nos soubresauts d’élévation vers une certaine perfection psycho-corporelle, toute vide qu’elle soit.

Pour ne parler que d’elles, points de mire, nos jeunes filles ne sont pas dans notre monde, et je me demande pour qui c’est le plus un jeu. La mère qui joue à la poupée avec sa fille, dans le pire sens de l’expression, a le poids des années comme longueur d’avance. Et le père? Qu’il acquiesce ou qu’il laisse faire, il reste en phase avec son rôle de con-voyeur… Mais la réflexion n’a plus bon goût, comme une gomme collée sous la table.

(Peinture : rodparker)

L’avocat du diable à TQS: moins de souffrances que prévu…

Chose dite, chose due, chose faite, je me suis tapé la première émission de L’avocat du diable à TQS, dans sa nouvelle formule allongée. J’ai moins haï ça que je pensais, il faut que je l’avoue (je pensais abdiquer à la première occasion, mais j’ai tout écouté!). Une chance que Guy Fournier est là… mais il reste qu’il est seulement le faire-valoir de l’imbécile heureux du nom de Richard Desmarais, grand cafouilleur tant au niveau du langage que de la pensée critique. Nous sommes loin du professionnalisme ici, sans blague! À chaque fois qu’il parle, on a l’impression de lire en sous-titre : c’est ça qui est ça!

À cette émission, il y avait un invité de marque, un de ceux que je me plais bien à critiquer ici : Stéphane Gendron. À la question à savoir si internet est responsable de l’augmentation des prédateurs sexuels, il a donné la même réponse que celle que j’aurais donnée, c’est à dire non, et cela m’a bien surpris, et agréablement en plus (beaucoup moins sur autre chose, mais je vais passer pour cette fois… ). Car répondre oui, c’est croire que l’individu est corruptible au point de commettre les pires actes grâce en grande partie à la superficialité et à la représentation, quand au contraire le problème des prédateurs est plus profond. C’est comme si la totalité de la population pouvait hypothétiquement devenir prédateur… Internet est un lieu, un outil, pas le démon incarné!

À cette question, la position positive de l’animateur en vedette (et j’ajoute « en », pour ne pas dire seulement « vedette », car il en est loin), et de la majorité des participants par téléphone et internet, me fait penser à l’ancienne position complètement stupide sur la musique heavy métal qui soi-disant rendait les jeunes plus violent. Sortez de votre rang! Et cela dit au très figuré.

Donc, je ne crois pas me retaper cette émission, j’en ai encore pour quelque temps à guérir les boutons qui me sont poussés… Et en plus, désolé, mais ce qui se passe sur le web me semble beaucoup plus intéressant, enfin, les recoins que je scrute. Et puis, avoir à me taper l’avis des auditeurs de TQS, qui ont pour la plupart de la difficulté à passer d’un mot à l’autre, ce n’est pas quelque chose qui me rend de bonne humeur… je vais travailler ma patience ailleurs.

Soit dit en passant, au niveau des idées, je crois qu’il y a un gros lien à faire avec mon billet précédent.

Psst! Je n’ai même pas fait de jeu de mots avec le terme « poubelle », l’idée de déchets…

(Photo : Fabienne & co – notez que la photo provient de la ville de Québec…)

Le mystère René-Daniel Dubois

Le passage de René-Daniel Dubois à Tout Le Monde En Parle a été pour moi et pour plusieurs comme un peu de lumière dans la pénombre. Ça me parle beaucoup quand il dit que plus de 200 personnes de talent, des hypothétiques artistes de la trempe de Tremblay et Lepage, ont été scrapés par notre foutue société d’incultes. Et le mot « inculte », je le lui mets en bouche pour synthétiser, car ce terme représente bien sa charge contre l’inexistence culturelle, où la culture est désincarnée par le vedettariat, incluant ou non l’art (là, j’outrepasse sa pensée, je remplis les trois petits points…). Différents points de vue, même combat.

Mais j’ai titré mon billet en incluant le mystère pour une bonne raison, je ne comprends pas, ou mal, sa position antisouverainiste. Il a passé un bon moment dans l’entrevue à parler du Québec et de notre place dans le monde avec son image de la cour d’école, alors que nous serions le seul étudiant sur 1000, ce qui je crois est en complète contradiction avec l’idée de notre place dans le statu quo canadien et qui, lorsque quelque chose de nous brille dans le firmament mondial, fait briller le Canada et non le Québec, mis à part peut-être pour les pays francophones, enfin certains. Nous souffrons alors d’une extinction de voix!

Aussi, dans la même veine, son texte qui est paru dernièrement sur le nationalisme me laisse encore pensif : jusqu’où peut-on gonfler la définition de ce terme? Quand il écrit que « Le nationalisme, c’est le contraire de la démocratie », il l’instrumentalise et le place dans la bouche de ses ennemis, et encore mieux, il l’instrumentalise d’autant plus pour sa propre analyse. Pour ma part, j’ai essayé, peut-être maladroitement, de le réduire à un pragmatisme que je voulais au mieux relaxant, en insistant sur la langue commune, le français, mais je vais oser le réduire à une chose encore plus simple : le nationalisme, c’est la reconnaissance, c’est se reconnaître, dans son sens le plus large et le plus humaniste, ça pourrait se référer par exemple au seul fait d’avoir une adresse; aujourd’hui, surtout, c’est pouvoir élargir cette reconnaissance et arriver à y inclure de plus en plus de diversité. Au-delà de ça, c’est l’Histoire qui devient le moteur de l’acharnement contre les singularités, comme nous l’avons bien (ou mal) vu avec le cirque Bouchard-Taylor.

Au-delà de ce bémol, en fin de compte, pour ne pas trop m’éterniser, ce que je comprends de cet homme, en réécoutant son entrevue à répétition, c’est qu’il désire nous brasser en se plaçant lui-même contre nous tous, de quelque côté que nous soyons. Je l’applaudis ici à ma manière.

Un deuil parmi tant d’autres

Depuis hier, mon Google Reader fourmille de billets au sujet de la mort de qui donc, eeeh… de Heath Ledger. Je ne comprends pas le buzz… Y’a un grand journaliste, dont je ne me souviens plus du nom…, de Radio-Canada (je l’ai appris en écoutant le Téléjournal), qui est mort aussi, et nada, niet, rien à son sujet sur le web. C’est pas juste. Hé hé!

Justement, même Sur le web (du site de Radio-Canada) fait état de la mort de… Heath Ledger. C’est triste la mort, mais pourquoi pour lui ça l’est plus? Il y a des morts aux bulletins de nouvelles autrement plus tristes, et c’est pour ça que j’essaye d’écouter ces parties-là des bulletins le moins possible. Ah! oui! parce qu’il a eu quelques rôles au cinéma états-unien…

Je sais, je sais, il n’y a rien drôle dans la mort. Surtout quand elle est réelle.

Bon, question de se changer les idées, et parlant cinéma, courrez louer le DVD du film « Les trois petits cochons ». Pour ma gouverne, ça faisait longtemps que je n’avais pas vu un bon film de même, et surtout ri comme ça à propos d’une blague visuelle…

Ajout (12h) :

En fin de compte, j’étais un peu perdu (je n’avais pas terminé mon café…), le dernier décès, c’était celui de Robert Lemieux, un ancien avocat, entre autres du FLQ. Je viens de le voir sur le blogue de Christian Mistral. Oups! sauf qu’il est mort dans la nuit de dimanche à lundi, alors peut-être que la mort du journaliste est arrivé après. Ayayaye…

Bon, je pars faire de la planche à neige, ça va m’éventer le cerveau.


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