Je vous écris d’une main et de quelques neurones en moins… Je croupis sous l’étourdissement des responsabilités paternelles, surtout de mon système digestif besognant la lourdeur des festivités, encore trop de l’alcool, cette folie ordinaire, très acceptable quand on n’a pas à prendre la route.
Ce qui me fait voguer comme en mal de mer. Je ne me reconnais plus non plus dans le miroir virtuel, je n’y entends même plus mon bien rare écho. C’est comme beugler la tête dans un puits et puis se relever trop vite.
J’ai eu de meilleurs lendemains, ça, c’est certain. Mais je ne le troquerais pas. C’est un présent à prendre comme il est.
Commentaires récents