Posts Tagged 'Corporatisme'

Munitions

Ils viennent donner raison aux gauchistes qui accusent les défenseurs du libre marché d’être contre le socialisme pour les pauvres, mais pour le socialisme lorsque ça favorise les riches.

Martin Masse à propos du plan de sauvetage des banques états-uniennes.

(Photo : faisalee)

Ajout :

Vu à l’instant sur le blogue de Martin Petit :

Des petits caprices?

Dans l’article du Devoir qui fait état de la question des cours d’anglais offerts aux immigrants francophones, il y a un paragraphe, et surtout une phrase (que je mets en caractère gras) qui me fait tiquer :

Pour décrocher certains types d’emplois, le bilinguisme est essentiel dans la région de Montréal. C’est le cas notamment des emplois en administration et en informatique, a signalé M. Kachani. Il faut aussi noter la présence de nombreuses filiales de compagnies américaines où la connaissance de l’anglais est bien vue.

Je me demande bien si le gros noeud du problème du bilinguisme mur-à-mur qui est demandé au Québec, surtout à Montréal, vient de là. Je suis bien d’accord que la connaissance de l’anglais soit un plus pour quiconque, mais si ça vient d’un caprice corporatiste, où par exemple le grand patron veut pouvoir parler en anglais à tous ses employés, sans exception, ça me semble discutable : c’est du totalitarisme « soft », mais cela en est quand même!

Le Québec est francophone, l’État offre des cours de français dans les écoles et aux immigrants fraîchement arrivés. Il offre aussi des cours de base en anglais pour tous (qui permettent à peine de se débrouiller…) dans les institutions d’enseignements, ce qui est bien sûr réservé aux gens ayant grandi ici, c’est la logique même : on ne peut pas être à deux endroits en même temps… Au-delà de ça, l’anglais est la langue commune pour tout le monde dans le monde, je ne vois pas pourquoi on ne paierait pas alors des cours d’anglais avancés pour toute la population du Québec si c’est si essentiel.

Mais avec la phrase plus haut, je doute fortement que le bilinguisme dans le marché du travail soit essentiel au point où on semble vouloir nous le faire croire, surtout dans l’optique où une francisation totale du monde du travail serait possible, avec un peu de volonté politique…

L’auguromanie expliquée aux enfants…

La civilisation a fait de nous des monstres, suceurs de plaisirs et d’habitudes contre nature. Et je suis bien sûr du nombre, même si mon auguromanie (addiction au bonheur — ah! le bonheur d’inventer des néologismes!) me semble très modéré en présence des us et coutumes de mes concitoyens que j’observe du bas-fond de mon laboratoire virtuel. En Afrique c’est le sida qui fait des ravages, ici c’est l’auguromanie qui nous fait tourner en rond en nous clouant seulement un pied!

J’accuse donc les meneurs d’avoir mené la barque à leur image, celle de la rapidité, de la facilité, enveloppés des habits clinquants en or transmués en cravates multicolores, enserrés dans un carcan qui vient le moins possible de chez Moores… Et le mimétisme propre au peuple, par définition consensuel au niveau domestique, a bien fait le reste du travail. Nous voilà heureux d’être malade!

Aussi, je les accuse surtout d’avoir sauté par-dessus toute considération de risque extérieur : le plomb, le bisphénol A, les colorants artificiels, etc., qui parcoure le sang des enfants est une abstraction tant et aussi longtemps qu’un graphique à la baisse ne vient pas les secouer; l’abstraction étant hautement attractive dans les sphères éconocentriques. Ce sont les contrecoups, les effets secondaires de notre accoutumance, comme des plaques d’eczéma, et il semble que nous sommes loin d’en prendre note : ça nous pique à peine…

Tiens, pendant que j’y pense, est-ce que la famine mondiale actuelle serait un assez gros coup de réalité pour réveiller les dormeurs toute catégorie, ou le coup est carrément calculé dans ses moindres détails?

Avouez que ça serait assez incroyable, d’une invraisemblance à m’octroyer le titre de grand gourou du conspirationnisme pour avoir pensé que sciemment des groupes ont provoqué ce qui pourra être considéré dans le futur comme étant un génocide sans commettant direct, un crime contre l’humanité corporatiste, un laisser-faire idéologique. Mais comment réagir à toute cette misère provoquée quand on est auguromane, atteint de la première maladie psychologique occidentale, qui commence déjà à faire des ravages du côté chinois et indien, donc pris dans le tourbillon du bonheur le plus facile à obtenir, celui qui s’achète avec des devises?

Pour moi, ce billet est un pas de plus vers la guérison et le premier signe de guérison est bien sûr de se savoir atteint.

Mais une dernière question : pensez-vous l’être et à quel degré?

(Photo : WayneMethod)

L’éthique élastique

Une nouvelle parue voilà quelque temps m’a beaucoup choqué. Sous le titre « Wal-Mart profite de bénévoles au Mexique », l’article paru sur « lapresseaffaires.com » explique que cette compagnie a recours à de jeunes bénévoles pour combler ses emplois à l’emballage. Superama (le nom qu’utilise la compagnie là-bas) fourni des macarons où on peut y lire : « Nos emballeurs ne reçoivent aucun salaire, seulement les pourboires que vous leur donner. Superama vous remercie de votre compréhension ».

Il faut aussi noter qu’au Mexique cette façon de faire est légale. Alors, étant donné que cette compagnie en profite même si « le code d’éthique de l’entreprise, supposé être appliqué à tous les magasins exploités par Wal-Mart à travers le monde, interdisant explicitement le travail sans rémunération de ses “associés” », nous sommes en droit de nous demander si elle est intrinsèquement éthique, ou seulement assujettie à la baisse par rapport aux règlements, selon l’endroit où elle opère. Pour être mesquins, nous pourrions aller jusqu’à nous demander si Wal-Mart achèterait des esclaves si c’était possible et bien vu de le faire dans un autre pays…

Aussi, selon l’article, les « opérations mexicaines de Wal-Mart sont très profitables, générant un bénéfice net de 1,148 G$ US en 2006. Les derniers profits trimestriels montrent une hausse de 7 % par rapport à la même période l’an dernier, à 280 M$. » Pour sa défense, l’entreprise « affirme également ne pas être le seul détaillant à avoir des emballeurs “bénévoles” ». Nous voilà rassurés…

Cette nouvelle est choquante, mais elle l’est encore plus quand nous savons que ça se passe ici aussi, mais à un autre niveau, et peut-être plus qu’on le pense. Un ami à moi, professeur, a fait « affaire » avec Canadian Tire pour ramasser des fonds afin de financer une activité parascolaire : ces étudiants ont fait le travail d’emballeur pour le magasin bénévolement en échange des pourboires des clients. Le pire, c’est que le magasin a exigé d’avoir un pourcentage des recettes de leur collecte pour leur propre Fondation… Encore, pour ajouter à l’indignation, il m’a raconté que la directrice qui s’occupait d’eux exigeait d’avoir quelques étudiants bénévolement pour ramasser les paniers dans le stationnement, une tâche qui est faite par un employé habituellement : ce qui fait moins de jeunes pour amasser du pourboire. Pas fort… Le pire, c’est qu’il parait que ça fonctionne comme ça partout.

En gros, la critique que je peux faire de ces deux entreprises (même si Wal-Mart a aussi sa propre fondation), et même en extrapolant pour les chaînes en général, c’est qu’elles prennent beaucoup pour redonner peu, au final. L’éthique semble élastique et sert alors plus au marketing qu’à l’aide à proprement parler : qui n’est donc pas désintéressée. Pour les deux entreprises mises en exemple, le fait d’économiser des salaires ici et au Mexique en est bien une preuve flagrante, surtout quand on sait que ces montants ne les conduiraient pas à la faillite, loin de là.

En conséquence, je crois qu’il faut s’inspirer de ces faits pour analyser notre société et prendre nos décisions sur le choix de tomber dans une libéralisation à outrance, ce qui voudrait dire moins de réglementation. Si l’éthique devient seulement garante d’un système économique qui considère les individus comme des données négligeables, les éléments sans âme d’un calcul (les poussant de ce fait à privilégier des valeurs matérialistes et égoïstes afin de survivre), elle sera diluée au point où elle n’existera plus, finalement.

Pourquoi je ne suis pas libertarien (mais que je suis quand même quelque peu sous le charme)

Depuis peu, je me suis intéressé au libertarianisme. Cette philosophie politique, à forte tendance économique, selon le site Le Québécois Libre, repose sur la croyance « que la liberté individuelle est la valeur fondamentale qui doit sous-tendre les rapports sociaux, les échanges économiques et le système politique. » Ils croient « que la coopération volontaire entre les individus dans un marché libre est préférable à la coercition exercée par l’État », « que le rôle de l’État n’est pas de poursuivre des objectifs au nom de la collectivité – comme redistribuer la richesse, « promouvoir » la culture, « soutenir » le secteur agricole, ou « aider » la petite entreprise –, mais bien de se limiter à protéger les droits individuels et laisser les citoyens poursuivre leurs propres objectifs de façon libre et responsable. »

Aussi, sur l’échiquier politique, que nous caractérisons habituellement par l’antagonisme gauche-droite, ils ne veulent pas se situer d’un côté ou de l’autre, car ils considèrent que la gauche et la droite « ne sont plus que les deux revers de la même médaille étatiste. » Donc, ils veulent se distinguer comme étant « la seule véritable alternative : d’un côté, les étatistes de gauche et de droite; de l’autre, les défenseurs de la liberté, de la prospérité et de la civilisation. » Ce qu’il y a de clair, c’est que les libertariens sont contre l’interventionnisme de l’État et des groupes corporatistes, pour une implication citoyenne basée sur la responsabilité.

Sur le même site, dans un autre texte (qui se retrouve sur la même page que celle citée plus haut), « Cinq attitudes libertariennes essentielles », l’auteur Martin Masse dresse une liste, dont il élabore chaque point, qui résume bien cette philosophie :

1- assumer ses choix et cesser de rejeter la responsabilité de ses actions sur les autres
2- voir l’aventure humaine avec optimisme
3- refuser de s’en remettre à des abstractions collectives
4- viser une amélioration constante à long terme plutôt qu’une perfection statique à court terme
5- être tolérant et accepter la diversité

Voilà pour la présentation, maintenant la critique. En soi, il serait presque trop facile d’adhérer à ce système de pensée, car il est logique et répond même à la plupart des questionnements actuels si on le regarde seulement en surface. Il pourrait rallier une bonne partie de la population puisque son but est de nous débarrasser de la connivence entre l’État et les groupes d’intérêt, phénomène qui éloigne de plus en plus le peuple des considérations politiques. Par contre, après l’avoir examiné plus attentivement, il est utopique de penser que la société pourrait s’adapter rapidement à un système de la sorte : pour cela, il faudrait occulter l’histoire, remettre les pendules à l’heure au niveau socio-économique; en somme, repartir à neuf. Et cela est impossible, car à mon sens l’inégalité déjà présente se creuserait davantage, étant donné que l’implication citoyenne n’est pas de mise dans notre monde corporatiste et antidémocratique, où le conformisme est roi.

Personnellement, je pourrais vivre dans un système semblable, car je suis assez confiant de mes capacités d’adaptation, mais je ne crois pas que tout le monde pourrait suivre, même que plusieurs tomberaient encore plus bas qu’ils ne le sont maintenant si les libertariens étaient au pouvoir dans un avenir rapproché. La scission entre les individus et l’État a déjà trop fait de dégât pour que la responsabilité citoyenne soit bien exercée maintenant, à froid, par tous : il nous faudra un filet encore longtemps et beaucoup de travail à faire auprès de la population pour qu’elle reprenne goût à la démocratie. Et ce serait malheureusement l’égoïsme qui primerait si les individus étaient laissés à eux-mêmes aujourd’hui : le constat actuel sur les comportements irresponsables des automobilistes en est un bon exemple à mon avis.

Donc, la solution libertarienne est trop statique, trop extrémiste pour moi qui pense aux répercussions à court terme (et à long terme aussi bien sûr…). Je crois que la société idéale ne pourrait s’appuyer sur un seul dogme, car les individus sont trop dissemblables : le système se devrait d’être toujours malléable, équilibré. Et cette philosophie, même dans son équilibre (implicitement centriste, par son rejet de la gauche et la droite) n’est pas équilibrée, puisqu’elle n’est pas relative et repose sur un monde rêvé où les individus n’ont que des qualités, où l’optimisme serait un idéal partagé par tous.

Si la liberté individuelle est la valeur fondamentale, qu’est-ce qu’on fait avec les défauts des individus? Comment la société pourra freiner la cupidité, l’égoïsme qui caractérise déjà les comportements de l’élite économique? Et si l’État est réduit au maximum et que le secteur privé prend le contrôle de tout le reste, qu’est-ce qui nous assurera que le facteur humain ne deviendra pas encore plus secondaire qu’il ne l’est aujourd’hui? Je le répète encore, mais c’est de l’équilibre qu’il nous faut entre l’État et les citoyens.

Aussi, leur diabolisation de l’État est compréhensible dans le contexte actuel, et je la partage. Mais si l’État était vraiment une extension de notre individualité, basé sur les forces vives de chacun, leur critique, et surtout leur dogme, ne tiendrait pas la route. C’est la corruption actuelle qui lui donne sa légitimité. En réexaminant la thèse libertarianiste, alors que l’on expulse momentanément le parasite corporatiste de l’appareil étatique, il apparaît clairement que l’idée d’abandon de l’État comme régulateur et filet social serait une erreur monumentale pour les mêmes raisons que j’ai décrites plus haut.

Pourtant, après avoir discuté et débattu avec certains libertariens sur leur blogue, j’ai bien vu que leur philosophie est noble, et qu’elle tend vers le bien-être de la communauté. Par contre, elle est peut-être trop optimiste, justement, et j’irais même jusqu’à dire qu’elle se rapproche de la pensée magique : leur position sur la charité privée au détriment d’une concertation étatique sur la pauvreté est fortement utopiste à mon humble avis. Si on laisse le choix aux riches de partager, ils ne le font qu’en minorité alors qu’il faudrait qu’ils le fassent en majorité, et je n’ai pas besoin de donner d’exemple pour le prouver… Peut-être que si dans une société où tous les individus étaient éduqués globalement à leur juste valeur, selon leur capacité, où les superstitions seraient disparues, où la science médicale et le système de santé serait axé sur la prévention, où l’économie serait au diapason avec les vrais besoins de la population (sans création de besoins artificiels pour nourrir la production), où l’environnement serait considéré avec le plus grand des respects, il y aurait place pour un système comme celui-là. Pas avant.

Pour l’instant, je pense qu’il faut collectivement laisser une grande place au dynamisme que provoquent les libertés individuelles, tout en se dotant d’une « assurance tout risque » que prendrait en charge un État vraiment démocratique. Donc, en conservant un système public fort qui regrouperait le bien commun — soit les domaines reliés à la santé, à l’éducation fondamentale (et à tous les domaines de la connaissance, ceux qui ne concernent pas la technique), à l’aide à la famille et à des mesures d’aide aux gens en difficulté, aux relations de travail (dans le but de rendre caduc les différents syndicats, afin de faire profiter de meilleures conditions possibles à tous les travailleurs), entre autres — et en laissant les individus (donc le privé) s’occuper du reste — entre autres l’économie, les biens de consommation (incluant tous les alcools…), la culture de masse, toute éducation qui sert seulement aux besoins de main-d’oeuvre des entreprises — selon des règles justes et équitables qui seraient assujetties le plus possible au bien-être de la collectivité.

Si la responsabilité est une valeur importante pour les libertariens, il faudra aussi qu’ils la confrontent à la responsabilité des autres, tant que l’idéologie ne pourra prendre sa vraie place, dans une société à sa mesure. C’est en faisant la promotion de l’éducation citoyenne de base et en l’instaurant ensuite pour tous que la responsabilité deviendra importante pour tous les individus. Car je crois que l’individualisme, la liberté individuelle acquise sans préparation aurait tendance à se transformer facilement en égocentrisme, je le répète. Et l’égocentrisme est bien le contraire de l’humanisme.

B.L.O.G.U.E.? : Blogues libres ou gains usuels enjôlés?


Quel plaisir de voguer de blogue en blogue! Tantôt, je suis tombé sur un texte du blogue de Dominic Arpin (1*) où il discute d’une histoire mettant en vedette le blogue Le Gros Bon Sens (Gros BS pour les intimes…) et une compagnie que je ne nommerai pas, vous comprendrez pourquoi plus tard. Le topo : S.Martel, le blogueur dudit blogue, reçoit par courriel une demande de cette compagnie pour qu’il parle de leur nouvelle campagne de sensibilisation environnementale dont le but évident est de vendre leurs produits. Bref, le blogueur a refusé d’en parler ouvertement dans son blogue, mais en parle quand même, sous l’angle que cette compagnie l’a placé dans une situation dilemmatique, voire presque philosophique en lui demandant ce service gratuitement.

La chose qui me vient en tête après avoir lu ce texte, c’est le temps accumulé, volontaire et gratuit que le blogueur a mis dans son blogue : ce temps-là est pour lui profitable, car, par la fidélisation d’un lectorat grandissant, il peut choisir et diriger ces propos en accord avec son système de valeurs, d’où l’effronterie d’une compagnie commerciale de tenter de s’y immiscer gratuitement. Je crois que la raison d’être d’un blogue repose sur l’initiative personnelle premièrement, et la cyberamitié deuxièmement, qui se base sur un lien de confiance. Donc, il est normal que le blogueur ait refusé l’offre de cette compagnie, car elle n’a pas respecté ces deux points essentiels, faisant pencher sa décision du côté négatif (bien que l’aspect monétaire semble avoir joué un rôle assez important).

Justement, pour ce qui est de la question monétaire, et par ricochet de la publicité, elle se serait posée même si la compagnie en question avait offert au blogueur une rémunération substantielle. La rétribution par la publicité constitue pour moi, et pour ce blogueur aussi je crois, une question de morale. Donc, la question principale est : est-ce que l’apparition de publicité sur un blogue corrompt de facto le message, surtout si celui-ci est progressiste? Si on me la posait aujourd’hui, je répondrais par un oui clair et net. Sauf que si on m’offrait de me payer pour écrire ce que je veux dans un cadre où il y aurait de la publicité, je ne suis pas certain que je refuserais à la seconde…

J’ai remarqué que, du côté des blogues de droite, il y a plus souvent de la publicité que sur ceux de gauche (même que je n’arrive pas à me souvenir d’un seul blogue de gauche avec de la pub…). Cela est logique. En général, les blogueurs de droite décident d’insérer de la publicité, ceux de gauche préfèrent suggérer aux lecteurs de faire un don. Lequel est plus payant? Est-ce qu’il y a, parmi les blogueurs (mis à part les blogueurs-journalistes rémunérés par les médias corporatistes), un seul qui réussi à en vivre sans travailler ailleurs ou être sur l’assistance sociale? Je ne crois pas…

1* Je n’ai pas ajouté le lien vers son blogue, car Quebecor, son patron, se croit comme un réseau fermé en interdisant les liens dans les commentaires. Si ça vous chante, vous pourrez vous y rendre par vos propres moyens…


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