Visitez mon nouveau blogue : http://renartleveille.com/
Je suis heureux d’avoir comme langue le français pour échanger avec les gens via le web. C’est qu’à l’instant, comme voilà quelques jours, je viens de recevoir un message d’un de mes amis sur Facebook, et je sais pertinemment que c’est du polluriel (spam), puisque c’est écrit en anglais et que personne ne s’adresse à moi dans cette langue. La même chose avec mes courriels.
C’est comme sur Twitter, quand je reçois une notice que quelqu’un des États-Unis me suit… Les francophiles sont plutôt rares!
Y’a aussi un bon côté à être francophone tout en connaissant minimalement l’anglais. Et je prends pour exemple le truc d’un couple d’amis avec leur petite fille (que nous allons leur piquer, bien sûr!). Quand ils ne veulent pas que la petite comprenne, ils parlent anglais. C’est pratique. Les unilingues anglais, par exemple, n’ont pas ce loisir…
Ce n’est pas grand-chose, mais ce sont de bonnes petites raisons, avec celles plus grandes culturelles, pour espérer que jamais la planète se contente d’une seule langue, que ce soit l’anglais ou le mandarin ou toute autre.
Au sujet du troll
Published janvier 27, 2008 blogosphère 18 CommentsÉtiquettes : Commentaire, Idéologie, polluriel, Troll, Web, Web 2.0
J’écris tout cela parce que j’ai effacé tous les nombreux commentaires du très mal nommé « René Lévesque sur l’acide » puisque je l’avais averti d’arrêter de polluer mon blogue avec son monologue. J’espère que mon programme antipolluriel réussira à le bloquer à l’avenir, car je n’ai même pas de temps à perdre pour cliquer sur « effacer ».
On passe maintenant à autre chose de plus constructif.
(Si vous ne savez pas c’est quoi un « troll » dans le jargon du web, cliquez ici.)
Ajout (16h) :
Pour répondre au commentaire du Détracteur Constructif qui amène le sujet de l’importante différence entre les attaques personnelles et celles qui concerne les idées, j’aimerais rajouter que le problème du troll en question n’était pas trop de cet ordre, bien qu’il ait traité les gauchistes de laids… Mais, étant donné que son dernier commentaire, « Pauvre assisté-social minable! » (qui a été modéré à la source), tombe dans ce piège, j’aimerais lui dédier ce poème de mon cru :
Peinture ta hargne de bord en bord
Retient ta bonté pour qu’elle s’assèche
L’incidence immédiate pour moi est ce poème