Non mais, qu’elle est vaudevillesque la situation politique fédérale! Je suis ça du côté de la potineuse politique Chantal Hébert et c’est presque excitant!
C’est bien en blague que j’écris « potineuse » pour désigner Chantal Hébert, mais en y regardant de plus près, et en enlevant le fait que le jeu politique a bien plus de poids sur nos vies que les insipidités des lofteurs torrides et des occupants troubles, il n’y a pas tant de différence entre l’« analyse » politique et le potinage.
Peut-être qu’il y a là une clé pour expliquer le cynisme face au politique. Et je pars du fait que l’on désigne de plus en plus ce jeu comme étant de la politique-spectacle. À choisir entre deux spectacles (quand on veut se faire éblouir par autre chose que de l’art), celui des jeunes pitous et pitounes part avec une longueur d’avance au niveau du divertissement…
Quand le snobisme d’une politicienne est un enjeu important, nous ne baignons pas vraiment dans l’intellectualisme.
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