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Incidence

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Contraste

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Je suis tombé sur ces deux images une à la suite de l’autre, via mon agrégateur, la première qui se trouve dans un billet des 7 du Québec, l’autre dans un billet de Stagueve.

Un hasard.

Mais j’ai le coeur qui me gonfle jusqu’à la gorge.

Rien à faire.

Je ne devrais pas trop m’inquiéter, la nuit est comme toujours une sorte de lobotomie.

Barack Obama + Hillary Clinton = Scarlett Johansson!

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Oui, oui, je sais, quel drôle de titre…

C’est que je suis tombé tantôt sur un billet de Benoit Descary qui pointe un nouveau service de recherche d’images similaires nommé GazoPa. Étant donné que je me suis déjà fait piquer une image, je me suis amusé à essayer les images contenues dans ma page « Art/Graphisme/Dessins », pour voir, puisqu’il est permis de simplement entrer une adresse d’image, et le tour est joué! Autre truc vraiment intéressant et qui pourra me servir, il y a possibilité de dessiner quelque chose directement sur la page en guise de recherche.

Je n’ai pas démasqué de violeur de « Creative Commons License », même qu’il semble que la personne qui m’avait piqué mon « Renart à poil » l’a retiré. Par contre, je suis tombé sur une concordance assez drôle quand j’ai essayé mon damier composé des visages de Barack Obama et d’Hillary Clinton : les deux premiers résultats sont la même photo de Scarlett Johansson !

Barack Obama + Hillary Clinton = Scarlett Johansson

Georges Laraque sexe-plique

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Georges Laraque Nature

À lire : Pitounes énergisantes

Ça aussi : Georges et ses pitounes

La Clique HD

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La Clique HD (Hugo Dumas)

À l’attention de ceux qui tombent des nues en voyant cette image…

HD, c’est pour Hugo Dumas, le caricaturé du mieux que j’ai pu, chroniqueur culturel pour La Presse, qui a dévoilé un blogueur anonyme pour le simple plaisir, en poussant la note jusqu’à dévoiler le nom de la petite ville où il habite. Un jeu dangereux, si vous voulez mon avis.

C’est donc un petit clin d’oeil à une des images qu’utilise La Clique du Plateau pour se représenter. C’est même ma préférée, en fait. Le pantalon, le masque qui pend au bout de la main, on imagine qu’il y a un humain avec un vrai visage hors cadre.

Mais avec le visage de Hugo Dumas à la place du masque, ça prend un tout autre sens…

Trésors du web…

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Je suis tombé sur un site en cliquant sur un lien venant de Twitter, si je me souviens bien. Toutes les photos qui suivent proviennent donc du site The Chive. J’ai passé un bon moment à fouiller sur le site et j’ai eu l’idée de vous garder mes préférées.

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Celle-là, je n’en reviens tout simplement pas… Ça sent le divorce-minute! (Si c’est un appareil numérique qui a été utilisé…)

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Ç’a le mérite d’être clair!

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Une annonce de Chiclet?

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Je ne sais pas pourquoi c’est classé dans la section « weird ugly people exist », ce n’est pas drôle, mais ça vaut le coup d’oeil!

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C’est peut-être juste bien personnel, mais j’ai eu le fou rire quand je l’ai vu!

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Je me demande si c’est bien ce que je pense, s’il y a un lien avec le vert qui sert à l‘incrustation, donc qu’on pourrait intégrer l’image de n’importe quel gars sur lui… hé hé!

Ajout :

Tant qu’à faire, je l’ai fait!

Chiclets pub

Pedobear, une histoire d’amour…

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J’ai entendu parler de Pedobear, soit l’ours pédophile, via un usager de Twitter. À la base, pour tomber dans un langage spécialisé, c’est un mème (qui pullule sur le web) : « un élément culturel reconnaissable (par exemple : un concept, une habitude, une information, un phénomène, une attitude, etc.), répliqué et transmis par l’imitation du comportement d’un individu par d’autres individus. » (Source : Wikipédia.)

Et la photo qui chapeaute ce billet, je l’ai trouvé sur un site (Encyclopædia Dramatica : un wiki ironique se spécialisant dans les mèmes et autres phénomènes Internet) qui explique qu’il provient originalement du Japon, mais qu’il est maintenant principalement une des mascottes du forum et site d’images 4chan (la version états-unienne du japonais 2channel, où il est né).

Je voulais comprendre, et je suis tombé sur une explication en langue française :

Pedobear est donc né du désir des utilisateurs de 2channel puis de 4chan de faire des blagues pédophiles en utilisant un personnage fort sympathique et innocent (comme tous les pédophiles en apparences), aux airs d’ours abruti. De fait, l’on retrouve à présent Pedobear dans un tas de situations, et lorsque l’on voit une jeune fille dénudée (bien souvent en mangas) ou dans une tenue/posture sexy, il est coutume de dire une prière à Pedobear ou d’y placer son célèbre « PEDOBEAR SEAL OF QUALITY » (Marque de qualité), dans le but de tourner au ridicule l’acte pédophile et son horreur.

Je précise que ceci est de l’humour TRÈS noir, et je conçois que beaucoup n’y adhèrent pas. Rappelons que si rire de la pédophilie c’est bien, la pédophilie en elle-même c’est Mal. Ceci fait pourtant parti de la culture du net, et à présent vous pourrez vous vanter de dire « je connais ».

J’ai beau être un nouveau père, je dois avouer que j’ai bien ri en voyant l’image qui suit, trouvée sur un site consacré à cet ours :

Mais bon, en même temps, je ne peux pas m’empêcher de voir où et pourquoi certains seront outrés par tout ça. Par contre, entre le statut de tabou et celui qui frôle la banalisation, on doit se demander, au bout du compte, qu’est-ce qui sert le mieux les enfants?

Niaiseries de fin de semaine

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Niaiseries : le mot est faible. C’est supposé être des apparitions divines, pourtant, si on se fie seulement sur les seules probabilités que ce genre d’images apparaissent quelques fois, par-ci par-là, dans notre monde, il n’y a que dans le cerveau de celui qui regarde que ça peut être ça.

En guise d’introduction, pour ceux qui ne sont pas trop au courant de ce qui s’est passé en art, naguère, ça commence par un tableau de René Magritte (La Trahison des images, 1928-29).

(Le billet se poursuit après les images.)

Divine Apparition 1

Divine Apparition 2

Divine Apparition 3

Divine Apparition 4

Divine Apparition 5

Divine Apparition 6

Divine Apparition 7

Divine Apparition 8

Divine Apparition 9

Divine Apparition 10

(Images trouvée sur odee.com, via un billet de Stéphane Pageau.)

Et le pire c’est que j’ai une anecdote familiale à propos d’une image du genre.

Ma grand-mère avait pris une photo dans les nuages en avion où on voyait clairement une représentation du Christ. Elle nous l’avait passé pour que nous puissions la montrer. Elle était sertie dans un cadre en carton.

Mon père, séparé de ma mère, nous recevait aux deux fins de semaine et cette fois-là, c’était mon tour, je devais coucher par terre sur un lit de camp à côté du lit qu’il partageait avec sa nouvelle femme. La photo en question était sur une commode dans la chambre. Nous nous sommes réveillés au matin et le cadre de carton était déchiré en une dizaine de morceaux.

Mauvais Oeil

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Jean Simard, agent immobilierLa poussière est retombée, on respire par le nez, je vais donc pouvoir revenir sur le cas Pascal-Pierre Fradette. Hier, mon sixième sens me disait qu’il fallait que je google son nom et je suis tombé sur son nouveau projet : Mauvais Oeil. Je me souvenais d’un de ses billets où il demandait aux gens intéressés de participer à un site collaboratif. Il en a trouvé un : Lucien Goupil! Sa première collaboration est complètement tordante : Comment se débarrasser d’un animal de compagnie. La photo qui l’accompagne représente une petite fille, tout ce qu’il y a de plus mignonne, tenant un chiot dans ses bras, avec cette légende en dessous : « Une fillette enlace Dixie une dernière fois avant que papa ne s’en débarrasse. » Sur la page principale, on peut voir aussi l’image complètement surréaliste qui orne ce billet, question de donner une aura de sérieux, puisqu’un peu de publicité sur un site, ça fait en sorte de se rapprocher des sites corporatifs!

Vous devez trouver que cela détonne beaucoup de mon propos d’avant à ce sujet, et vous avez bien raison. Autant je pouvais trouver discutable et même très agressant le blogue Pataklow!, autant là je trouve qu’on entre avec Mauvais Oeil dans une certaine justesse : c’est de l’humour noir bien ficelé, et qui surtout ne donne pas l’impression de vouloir se situer outre mesure au-dessus de la ligne entre la fiction et la réalité. Patrick Lagacé avait beau écrire, « évidemment qu’on a affaire à un type qui s’amuse à appâter les gens dénués d’humour et handicapés du sarcasme », j’ai encore l’impression qu’il fallait être au parfum pour le savoir… Entre avoir l’impression de se trouver devant un canular et de se trouver devant une oeuvre (humoristique), il y a autant de différence que de recevoir une bine ou un coup de deux par quatre!

Alors, voilà, un autre de plus pour accompagner les Hier j’tais chaud et Oops, we’re dead! de ce monde.

(Petite note comme ça en passant à propos du nom de famille de Lucien Goupil. En ancien français, le goupil était le nom commun donné à l’animal que l’on nomme aujourd’hui le renard. Je crois que ce changement dénominatif provient du populaire personnage médiéval Renart — d’où provient mon pseudonyme. Pour ce qui est du changement du « t » au « d », ma théorie est que le « d » est plus pratique en français pour créer de nouveaux mots comme « renarde » et « renardeau ».)

Màj :

J’ai oublié d’indiquer que ce message apparaît lorsqu’on laisse un commentaire :

Votre commentaire sera examiné par nos experts en censure.

Ha ha ha!

Nature morte

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Nature Morte (500px)

Je continue de m’amuser avec Photoshop et l’effet Tilt Shift. J’ai eu l’idée d’essayer avec une image contraire à celles habituellement utilisées, donc j’ai pris une photo d’un coin de mon bureau. L’effet n’était pas très concluant, mais je trouvais que ça donnait un effet théâtral, ce flou. J’ai alors décidé de jouer avec la couleur pour accentuer cet effet, en faisant ressortir les couleurs, le rouge, le vert, le bleu, le jaune, le violet, l’orange, qui se trouvaient un peu partout dans la photo. La luminosité aussi.

Ça m’a fait penser aux couleurs diverses que l’on retrouve dans les tableaux de panier de fruits, les natures mortes, d’où le titre. Nature morte aussi pour d’autres raisons…

Home : impressions

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Je viens de terminer le visionnement du film « Home », de Yann Arthus-Bertrand. Seulement pour la grande qualité des images, époustouflantes, ça vaut la peine d’être vu. Comment montrer des tristes réalités et en même temps titiller l’oeil.

Je retiens un passage qui présentait l’érosion du sol, comme une plaie à vif, rouge sang. Je retiens un troupeau qui courait, comme pour fuir un danger plus grand que son nombre. Je retiens les arabesques de l’exploitation du sable bitumineux.

J’ai pris avec un grain de sel le lien de causalité entre le réchauffement climatique et les activités de l’homme parce que je crois que c’est un argument trop simpliste. Les activités de l’homme sont en soi un argument assez effilé, et impossible à contredire, contrairement à la causalité.

C’est finalement un beau portrait, utile, mais qui, pour certains, sera trop moraliste. Mais comment ne pas l’être quand le but de l’exercice est de proposer le changement?

Màj :

Un point de vue sur Luc Besson et le copyright.

De la similarité jusqu’à la contradiction

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Google vient de sortir un nouveau service, Similar Images, et je me suis amusé à faire une recherche avec mon pseudo. Ç’a pas mal sorti les photos que j’ai publiées sur mon blogue. L’idée avec ça c’est que parfois un hyperlien nommé « Similar Images » apparaît sous une image et il est possible alors de voir des images « similaires », selon le programme.

Le plus drôle, c’est que cet hyperlien est sorti sous mon oeuvre « Renart à poil » et la majorité des résultats consiste en des photos de chien. Celle que j’ai trouvé la plus intéressante, c’est celle de Fajardo Aceves Jesus Manuel, un homme atteint d’hypertrichose.

Quand même, ces deux images sont pas loin d’être des contrastes parfaits.

Un terreau fertile pour faire naître des métaphores…

*

Et là, je viens de me rendre compte que le résultat ne provenait pas de mon blogue, mais bien d’un site, la-star.com, qui me l’a piqué… Qu’est-ce que je fais, puisqu’ils violent ma Creative Commons License?

J’ai le goût de changer mon titre pour : « De la similarité jusqu’à la contrariété »…

Déphasage

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Hier soir, après avoir passé au travers de mon agrégateur, j’avais le goût de vraiment décrocher, et le résultat trône juste en haut.

J’ai commencé avec l’idée de travailler avec l’outil de dégradé sur Photoshop et, au fil des manipulations, un essai avec le filtre « Plastic Wrap » m’a fait bifurquer dans cette direction. C’était la première fois que j’essayais cet effet avec une image de haute résolution et ça donne vraiment l’impression d’ajouter une couche de vernis brillante. Ça ne paraît plus vraiment — mis à part un peu dans les coins — parce que j’ai ajouté beaucoup de couches d’interventions, mais ça m’a mis dans l’ambiance « plastique » : cette utilisation du terme tirée bien sûr d’« art plastique », mon champ d’étude.

C’est quand même incroyable l’outil informatique! Pour arriver à un résultat semblable, avec de la peinture acrylique, ça m’aurait bien pris des dizaines d’heures, voire des semaines (s’il est possible que je puisse y arriver par cette voie, ce dont je doute… pas par incapacité de ma part, mais bien parce que justement les outils et les matériaux influencent beaucoup trop le résultat d’une oeuvre). Et là, ça m’a pris 3-4 heures.

Un plus pour l’instantanéité! Par contre, un moins pour la réflexion… mais bon, on pourrait classer cette oeuvre dans l’expressionnisme, et en plus c’était de l’improvisation sans thématique. Pour le titre, c’est la section où il y a des carrés les uns par-dessus les autres qui m’a inspiré.

Le Grand Singe

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le-grand-singe

Question de pousser vers le bas l’image précédente, en voici une autre plus joyeuse. Je suis tombé dessus en fouillant mon dossier « graphisme ». Originalement, le haut se trouvait à droite, et les proportions n’étaient pas les mêmes. Je trouve que la composition se tient mieux comme ça, et je vois même maintenant un grand singe, d’où le titre.

C’est bien sûr toujours sans prétention autre que d’aviver mon espace. Sinon, je pourrais écrire que c’est de l’art instantané, bien empreint dans l’ère de l’informatique et du web. Assez pour s’y perdre quelques longues secondes…

Ma Chouette

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Vous avez sûrement remarqué dans le coin en haut à droite que j’ai ajouté une petite image avec les mots : J’appuie le silence du journaliste Daniel Leblanc. Cela fait référence, pour ceux et celles qui ne sont pas au courant, à la tentative du Groupe Polygone (qui s’appelle maintenant Malcom Media), de tirer les vers du nez du journaliste Daniel Leblanc pour savoir qui est « Ma Chouette« , la source anonyme qui a fourni les informations menant au scandale des commandites.

J’ai piqué la photo et le lien chez Mario Asselin (qui lui l’a trouvé chez Félix Genest). Si vous cliquez dessus, cela mène au texte de Yves Boisvert de La Presse à ce sujet. Ce qui va suivre est un communiqué de la FPJQ, paru sur le site CNW (ça sera plus lisible ici… et j’ai mis en gras un paragraphe très important!) :

Protection des sources des journalistes: le cas de « Ma Chouette » est alarmant

MONTREAL, le 17 févr. /CNW Telbec/ – La Fédération professionnelle des journalistes du Québec s’alarme des manoeuvres qui se multiplient en ce moment devant les tribunaux québécois pour identifier « Ma chouette » nom de code de la source confidentielle du journaliste Daniel Leblanc du Globe & Mail.

Ce journaliste est celui qui a mis à jour l’énorme scandale des commandites au gouvernement fédéral. Son intérêt public a été si considérable que, depuis 2002, il a donné lieu à 91 321 articles de journaux et à 403 119 mentions dans les stations de radio et de télévision du Canada selon les données d’Influence Communications.

Le Groupe Polygone (aujourd’hui Malcom Media) est poursuivi par le gouvernement du Canada qui entend récupérer des sommes qui lui ont été versées dans le cadre du programme des commandites. Polygone se défend en prétendant que le délai de prescription est écoulé. Pour le prouver, Polygone veut savoir qui est la source confidentielle du journaliste, voulant démontrer, si la source est haut placée dans la hiérarchie gouvernementale, que le gouvernement était au courant depuis longtemps et qu’il aurait pu poursuivre à l’intérieur du délai de prescription.

Pour identifier la source, Polygone a usé, avec l’autorisation de la Cour supérieure du Québec, d’une tactique qui menace sérieusement l’intérêt public.

Au lieu d’en débattre en cour, et d’affronter les objections légitimes du journal, les avocats du gouvernement et Polygone ont convenu le 8 septembre dernier « de faire une liste de 22 personnes, toutes, sauf trois, employés fédéraux, afin de répondre par écrit et confidentiellement à trois questions dont l’une est « Etes-vous la personne identifiée dans ledit livre (« Ma Chouette » de Daniel Leblanc ndlr) sous le nom de code Ma Chouette? » Il était ordonné aux 22 personnes interrogées de n’en parler à personne.

La FPJQ s’insurge contre les tentatives qui durent depuis deux ans et qui se poursuivent ces jours-ci d’identifier une source confidentielle dont l’action a été salutaire pour la démocratie et les citoyens du pays.

Deux facettes de l’intérêt public s’opposent ici, l’une qui veut que la justice doive s’exercer pleinement en s’appuyant sur toutes les preuves disponibles et l’autre, le droit du public à l’information, qui exige que les sources puissent parler confidentiellement aux journalistes sans craindre de représailles.

Si l’identité de « Ma Chouette » devait être révélée, ce serait un avertissement terrible envoyé à tous les membres de la fonction publique : ne dites plus rien, taisez les scandales dont vous êtes témoins car votre identité pourra être révélée en cour et votre carrière se terminera là.

Les quelques millions en jeu dans l’affaire Polygone sont clairement moins importants que la possibilité de garantir aux fonctionnaires la possibilité de révéler les malversations de l’Etat. La protection de l’identité des sources est, dans ce cas-ci, une manière de garantir une plus grande transparence de la chose publique et une meilleure qualité de vie démocratique. Ce n’est pas un privilège pour les journalistes.

La FPJQ croit plus que jamais qu’il faut une loi pour assurer la protection des sources des journalistes, comme celle que le député bloquiste Serge Ménard a piloté jusqu’en 2e lecture l’an dernier. Sans une telle loi, les sources confidentielles resteront toujours à la merci d’avocats zélés et de juges qui comprennent parfois mal cette autre facette de l’intérêt public que sont la liberté de presse et le droit du public à l’information.

Renseignements: François Bourque, président, FPJQ, (418) 686-3394; FPJQ (514) 522-6142

Ouf!

plus-ou-moins

Non mais quelle semaine! Mon attention s’est beaucoup porté sur le conflit israélo-palestinien et un peu aussi sur le Bye-Bye, puisque j’ai remplacé encore Cecile Gladel chez BRANCHEZ-VOUS! Par contre, j’ai choisi ce dernier sujet pour mon billet du jour sur Blogosphère, où je fais un petit tour de piste, en formule « jour ouvrable ».

L’image qui coiffe ce billet représente bien la dichotomie actuelle et elle accompagnait originalement un billet là-bas. Justement, si vous ne me fréquentez pas ailleurs qu’ici, ou que c’est votre première fois, voilà pour vous une sélection de mes illustrations préférées, puisque je me suis donné comme résolution, quand j’ai obtenu cette place, de fournir des images personnalisées au lieu de photos.

Bonne fin de semaine!

Ajout :

Et ça continue au sujet du Bye-Bye…

Inquiétudes : Point de Presse.

À lire absolument : La toute vérité sur le Bye Bye.

Bonnes questions : Suivez l’Argent.

Gros coup de gueule contre Angelil.

Patrick Lagacé commence à perdre patience…

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sans-voix

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Wah!

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Je viens de m’acheter une tablette graphique! Des heures et des heures de plaisir en perspective et un retour au dessin après tant d’années… Moi qui rêvait plus jeune (beaucoup plus jeune…) de devenir bédéiste-caricaturiste. Et je vais pouvoir mettre une touche encore plus personnelle aux images que je traficotte pour mes billets sur BRANCHEZ-VOUS!

Contre-vidéo aux artistes : ha ha ha!

Voilà à quoi ressemble la réponse vidéo (enfin une — j’espère pour les zélateurs anti-art…) à Culture en péril, trouvé via Christian Rioux (ça sert à ça aussi de s’abonner au fil de syndication des blogues idéologiquement antipathiques!).

Voyez le biais complètement ridicule (ainsi que la musique de fond) qui oppose (entre autres) des images du dernier film d’Astérix et Obélix avec Stéphane Rousseau pour symboliser les « artisses » à des images symbolisant nos services, comme celle très hilarante d’une voiture de police devant le musée d’art contemporain.

L’art d’être complètement maladroit. Tant artistiquement, idéologiquement, conceptuellement, esthétiquement, etc.

Départs, ajouts et slogans

Aujourd’hui, multiplillet, sur une première note douce-amère. Deux autres départs avoués dans ma blogosphère, et peut-être aussi dans la vôtre, soit CaroG qui se déleste de sa vie de blogueuse pour se concentrer sur d’autres lieux créatifs, et Michel Hébert qui s’en va se faire étourdir par les nouvelles règles du journalisme au convergé Journal de Québec, ce qui ne lui laissera pas, selon ses dires, le loisir de tenir son blogue libre à son goût. Il faudrait bien au moins convaincre ce dernier de laisser son blogue en ligne. (Ajout : il semble revenir sur sa décision et songe à simplement ralentir de beaucoup la cadence.)

Les uns partent et d’autres s’ajoutent, et cela sera le moment d’en parler, le 31 août, lors du 310g Day 2008 (lire Blog Day) ce qui sera l’occasion de faire la promotion de 5 nouveaux blogues que vous trouvez intéressants. Cela sera l’occasion d’élargir encore plus nos horizons en nous promenant de blogue en blogue participant. Je me souviens m’être bien amusé l’an passé.

Du côté de Martin Petit, il y a un concours pour trouver un slogan d’insulte à l’endroit de Stephen Harper pour mettre sur sa pancarte, qu’il brandira mercredi matin lors d’un rassemblement des artistes et des travailleurs du milieu culturel. J’en ai pondu deux, pas très concluants, mais ce qui compte, c’est la participation…

Et vous vous demandez sûrement pour le choix de l’image? Je suis tombé là-dessus par hasard en cherchant autre chose, mais j’ai gardé l’onglet pour ne pas la perdre. C’est tellement étrange que ça parle tout seul… En tout cas, ça vient de .

Ajout :

Un autre qui tire la plogue, l’ami Tétoine, qui n’avait pas donné signe de vie depuis avril. Un petit soubresaut pour marquer sa décision : je ne peux m’empêcher de penser à un dernier battement de coeur. Je vais m’ennuyer de ses analyses.

Démotivant?

En me promenant sur mon agrégateur hier je suis tombé sur un billet de Martin Petit qui affiche seulement cette image, ci-haut. Je lui ai demandé s’il en était l’auteur, et il m’a répondu ceci, aujourd’hui :

oui en fait c’est un concept anglo qu’on peut détourner en français facilement c’est à http://www.theburningbiscuit.com/Demotivational%20Posters.html

Et quelques secondes plus tard, encore hier, je tombe sur un billet de Neil Obstat, nouveau blogueur très intéressant, qui affiche le même genre d’image. En voici quelques unes :

Je l’aime beaucoup celle-là, j’sais ben pas pourquoi…

Ça me fait beaucoup penser à ce commentaire là

La perversion et l’argent (avec ajout)

Suite à mon billet concernant la montée de lait de Martin Masse, où j’ai traficoté le terme « éconocentrophile », mon collègue Alain B. l’a repris chez lui, malgré son « coté pervers (et volontairement péjoratif) ». Donc, je ne crois pas avoir besoin d’être plus explicite à ce sujet. Ça m’a beaucoup encouragé dans mon délire métaphorique, et je me disais que j’allais bien le continuer un jour ou l’autre.

Le comble, c’est que sur le Blogue du Québécois libre, créature de Monseigneur Masse, du matériel pornographique pour éconocentrophile m’est apparu comme sur un plateau d’argent, coeur sensible, s’abstenir…

C’est presque aussi discutable qu’une autre image que j’ai trouvée chez MC Gilles : cliquez (à vos risques) !

En espérant que je ne recevrai pas, à très très moindre mesure, des taloches de toute la communauté, comme Mike Ward en a reçu suite à sa blague qui avait pour personnage Cédrika Provencher…

(Photo : badspeller)

Ajout :

Martin Masse à pondu une réplique à mon endroit, vous pouvez la lire par-là et vous rendre compte comment la philosophie politique (dans ce cas-ci, bien sûr, le libertarianisme) peut se perdre dans les dédales de la logique abstraite et faire fi du monde dans lequel on vit, historiquement, socialement, voire même bestialement, tout en se réclamant de l’histoire et du social… C’est réellement une cassure qu’ils veulent, et je ne suis vraiment pas certain que la population est rendue là!

Ma réplique :

Je vais commencer par vous remercier pour cette pub, c’est la moindre des choses, et cette générosité, même si elle n’est qu’utilitaire.

Ce qui ressort de tout ça, c’est l’éternelle relativité de toute opinion : pour vous je suis le pire des étatistes et pour d’autres je suis trop anarchiste… C’est tout à fait hilarant!

Pourtant, je voudrais comme vous tous une société responsable, mais pas au prix de l’enfoncer dans la gorge de la population comme vous le proposez, mais bien par le long chemin de l’éducation, et j’ajoute citoyenne, juste pour vous faire dresser les cheveux sur la tête…

Si je croyais qu’une société libertarienne était pour dans un avenir rapproché, parce que la population a fait ses devoirs et a assez évolué, je serais de votre côté à 100 milles à l’heure. Mais non, je ne crois pas, alors j’aime mieux vivre sans sentir tout le temps une blessure à l’âme parce que je me fais voler et violer à longueur d’année… Comment être heureux dans un constant rôle de victime?

Si je pèse la confiance que j’ai en les individus et en l’État, je penche malheureusement encore un peu trop du côté de l’État. Ça fonctionne tout croche, j’en conviens, mais au moins ça fonctionne!

Pour ce qui est de l’histoire autour des tavernes, c’est simple, j’y vois un rapprochement entre les hommes et les femmes, ce qui a mené à un peu plus d’égalité (et ce mouvement est hautement dû au féminisme), et vous tous, vous y voyez un complot étatiste : voilà bien la preuve que tout est relatif, dans le sens subjectif.

Mais qui tranche au bout du compte?

Je vous souhaite sincèrement bonne chance, sans sarcasme, mais vous devriez changer de « méthode de vente ».

Avant de terminer, en parlant de sarcasme, pour ce qui est de ma blague, si vous ne comprenez pas (et je ne vous demande surtout pas d’en rire, l’autodérision ne semble surtout pas votre fort!) après avoir lu le copié-collé d’un de mes commentaires qui va suivre, c’est que vous êtes plus de mauvaise foi que je le pensais :

« explication de la blague : je trouve que les libertariens sont obsédés par leur philosophie qui met l’économie au centre de tout, d’où le terme « éconocentrisme ». Et si j’exagère tout cela, ça donne « éconocentrophilie », terme qui fait un peu pervers, avouons-le. Et je pousse la note en proposant que des photos de Martin Masse, le gourou libertarien, soient comme de la pornographie (intellectuelle) pour les tenants de cette philosophie. »

Par là où il y a foule

J’ai Patrick Lagacé sous mon point de mire en ce moment du côté de chez Branchez-vous! (Même un peu mercredi dernier…) J’en ai même profité pour m’amuser avec son image pour illustrer mon billet, en espérant que cela ne me mettra pas dans la schnoute, mais bon, c’est un peu comme du sampling

Donc, j’ai pas mal mon quota d’écriture pour la journée avec ça et vous reviens plus dispo en fin de semaine, avec, si tout va bien, un texte plus personnel : il me semble que ça fait longtemps que je n’ai pas cousu des mots de fils multicolores.

Bon, je retourne à mes rénos!

Procrastinations du G8

On regarde le site du dernier sommet du G8 et on voit bien que l’enjeu de l’environnement y est important. Pourtant, dans les faits, avec une entente floue sur la réduction de 50% des GES d’ici 2050, son importance ne va pas plus loin qu’une image, dans le sens qu’on se donne « une bonne image »! À ce rythme, puisque l’an dernier on avait seulement fait le pas « d’envisager sérieusement » cette réduction, il n’est quasiment pas exagéré de penser que les choses bougeront vraiment aux alentours de 2050…

Et en plus, comme je l’ai déjà expliqué, je crois qu’il serait préférable de parler de réduction globale de la pollution que de réchauffement climatique. La pollution se voit, se sent, s’entend, se ressent, rend malade et tue, tandis que le réchauffement ressemble plus à un épouvantail idéologique qu’à une réalité.

Aussi, ce bal des puissances est bien plus efficace pour parler que pour faire, comme on le voit bien avec le problème de la crise alimentaire. Ces puissances créent d’immenses problèmes, mais ne font que tourner à vide ensuite, comme des adolescents irresponsables.

Misère de misère…

Renart à poil


J’ai traficoté cette image en m’inspirant d’une animation que j’ai réalisée dans le cadre de deux cours multimédias (le premier, à la fin de 1993, pour le visuel, le deuxième, au début de 1994, pour le son) de mon BAC en Arts Plastiques à l’UQAM (et j’ai été dans la dernière année de ce programme, qui a changé ensuite pour Arts Visuels). C’était le début d’Internet et les ordinateurs étaient lents… alors, mon animation est saccadée, mais j’ai décidé de jouer avec cet inconfort, ce côté déglingué.

Je vous avertis, c’est assez expérimental comme truc, mais je me souviens que ce projet avait bien allumé mon prof, il s’en servait comme exemple les sessions suivantes. Ça m’a même valu un emploi d’assistant, je ne me souviens plus du nom du poste, mais en tout cas, j’aidais les étudiants.

Et pour la qualité du transfert, ça ne me plaît pas beaucoup, les petits points blancs apparaissent grâce au DVD Ripper, si quelqu’un connaît ça… Et ça m’a pris deux jours transférer sur le web, le son ne voulais pas suivre, ni sur YouTube, ni sur Dailymotion, et là ça fini par fonctionner, fouillez-moi pourquoi!!!

Donc, voilà, c’est ça :

Pour voir d’autres oeuvres, c’est par là!


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