
Tout d’abord, lire la Charte Néthique.
Bienvenue chez moi. Ce blogue est un espace privé, alors je modère toujours le premier commentaire de quiconque. J’essaye de vérifier assez souvent mon tableau de bord pour ce faire, mais parfois ça peut prendre un certain temps. Je vérifie toujours les adresses IP pour m’assurer que ce n’est pas un participant déjà admis qui veut anonymiser son commentaire. Je trouve cette pratique très discutable, mais je la juge quand même à la pièce.
Ce qui va suivre représente bien comment je vois les rapports ici (et c’est une citation d’un commentaire que j’ai adressé à quelqu’un juste avant de le bannir de mon blogue) :
J’ai ouvert un blogue pour entre autres discuter le plus calmement possible avec des gens intéressants. Je n’ai rien contre la critique envers mes idées, mais j’en ai contre les débordements de vocabulaire inutiles, les insultes gratuites, les genres de niaiseries comme « ti-counes » et « trouduc ». Si quelqu’un a besoin d’ajouter ce genre d’expressions à son propos pour l’appuyer, c’est que ça ne vaut pas cher la livre… Et surtout, c’est désagréable.
Et quand je trouve quelqu’un de désagréable, je ne veux plus le lire sur mon blogue, c’est simple! Je n’invite pas dans ma maison les gens que je trouve désagréables, où est le problème? Si tout le monde respectait le plus possible la nétiquette, tout irait bien!
Et j’aimerais ajouter, au lieu de l’insulte au premier degré pour marquer votre désaccord, utilisez donc des métaphores, de l’ironie — même du sarcasme, quand c’est bien amené! Vous ferez preuve d’esprit, ça fera ressortir votre intelligence : une pierre deux coups!
Concernant les discussions entre les participants, je suis un peu plus patient, surtout quand les deux se servent la même médecine… Mais comme on le sait, un mot de trop, et ça dérape! Et avoir à effacer des parties de commentaires, ça ne me plaît pas du tout, puisque je préfère nettement prendre ce temps pour discuter, écrire un billet, etc. À partir de ce moment-là, même si l’insulte ne me visait pas directement, elle m’indispose quand même.
Sur ce, bonne rédaction de commentaire!
Ajout :
Une autre chose que je trouve désagréable, c’est les gens qui viennent m’écrire qu’ils ne trouvent pas le sujet intéressant. Comme j’ai écrit à quelqu’un :
Si le sujet ne t’intéresse pas, va jouer ailleurs, la blogosphère est un grand Toys “R” Us, gratuit en plus!
Aussi, la qualité du français. Si je ne suis pas capable de comprendre facilement la teneur d’un commentaire parce qu’il y a trop de fautes et que les phrases sont mal construites, il y a de fortes chances que je ne laisse pas passer le premier commentaire, ni les suivants. Désolé.
(Image : natachaqs)
Mauvais Oeil
Published juillet 7, 2009 blogosphère , Critiques , humour 10 CommentsÉtiquettes : agent immobilier, agressant, ancien français, animal, canular, chiot, collaboratif, collaboration, Comment se débarrasser d'un animal de compagnie, corporatif, discutable, fiction, Google, goupil, Hier j'tais chaud, humoristique, humour, humour noir, image, Impression, Jean Simard, légende, Lucien Goupil, Mauvais Oeil, médiéval, mignonne, nom commun, Nouveau, oeuvre, Oops, parfum, Pascal-Pierre Fradette, Pataklow!, Patrick Lagacé, personnage, Petite fille, photo, populaire, poussière, projet, propos, Pseudonyme, pub, Publicité, réalité, Renard, Renart, retombée, sarcasme, sérieux, site, sujet, surréaliste, tordante, we're dead!, Web
Visitez mon nouveau blogue : http://renartleveille.com/
Vous devez trouver que cela détonne beaucoup de mon propos d’avant à ce sujet, et vous avez bien raison. Autant je pouvais trouver discutable et même très agressant le blogue Pataklow!, autant là je trouve qu’on entre avec Mauvais Oeil dans une certaine justesse : c’est de l’humour noir bien ficelé, et qui surtout ne donne pas l’impression de vouloir se situer outre mesure au-dessus de la ligne entre la fiction et la réalité. Patrick Lagacé avait beau écrire, « évidemment qu’on a affaire à un type qui s’amuse à appâter les gens dénués d’humour et handicapés du sarcasme », j’ai encore l’impression qu’il fallait être au parfum pour le savoir… Entre avoir l’impression de se trouver devant un canular et de se trouver devant une oeuvre (humoristique), il y a autant de différence que de recevoir une bine ou un coup de deux par quatre!
Alors, voilà, un autre de plus pour accompagner les Hier j’tais chaud et Oops, we’re dead! de ce monde.
(Petite note comme ça en passant à propos du nom de famille de Lucien Goupil. En ancien français, le goupil était le nom commun donné à l’animal que l’on nomme aujourd’hui le renard. Je crois que ce changement dénominatif provient du populaire personnage médiéval Renart — d’où provient mon pseudonyme. Pour ce qui est du changement du « t » au « d », ma théorie est que le « d » est plus pratique en français pour créer de nouveaux mots comme « renarde » et « renardeau ».)
Màj :
J’ai oublié d’indiquer que ce message apparaît lorsqu’on laisse un commentaire :
Ha ha ha!