Je repose mes yeux sérieusement sur mon blogue pour la première fois depuis la publication de mon billet précédent. Eh! oui, les circonstances ont fait en sorte de me priver de toute concentration pour autre chose que des questions d’hypothèque et surtout de plomberie…
Alors moi qui avait amorcé un dialogue, je n’avais et n’ai plus du tout la tête à ça étant donné que nous partions en vacance sitôt le minimum réglé pour la maison (nous sommes encore en plan pour cause de vacances généralisées, de la construction et autres…). C’est donc un dernier effort consenti à la blogosphère avant de me zombifier tout à fait dans la jungle abitibienne.
Tenez, si ça vous tente de vous amuser, je vous charge de répondre à, ou d’appuyer un lecteur qui m’a laissé un beau cadeau odorant à la suite de mon billet « L’affaire est (presque) dans le sac ». Ce commentaire était dans ma liste de modération, j’en ai lu un bout à mon beau-père hier et il m’a dit de ne pas le publier, mais je ne l’ai pas écouté. Je l’inscris ici et vous laisse là-dessus; je viendrai quand même m’amuser à vous lire une fois de temps en temps, et je me remettrai à la tâche sitôt mon corps et mon esprit bien reposés :
Léo Di Labine juillet 21, 2008 à 9:50
Bonjour Renardléveillé,
Drôle de nom pour un gars de la ville,
Il n’y a même pas de renard dans Montréal.
Félicitations pour votre projet de maison, mais tu t’ajouteras à ceux qui contribuent à polluer notre atmosphère, en faisant plus de route avec ton auto. Tu as droit, toi aussi, de participer à ta part de pollution, puis ensuite de t’inscrire à un groupe environnementaliste pour critiquer les entreprises qui polluent. C’est aussi ton droit.
Dans ce monde, on a le droit d’être pour la vertue et aussi de polluer, c’est ce qui nous distingue des autres peuples comme les USA, Cuba et les islamiques. C,est un droit espérons inaliénable, sinon ça n’aura pas de sens.
Quand tu parles de payer ta maison moins cher que ce qu’elle vaut, est-ce parce ce que tu as hâte de la revendre à profit après l’avoir rénové pour t,en acheter une plus grosse? Capitaliste?
Es-tu un gars «manuel» ou du genre «biblio»? Si t’es pas manuel, ta femme ne te trouvera pas drôle longtemps, car elle va attendre après toi pour pouvoir envoyer les jeunes dans le sous-sol, et rappelles-toi qu’aujourd’hui, les jeunes vont à l’école dès l’âge de 4 ans.
Concernant la pression d,eau de la ville, il arrive que dans des maisons en rangées il y a toujours quelqu’un qui pendant un bout de temps doit se priver d’eau pour faire en sorte que les autres aient plus de pression, et habituellement, c’est le dernier arrivé.
Bonne chance, et à l’ouvrage, ne prends pas de vacances cet été.
Léo Di
Prière de pas déranger
Published juillet 22, 2008 blogosphère , humeur 55 CommentsÉtiquettes : Abitibi, Automobile, Capitalisme, circonstances, Commentaire, crétinisme, environnement, hypothèque, jungle, Modération, Montréal, plomberie, Pollution, Renard, Troll, vacances, zombie
Je repose mes yeux sérieusement sur mon blogue pour la première fois depuis la publication de mon billet précédent. Eh! oui, les circonstances ont fait en sorte de me priver de toute concentration pour autre chose que des questions d’hypothèque et surtout de plomberie…
Alors moi qui avait amorcé un dialogue, je n’avais et n’ai plus du tout la tête à ça étant donné que nous partions en vacance sitôt le minimum réglé pour la maison (nous sommes encore en plan pour cause de vacances généralisées, de la construction et autres…). C’est donc un dernier effort consenti à la blogosphère avant de me zombifier tout à fait dans la jungle abitibienne.
Tenez, si ça vous tente de vous amuser, je vous charge de répondre à, ou d’appuyer un lecteur qui m’a laissé un beau cadeau odorant à la suite de mon billet « L’affaire est (presque) dans le sac ». Ce commentaire était dans ma liste de modération, j’en ai lu un bout à mon beau-père hier et il m’a dit de ne pas le publier, mais je ne l’ai pas écouté. Je l’inscris ici et vous laisse là-dessus; je viendrai quand même m’amuser à vous lire une fois de temps en temps, et je me remettrai à la tâche sitôt mon corps et mon esprit bien reposés :