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Il faut que je vous dise. Devrais-je en avoir honte? Sûrement pas, mais j’ai un flacon d’antidépresseurs en ma possession. Pour donner un chiffre généreux, ç’a bien pris cinq bonnes minutes pour qu’un médecin m’en prescrive. Je suis bien content de ne pas y avoir touché puisque j’ai repris du poil de la bête malgré tout et une nouvelle est venue me confirmer que j’ai fait le bon choix :
Cette étude est remise en question dans l’article par des médecins parce qu’elle s’est déroulée sur trop peu de temps selon eux. En toute mauvaise foi, je ne peux toujours pas m’enlever de la tête la rapidité du médecin qui m’a vu…
Quand même, je sens que les fabricants de pilules du bonheur doivent trembler depuis cette sortie. Surtout que la vente de leurs produits est devenue, on pourrait dire, une réponse trop banale à notre mode de vie dans l’tapis! Est-ce que j’exagérerais beaucoup trop en écrivant qu’elles sont sur le point d’être en vente libre dans les pharmacies? Oui, je sais. Pourtant, j’ai l’impression aussi que les campagnes de sensibilisation au problème de la dépression n’ont peut-être pas que de bons côtés.
Quand j’attendais ma prescription, je crois que cela a joué dans le fait que je suis allé au bout de la transaction. Aussi, j’étais tellement désolé de mon état que j’ai accepté de jouer le jeu du malade alors que j’avais seulement besoin de repos, finalement. Bon, en même temps, je ne peux pas trop me servir de mon propre cas. Ça serait malhonnête. Par contre, le principal, c’est que je pense toujours que la prescription d’antidépresseurs est un réflexe beaucoup trop facile.
Pour que le stress et la fatigue ne fassent pas trop sonner les chick! et chick! et bling! et bling!
(Photo : rogilde)
Avant de commenter ici
Published juin 19, 2009 divers 34 CommentsÉtiquettes : adresses IP, Anonymat, anonymiser, appuyer, bannir, Blogue, calmement, Charte Néthique, Commentaire, critique, débordements, dérape, désaccord, désagréable, discussions, discutable, discuter, effacer, espace privé, esprit, expression, gratuites, idées, insultes, Intelligence, inutiles, ironie, métaphores, Modération, Néthique, nétiquette, niaiseries, participant, participants, patient, Pratique, propos, rédaction, respect, sarcasme, tableau de bord, ti-counes, trouduc, vocabulaire
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Tout d’abord, lire la Charte Néthique.
Bienvenue chez moi. Ce blogue est un espace privé, alors je modère toujours le premier commentaire de quiconque. J’essaye de vérifier assez souvent mon tableau de bord pour ce faire, mais parfois ça peut prendre un certain temps. Je vérifie toujours les adresses IP pour m’assurer que ce n’est pas un participant déjà admis qui veut anonymiser son commentaire. Je trouve cette pratique très discutable, mais je la juge quand même à la pièce.
Ce qui va suivre représente bien comment je vois les rapports ici (et c’est une citation d’un commentaire que j’ai adressé à quelqu’un juste avant de le bannir de mon blogue) :
Et j’aimerais ajouter, au lieu de l’insulte au premier degré pour marquer votre désaccord, utilisez donc des métaphores, de l’ironie — même du sarcasme, quand c’est bien amené! Vous ferez preuve d’esprit, ça fera ressortir votre intelligence : une pierre deux coups!
Concernant les discussions entre les participants, je suis un peu plus patient, surtout quand les deux se servent la même médecine… Mais comme on le sait, un mot de trop, et ça dérape! Et avoir à effacer des parties de commentaires, ça ne me plaît pas du tout, puisque je préfère nettement prendre ce temps pour discuter, écrire un billet, etc. À partir de ce moment-là, même si l’insulte ne me visait pas directement, elle m’indispose quand même.
Sur ce, bonne rédaction de commentaire!
Ajout :
Une autre chose que je trouve désagréable, c’est les gens qui viennent m’écrire qu’ils ne trouvent pas le sujet intéressant. Comme j’ai écrit à quelqu’un :
Aussi, la qualité du français. Si je ne suis pas capable de comprendre facilement la teneur d’un commentaire parce qu’il y a trop de fautes et que les phrases sont mal construites, il y a de fortes chances que je ne laisse pas passer le premier commentaire, ni les suivants. Désolé.
(Image : natachaqs)