Posts Tagged 'théorie'

Victoire de 5 à 1 au 100e du CH : trop beau pour être vrai?

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Je ne suis pas le hockey, mais il m’est arrivé souvent de le regarder cette saison, parce que mon travail de DJ me met souvent le nez devant l’écran géant, je ne peux pas le manquer. J’ai pu constater, même malgré ma piètre connaissance du sport, que le jeu du Canadien de Montréal est pour le moins sautillant…

De défaite en défaite, parsemé, en majorité, de quelques demi-victoires, je ne donnais pas cher de la peau des glorieux en cette soirée du centenaire. Et quand je suis arrivé au bar, vers 21h45, 5 à 0 pour les fêtés, ma mâchoire a failli se disloquer, et c’est presque pas une blague. Laissez-moi vous dire que ça ne m’a pas pris trop de temps pour élaborer la théorie que les dirigeants du CH ont dû payer un pot-de-vin aux dirigeants de l’équipe de Boston, question que les festivités ne se terminent pas en queue de poisson.

J’arrive chez moi et je vérifie le classement : Boston en 5e, Montréal en 12e position. Ayant un petit doute sur l’adversaire, je vérifie sur le site officiel du Canadiens et je vois ça :

Les Canadiens se sont payés (sic) un beau cadeau en l’emportant 5 à 1.

Ha ha ha!

(Je classe ce billet dans la catégorie « humour », mais, quand même, faut avouer que ce n’est pas impossible!)

Ajout :

Comment ne pas me conforter dans mon idée quand je lis ça :


2. Le CH qui passer (sic) au travers un 5 contre 3 pas rapport et va scorer de l’autre bord. Les fantômes étaient en forme pour le match du centenaire!

Ne bouge surtout pas!

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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)

L'archer

Je suis tombé sur cette photo la semaine dernière. Elle m’a troublé.

Au-delà de la confiance aveugle, j’y vois une allégorie de notre condition sociétale. Les anarchistes (enfin, quelques-uns), qui ne doivent plus beaucoup m’aimer, seront peut-être heureux de lire que je vois dans cette photo notre assujettissement au pouvoir.

On nous organise et la majorité s’installe, sans dire un mot, la baloune entre les dents, le risque inhérent étant un concept mou, une suite de lettres sans substance.

Alors, il reste le refus. Le problème, c’est que le refus n’attend que le poids du nombre. Et il ne saurait se décliner en une seule théorie, même une myriade ne saurait faire atteindre le point de bascule puisque c’est l’utilité, la survie qui prime. La philosophie ne rime malheureusement pas avec la survivance, elle est un luxe.

Mais comment ne pas voir la contradiction qui s’installe? C’est la survie qui empêche et entretiens le refus, comme possibilité. La peur de perdre empêche la fuite dans la rébellion, et l’état de survivance est souvent l’étincelle qui l’allume. Et tout cela, toujours dans le déficit.

C’est l’habileté de l’archer, ou plutôt la croyance en son habileté, voire sa virtuosité, qui tient tout ça ensemble. Qu’il soit personnellement et pour la plupart un mauvais homme n’est même pas important. Sa place dans la photo est tout ce qui compte. Et il est interchangeable.

À cette distance, il n’a pas de visage.

1 sous à la fois!

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Je viens de m’inscrire comme ambassadeurs pour l’édition 2009-2010 du projet « 1¢ à la fois! », qui consiste à ramasser de la petite monnaie pour le donner cette fois à l’organisme « Le Club des petits déjeuners du Québec ». C’est la quatrième édition.

Je suis bien content de pouvoir contribuer ici à faire connaître cet événement, avec mon humble trafic (et bien sûr, aussi d’y contribuer de mes fonds de poches!). Alors, pour ceux qui ont des blogues, si vous pouviez propager la nouvelle, ça donnerait un bon coup de main!

Sinon, pour dire vrai, ça me décourage un peu de voir qu’on en est encore réduit à mettre de l’énergie pour améliorer le sort de nos enfants à coups d’une cenne dans un pays riche (même en récession…). Et puis, si c’est à coup d’aussi petites coupures, c’est que les grosses sont visiblement trop balourdes pour se rendre…

Encore, ça me fait penser à la position de mon ami L’équilibriste (position qui a peut-être changé?) qui consistait en un dénigrement assez logique du Club des petits déjeuners justement. Vite comme ça : plus des organismes vont se charger d’aider les gens en difficulté, plus le gouvernement va se désister. Je ne trouvais pas ça fou du tout, mais seulement en théorie : il y a tous les matins des enfants qui arrivent à l’école le ventre vide et notre système politique n’encourage que le cynisme, pas l’action.

Le cynisme, ça ne fait pas des enfants forts.

Une brèche dans les finances de Power Corp. nommée Yves Michaud

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Ça m’était complètement sorti de la tête, alors cette nouvelle m’a frappé encore plus fort :

Power Corporation devra divulguer les résultats financiers de sa filiale Gesca, propriétaire de plusieurs quotidiens, dont La Presse. La Cour d’appel donne ainsi raison au Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MEDAC) et à son fondateur, Yves Michaud, qui tentent d’obtenir ces chiffres depuis plus de quatre ans. (Source : Radio-Canada)

C’était comme attendre la fin d’une très longue série à suspense, avec de très longues pauses. Quoique, en ce moment, ce n’est que l’aguiche (le « teaser »). Donc, voilà, beaucoup, et surtout, de curiosité pour ma part. Mais aussi, le fait qu’ils sont vraisemblablement coincés : s’ils financent à perte leurs médias, ça donnera raison du côté politique à Yves Michaud, et s’ils roulent sur l’or, ça énervera pas mal les employés de La Presse-Cyberpresse… Il reste donc l’étirage de sauce juridique ou bien des finances réellement en phase avec la conjoncture. Cependant, la deuxième option s’amincira plus la sauce sera étirée! Le plus logique, c’est qu’on n’investit pas dans la cachette pour le simple plaisir.

Alors, s’il s’avère que Gesca est seulement un support pour promouvoir le fédéralisme, cela nous plongera, pour plusieurs comme moi, dans un sentiment étrange où ce qui nous semblait réel n’était en fait que de la fiction, finalement. Justement, un sentiment digne de la fin d’un film au retournement inattendu, sauf pour quelques personnes qui l’avaient vu venir, comme Yves Michaud.

Parce que sérieusement, ça me semble trop gros pour être vrai! Et si ça s’avère exact, je garantis un bond énorme du côté de l’intérêt pour les théories conspirationnistes…

La chasse à la cigogne

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CigogneMorte.jpgL’envie d’aborder un sujet un peu plus personnel m’attaque. Mais comme on dit, souvent, un sujet qui concerne un seul être humain a beaucoup de chance de parler aux autres, surtout s’il concerne ce qui est commun à toute l’humanité, soit la procréation, et tout ce qui vient avec. Cependant, à bien y penser, j’aime mieux avertir tout de suite que je n’y inclurai pas la sexualité, même si c’est un sujet toujours bien populaire…

(Pour continuer votre lecture, ça se passe du côté de Christian Vanasse. Cela réfère partiellement à mon billet : Pour que l’anarchie soit un plat digeste.)

Pour que l’anarchie soit un plat digeste

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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)

Ne fais pas à autrui ce que tu estimes déraisonnable qu’un autre te fasse.

Thomas Hobbes 1588-1679

(J’introduis mon texte avec cette phrase en gonflant le sens du verbe « faire » jusqu’au verbe « penser ».)

Parlons politique et philosophie, tien!

Mon expérience blogosphérique fait évoluer ma pensée dans quelques sens, et l’anarchisme est un de ceux-là. Si je suis anarchiste, j’invente ce sobriquet pour me décrire : anarcho-futuriste. C’est que je considère l’anarchisme au-delà de l’utopie, puisque le futur semble déjà plus gravé dans le réel que l’utopie. Mais l’humanité a des devoirs à faire, très longs et même pénibles, c’est tout ce que je peux concéder.

C’est que depuis quelque temps, il me semble que je suis un aimant à anarchistes de tout acabit. Et même moi qui suis bien ouvert à leurs concepts, je ne réussis pas à m’y glisser, même seulement pour le plaisir! Ça bloque puisque mon air et le leur ne semblent pas avoir la même consistance. Je considère que la réalité est une matière qui ressemble à de la pâte à modeler, pour eux c’est un mur à casser et ils s’arment de théories-bulldozers.

C’est bien agréable de jouer aux petites autos et aux camions dans un carré de sable, mais il faudrait bien regarder ce qui se passe plus haut et plus large… Ce qui m’amène à des concepts comme le « parentage » (sorte de diabolisation du lien naturel entre l’enfant et ses parents), à des positions contre la procréation et à l’extinctionnisme (le terme est assez clair!), concepts que me fournit la lecture d’un blogue qui se qualifie d’anarcho-pragmatiste. Leur logique masque à peine l’odeur… À la base, tout ça me donne l’impression d’être les résultats angoissés de quelques individus mal dans leur peau, asociaux, tant au niveau amical qu’amoureux, qui justifient leur mal-être en échafaudant des théories abracadabrantes, et en prenant soin d’avoir toutes les réponses aux contre-arguments avec la tactique qui consiste à essayer de prouver à l’interlocuteur l’illusion absolue dans laquelle il est plongé. On pense obligatoirement à l’allégorie de la caverne de Platon…

Comment sérieusement considérer avoir à coeur le concept de liberté quand tu proposes des théories qui confrontent extrêmement la liberté de la très grande majorité des êtres humains, tant au niveau du bonheur simple de désirer un enfant en connaissance de cause que de celui essentiel de simplement vivre? J’avoue qu’il y a quand même un émerveillement à observer ces conceptualisations, mais pour faire un parallèle avec une oeuvre d’art, c’est très très coûteux. Et ça ne me dérange pas qu’ils soient assez conséquents pour en payer individuellement le prix : qu’ils crèvent vieux et seuls ou même tout de suite si le poids de notre monde est si insoutenable!

Je ne peux pas m’empêcher de penser aux sectes où les gourous réussissent à entraîner leurs disciples dans la mort à force de persuasion. La différence avec les anarchistes, c’est que pour eux la persuasion se trouve dans la titillation de l’intelligence. La pensée gravite dans des sphères bien plus agréables que les simples considérations domestiques, pour ne nommer que celles-là, et leur monde s’en trouve changé : le problème c’est que l’écart entre ce nouveau monde et celui effectif est énorme, d’où le déficit de liberté individuelle qu’on nous rabâche de toutes les manières.

Et c’est bien là où ma vision est différente de la leur : je crois que la liberté individuelle se doit d’être en équilibre avec la liberté collective; et si la liberté collective a encore besoin majoritairement de l’État, il faut individuellement le respecter (d’où l’idée de l’anarcho-futurisme). On a beau vouloir faire avancer la liberté individuelle, il y aura toujours la collective pour la freiner de quelques manières que ce soit. Et à tenter de faire entrer l’anarchie par la gorge en forçant, il y a de fortes chances qu’on la vomisse, ce que je suis pas mal en train de faire…

(Photo : gillespineault)

Insupportons nos troupes

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Depuis quelque temps, en me promenant en voiture, et même à pied dans mon voisinage, je remarque beaucoup de rubans « Supportons nos troupes » sur le cul des voitures… Pourtant, d’après un article récent du journal Le Devoir, « 54 % des Canadiens s’opposent à la mission, contre 34 % qui l’appuient. Environ 12 % sont ambivalents. » Et, sans « surprise, c’est au Québec que l’appui à la mission en Afghanistan est le plus faible (15 %), alors que 73 % des répondants s’y opposent. »

C’est une drôle de coïncidence, quand même. Il faut dire qu’il n’existe pas de rubans contre la mission, enfin, pas des autocollants prêts à l’emploi, si je ne m’abuse. S’il en existait un, je ne l’achèterais pas. Je préfère net-tement exposer mon opinion ici. C’est un univers « intellectuel » : voir un ruban « Supportons nos troupes » sur un blogue me titille le cerveau, le voir sur un char me donne envie au minimum de l’arracher…

Entre autres, sur les blogues, ce ruban, je le vois sur celui de quelqu’un qui se targue d’être libertarien (donc extrêmement contre l’État : est-ce qu’il y a quelque chose de plus étatique que l’armée?) et sur celui d’un minarchiste (une variante du libertarianisme : une « théorie politique appelant de ses vœux un […] État minimal […], réduit dans de strictes limites de légitimité »). Dans le cas du deuxième, son appui minimal à l’idée d’État réussit à légitimer sa position, mais pour le premier c’est pour le moins mystérieux.

Je sais que pour les tenants de cette mission, tout tient dans la lutte contre le terrorisme, mais il faut pour cela accepter que cette lutte passe par l’agression et c’est ce avec quoi je ne suis pas d’accord. J’ai beau avoir peur de l’islamofascisme en particulier et de la religion comme désir d’imposition d’un dogme social en général, je pense que les États ciblés par ces cinglés devraient privilégier la défense (dans son vrai sens, pas comme dans défense = attaque…). Aussi, je n’ai surtout rien contre l’espionnage, même qu’il me semble qu’une approche plus axée sur l’infiltration et les actions ciblées donnerait de meilleurs résultats. Cette guerre n’est pas une guerre ouverte, alors elle devrait être pensée dans ce sens.

En conséquence, devant ce fait, il est tout à fait normal que certains pensent que ce déploiement est entre autres une belle raison de dilapider les fonds publics dans l’industrie de l’armement.

Màj :

David Gagnon, du blogue L’antagoniste, que je pointe dans ce billet n’est pas un libertarien, mais bien un minarchiste, comme il est venu me le spécifier.

Màj :

J’ai induit tout le monde en erreur en écrivant « Supportons nos troupes » alors que le verbe « supporter » dans le sens d’encourager est un anglicisme. Et en plus, sur le ruban, c’est bien écrit « Appuyons nos troupes ». Mea culpa. Merci au commentateur dénommé Darwin de m’avoir pointé la faute.

Ce n’est pas la nature qu’il faut sauver, c’est nous!

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les-maladies-de-bebe-2817575kjdgz_1350.jpgAprès tout ce bleu, étourdissant pour certains, sombre pour d’autres, en attendant le rouge noyé sous la pizza et la bière des déménagements, il serait bon de retourner à la réalité. Une de celles-là, c’est que les contaminants qui nous entourent diminuent « l’écart de poids à la naissance entre les garçons et les filles. »

(Pour lire la suite, ça se passe du côté de Pascal Henrard, que je remplace.)

Denise Bombardier et le Bye-Bye

denise-bombardier-en-meduse

J’écoute pour la deuxième fois l’entrevue qu’a donné la bombardière ha! ha! re-quant. Je n’ai pas trop l’habitude d’ouïr ou de zieuter ses écorchures à celle-là parce que je trouve que c’est majoritairement des propos bas enrobés de hauts mots. Les borborygmes qu’elle a servis sur le 98,5FM n’y font pas exception.

En gros, malgré ses justifications, elle se sert de cette tribune pour se venger d’une petite blague du Bye-Bye à son endroit avec des théories boiteuses, blague dont je me souviens à peine… Elle trouve que ce spécial de fin d’année a franchi « toutes les limites de l’infranchissable, toutes les limites des tabous, des interdits, pensant que c’est drôle » (les concepteurs on s’entend!). Pousse, mais pousse égal! On ne parle pas de ce qui se passe dans la bande de Gaza…

Elle continue en disant que le fait que des gens, individuellement, aient trouvé ça drôle n’est pas un critère pour « évaluer si c’était drôle ou pas, si c’est acceptable socialement ou pas ». Et c’est bien sûr elle la Grande Juge pour nous l’expliquer, pauvres crétins que nous sommes!

Donc, exit l’humour noir, méchant, critique, caustique, grinçant, surtout à l’endroit des personnalités publiques. Selles de boeufs! Elle voudrait avoir l’immunité pour cause de notoriété, moi je dis que personne n’est intouchable, surtout par l’humour!

Seul point positif, elle n’a pas été aussi pathétique que la fan tordue de Celine qui s’est fait entendre sur YouTube (et qui ne veut se faire entendre maintenant que par ses amis…).

Retenir son souffle

(Image : American Elephant)

(Image : NewsCorpse)

Deux visions dichotomiques qui semblent claires pour la majorité. Le monde entier espère un changement positif. Mais dans le cas d’une victoire de Barrack Obama ne serait-ce qu’un banal changement cosmétique?

J’entends le message comme quoi le noir et le blanc ne seraient que la séparation d’un même gris, du pareil au même. Je le comprends, mais j’ai de la difficulté à croire que le résultat de demain donnera un futur identique, ce que la théorie des mondes possibles interdit. Les détails sont concluants : John McCain n’est pas Barrack Obama, Obama n’est pas McCain. Qu’est-ce que la victoire de l’un provoquera au lieu de l’autre?

Tout est dans le message. Les électeurs états-uniens ont un gros poids sur les épaules. Avec leur traditionnelle ouverture sur le monde, j’espère vraiment qu’ils s’en rendent compte…

La victoire d’Obama ne changera pas du tout au tout les États-Unis, mais il me semble que ce serait un bon coup d’aile du papillon, et dans un sens favorable.

En m’espérant prophétique, si cela se peut.

*

Pour rester dans le sujet, mais en même temps pour revenir plus près de chez nous, un blogueur, Daz Hoo, annonce, de source sûre, que Jean Charest va nous plonger de force dans l’eau glaciale électorale…

Ajout :

Un bon article à lire dans Le Devoir au sujet de ces élections précipitées : L’opportunisme, mauvais conseiller.

Les oeillères idéologiques d’Alain Dubuc

Alain Dubuc, champion sophistique, nous gratifie d’une théorie pigée dans une boîte de Cracker Jack au sujet de la « baboune » du public, versus le supposé sourire (jaune) du dentiste, où il justifie l’entrée d’un système privé de santé pour soi-disant donner un meilleur service à la clientèle en instaurant la concurrence (je pense à Bell Canada et je me dis que la concurrence ne donne rien de plus…). C’est comme comparer des pommes à des bananes.

À la base, l’ambiance de travail est une donnée importante, sinon la plus importante pour que les employés dégagent du bonheur, et un sourire forcé reste un sourire forcé. Alors, si, par un effort concerté de toutes les parties, le système public de santé québécois devient le meilleur au monde, ou du moins en soit amélioré grandement, gageons que le sourire reviendra un peu plus sur les visages des travailleurs de la santé!

En plus, je me dis que j’ai beaucoup plus de chance de sourire à mon travail alors qu’autour de moi les gens se font du plaisir. Je ne suis pas certain que si autour de moi il y avait seulement des malades, la majorité de mauvaise humeur, cela provoquerait la même chose.

L’exercice d’Alain Dubuc occulte ces données-là, entre autres. J’attends bien sûr les vôtres, c’est ça la beauté de la blogosphère, tout le monde collabore pour débusquer les mensonges!

À lire, aussi, l’opinion de Gaétan « Pédale » Blais « Pédale ».


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