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GM, Harper, Démocratie 2.0 et privatisation de Radio-Canada

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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)

Le dernier billet de mon blogue, qui était à la base seulement un montage graphique transformant « GM » en « GouverneMaman » commenté minimalement de ma part, a été, par la discussion qui a suivi, le laboratoire de celui qui va suivre. Et je me réjouis de l’interaction entre les citoyens que permettent les blogues, et je remercie ceux qui, chez moi, ici ou ailleurs, participent à cette aventure.

Au départ, je crois depuis longtemps à l’avènement d’une Démocratie 2.0, et l’histoire autour de GM, même seulement au Canada, est un bon exemple pour illustrer son non-avènement. On a entendu du côté des conservateurs que l’idée derrière tout ça est de conserver des emplois, mais on se rend compte, même si le calcul est difficile à faire, que la note par emploi conservé est très salée, s’approchant du million de dollars. Alors, j’en viens à penser qu’on aide plus un symbole à perdurer que des gens à garder leurs emplois.

Le monde change et GM est dans cette situation parce qu’elle n’a pas su se mettre au devant. Sérieusement, je doute fort que les citoyens canadiens aient donné l’aval à Stephen Harper pour ce sauvetage, puisque justement ce sont eux qui dictent, par l’évolution des mentalités, ces changements. Je qualifiais de « grosse balourde » la compagnie GM et je fais donc de même pour le système politique actuel. Tant d’argent public ne devrait pas se jouer aussi facilement, surtout quand les conséquences sont si importantes. Il serait donc temps qu’un vrai dialogue s’amorce entre les citoyens et les décideurs. Le seul suffrage électoral plus ou moins aux quatre ans est devenu insuffisant dans un monde où la rapidité et l’efficacité sont si présentes.

Mais pour pointer les agissements du gouvernement actuel, il y a une absurdité à constater qu’un d’un côté on met tant d’argent pour sauver GM et de l’autre on veut vendre des sociétés d’État comme Radio-Canada. Est-ce qu’après avoir fâché la droite économique les conservateurs tentent de se racheter en jouant le jeu idéologique de la privatisation? Ça en a tout l’air. Est-ce que le symbole de GM, lié à l’économique, est plus important que celui de Radio-Canada, lié à la culture?

Bon, il semble que Radio-Canada ne soit pas vraiment en danger, mais, quand même, trouvez l’erreur : « le diffuseur public faisait face à un manque à gagner de 171 millions de dollars » tandis que « Les gouvernements du Canada et de l’Ontario ont confirmé lundi le versement d’une aide de 10,6 milliards de dollars (9,5 milliards de dollars américains) à General Motors afin de procéder à sa restructuration. » (« Le gouvernement fédéral débourse 7,1 milliards de dollars et le gouvernement ontarien 3,5 milliards. »)

Qui peut croire que le gouvernement actuel est pragmatique?

Vote blanc ou vote utile?

J’aimerais continuer ici la discussion sur l’abstention et le vote stratégique.

Si je croyais que l’abstention était le meilleur moyen de contrer Harper et tout le système en place, je militerais absolument dans ce sens. Mais c’est encore trop un avis élitiste qui ne prend pas en considération la réalité électorale populaire actuelle. Alors, ce n’est surtout pas de ma part un désaveu des idéaux expliqués plus tôt par les commentateurs à la suite des billets précédents, mais bien une tentative d’en décortiquer l’inutilité, dans son sens le plus neutre. Surtout pas d’insulte ici.

Donc, si je puis m’exprimer ainsi, je considère qu’un refus de voter, ou stratégiquement, selon ses valeurs (en ne considérant pas ceux qui veulent de Harper) est individualiste. Je sais que cela choquera sûrement les gens plus socialistes, collectivistes dans l’âme, et que cela ravira peut-être les autres (c’est moi que cela choquera), mais il est naïf de penser qu’une majorité de gens vont donner un signal clair le 14 octobre prochain en ne votant pour aucun candidat.

Et voter selon ses convictions? Dans le contexte actuel, c’est aussi individualiste, puisque voter pour un autre parti que le compétiteur le plus apte à battre Harper est un vote perdu.

Certains penseront, comme les gens du Parti Vert, que chaque vote leur permet d’exister plus amplement. Je suis d’accord. C’est un dilemme avec lequel je ne voudrais pas découdre… Mais je me dis que si les Conservateurs passent majoritaire, qu’est-ce qui arrivera avec le dossier environnemental? Et il ne semble pas — enfin, je crois — que le Parti Vert puisse être en mesure de faire élire un député actuellement.

Je comprends tout à fait qu’il serait absurde de voir un parti politique militer pour un autre qui est dans la course, alors il ne reste qu’aux citoyens à s’organiser pour voter dans le sens qu’il faut pour minimiser les gains conservateurs.

Et je vous avertis, je risque d’être redondant dans le mois qui va suivre… Sur ce, je retourne à la rédaction de l’article à ce sujet que j’aimerais bien voir publié dans les journaux.

(Montage : Inkognitho – Allez lui rendre une petite visite, le titre de son montage vaut vraiment le détour!)

Ajout : Un bon texte à lire, connexe à cette réflexion, du Blogue de la République. Je vous le conseille fortement.

MAXime le MINus

Vous connaissez sûrement dans votre entourage un homme, un gars, complètement en mode chasse aux femmes, obnubilé par la construction d’une personnalité attractive, voire par l’argent, le pouvoir, etc.? Eh! bien, par une source tout à fait sûre, via une discussion voilà environ une semaine, j’ai su par une amie, venant du même coin que Maxime Bernier, la Beauce, que c’est le genre de réputation qu’il a là-bas, enfin, pour une bonne partie de la population. Même que son apparition dans la sphère publique, en politique canadienne, leur semblait tout à fait absurde, même plus, invraisemblable, ce qui par contre ne l’a pas empêché de gagner ses élections en 2006…

Avec le recul, il semble bien que ce monsieur, libertarien par-dessus le marché! aurait dû passer plus de temps à peaufiner son jugement et aiguiser son flair politique, au lieu d’ambitionner… Comme l’écrit bien mon ami Lutopium :

lorsque quelqu’un décide de se présenter en politique pour élargir son réseau de contacts ou accéder à la vie des riches et des célèbres, il est presque certain que les vraies ambitions seront dévoilées un jour ou l’autre. Les véritables raisons qui vous ont amenées à vous lancer en politique risquent d’être dévoilées au grand jour car les journalistes veillent au grain.

Espérons que cela donnera une grande leçon aux futurs politiciens. Maxime Bernier s’est improvisé politicien et a presque réussi à se rendre au sommet, lui que l’on voyait à la barre du Parti Conservateur, que l’on surnommait « Flipper — Le Dauphin », alors qu’il semble seulement mûr pour à peine un poste de gérant de Caisse Populaire… Et le pire, c’est que je soupçonne que sa popularité est due au fait qu’il a une gueule d’acteur! Prends des notes mon Maxime…

Justement, il est trop facile ici de faire un lien avec l’ADQ et ses gérants de dépanneur… et je le fais!

Comme Mario Dumont, Stephen Harper semble avoir de la difficulté à s’attirer auprès de lui des gens de très grande qualité, serait-ce parce qu’il a peur de se retrouver avec des individus qui voudraient devenir calife à la place du calife?

(Photo : telefilm.canada)

Les conservateurs toujours en mode reculons

Les conservateurs (autant le parti que les idéologues, mais ce sera amplement le parti qui sera visé ici) sont de drôles de spécimens. Tandis qu’ils sont fortement soupçonnés d’avoir triché aux dernières élections, ils essayent en catimini de criminaliser à nouveau l’avortement par le dépôt d’une loi ambiguë et censurent un livre hautement factuel sur les drogues. Voilà bien une démonstration limpide du relativisme de la vertu, qu’ils veulent monopoliser pour le bien de tous…

Si on regarde la question de l’avortement, qu’on soit pour ou contre il est clair que le meilleur compromis réside dans le libre-choix, en s’imaginant les gens responsables au possible, donc avec l’apport de la prévention et de l’éducation. La question a savoir si la mort provoquée d’un foetus est un meurtre ou non est tellement difficile à répondre qu’elle me semble assujettie au contexte précis de la génitrice, dans le giron du système de santé, en phase avec une éthique bien construite, pas dans le regard réprobateur d’un dieu et/ou d’un groupe qui se proclame de la vérité et de la moralité. Et des génitrices irresponsables, il y en a encore beaucoup aujourd’hui, il faut en convenir, mais à qui la faute?

Cela me fait penser à la position du parti conservateur sur le livre « Savoir plus et risquer moins ». On pense de leur côté que le public n’est pas digne de recevoir des informations complètes et objectives sur les drogues. On pense que hors des règles édifiées les choix des humains seront obligatoirement déficitaires, qu’en dehors du contrôle étatique traditionnel la perdition guette les brebis égarées… On punit au lieu de comprendre, on répare au lieu de prévenir.

Je ne veux pas trop prendre parti… mais il me semble préférable de prôner l’éducation, la connaissance, le sens critique pour tous, au lieu d’une moralité toute faite pour contrer ces problèmes de société que sont les drogues et l’avortement. La pauvreté monétaire et intellectuelle est bien plus responsable que toute autre chose des choix embrouillés des gens, ces choix qui mènent vers le désespoir la plupart du temps. Connaissez-vous beaucoup de drogués et d’alcooliques pleinement équilibrés, de jeunes filles et de femmes qui utilisent l’avortement comme principal moyen de contraception qui sont allumées, tout à fait responsables, combien d’adolescents et d’hommes qui refusent le condom (et qui ne se renseignent surtout pas à savoir si la dame utilise un moyen de contraception) qui sont aptes à penser plus loin que leur désir du moment?

Et, alors, condamner après-coup ou regarder la situation en face, sans préjugés? Combattre la globalité du problème en examinant le contexte ou culpabiliser?

Répondre à ces questions sans se baser sur son propre dégoût face à ces problématiques est déjà un bon début.

(Photo : Venessa Nina Dot Com)

Canada : quand l’humanisme tombe à l’eau

Il y a un vrai imbroglio à lire sur la question du gouvernement Harper qui « bloque une résolution de l’ONU sur le droit de l’eau ». D’un côté, le Canada s’acoquine des États-Unis (puisque « les États-Unis ne sont pas membre élu, mais ont un droit de participation selon les règles du Conseil » des droits de l’homme) pour mener à bien ce saccage, et de l’autre, le député Francis Scarpaleggia, du PLC, favorable à la position conservatrice, argumente : « On ne veut pas donner des arguments aux Américains. Ils pourraient nous dire: donnez-nous votre eau, on y a droit. » Mais comment s’y retrouver dans cette chaîne d’avis contradictoires? D’autant plus que Maude Barlow, du Conseil des Canadiens, favorable au droit à l’eau, rétorquait : « Le Canada a reconnu le droit à la santé, mais ça ne donne pas le droit aux Américains de se faire soigner chez nous »

Gageons qu’il se cache derrière tout ça quelques intérêts… Il est évident qu’un droit à de l’eau potable, reconnu internationalement, couperait l’herbe sous le pied des embouteilleurs d’eau qui ont bien sûr commencés depuis quelques années à vendre de l’eau puisée à même le robinet. Et les droits d’exploitation de la ressource, ce sont quand même des revenus pour les États!

Comme on dit : plus on en a et plus on en veut!

Et ce qui me surprend beaucoup, c’est la couverture minime de cette nouvelle dans les médias et le peu de réaction. J’ai vu la nouvelle par hasard dans la minuscule section « En bref dans l’actualité » du quotidien 24 heures et je n’en ai pas entendu parler ailleurs (façon de parler!). S’il y a quelque chose de bien important pour l’humanité, c’est bien l’eau, puisque nous en sommes quand même composés d’à peu près 60%… et qu’un humain ne peut pas vivre plus de trois ou quatre journées sans eau.

Décidément, quand l’éthique a été distribuée, il n’y en a pas assez eu pour tout le monde…

(Photo : Pascal Rouen)

Un discours du throne creux


À la lecture du discours du trône, je remarque dès le départ les priorités, dont le choix de l’ordre, avec l’environnement en dernier, qui est assez révélateur :

« Au cours de cette nouvelle session, notre gouvernement se concentrera sur cinq priorités claires : renforcer la souveraineté du Canada et sa place dans le monde, renforcer la fédération, exercer un leadership économique efficace, continuer de lutter contre le crime et améliorer notre environnement. »

Et en plus, le choix du terme « améliorer» – « improving », dans la version anglaise — est assez flou. L’environnement n’est pas un produit de consommation à améliorer, elle va bien ou mal, on la protège ou non. Le pire, c’est que dans la section réservée à cette fin, « La protection de l’environnement » apparaît dans l’avant-dernier paragraphe, alors on voit encore de manière déguisée une position timide, étant donné ce choix dans l’élaboration chirurgicale d’un texte du genre, il ne faut pas se leurrer. Tout est bien calculé, tout autant que cette jambette politique de Stephen Harper sur Stéphane Dion.

Pour avoir lu quelques analyses de quelques blogueurs politiques, il apparaît que Stéphane Dion est pris au piège de la pire manière et qu’il doit se dresser fièrement au nom de son parti et de son image. Pour sa part, Lattachepol croit que « Ne pas défaire ce gouvernement n’arrangera pas les choses pour eux, surtout pas au Québec. On ne va pas en politique pour s’écraser, pour sauver sa job quelques mois. » Et il ajoute : « Les électeurs respectent les élus qui ont du courage. » Et termine par : « Le PLC pourra ainsi sauver le peu de respect qu’il lui reste dans la population. » Je suis hautement d’accord.

Louis, pour sa part, expose la fine stratégie conservatrice et écorche le demi-chef libéral au passage : « On peut détester les positions politiques de droite vieillottes et dépassées de Harper et de ses amis conservateurs (ou adéquistes, au Québec), mais force est d’admettre qu’il joue très bien le jeu politique. Comme quoi un manipulateur sachant manipuler aura souvent l’avantage sur un idéologue un peu naïf comme Dion. » Et, comme ajoute Christian Rioux en commentaire et sur son propre blogue, il est clair que le PLC fera le même tour de passe-passe que le PQ en s’affichant fortement contre tout en étant absent, en partie, au moment du vote.

De son côté, Capitaine Virgil penche du côté de la critique des institutions démocratiques qui sont prises dans un carcan franchement soporifique… De plus, il doute fort que cela nous serve bien, et avec raison : « Beaucoup de gens dépendent de la politique, mais pas ceux qui devraient, c’est-à-dire les citoyens. » Dans un monde où la rapidité et l’efficacité sont de mise, le parlementarisme actuel apparaît comme étant pantouflard et moyenâgeux… Par contre, cela sied bien au Parti Conservateur. Et comme je l’ai ajouté en commentaire à ce texte : « Quand dans une société c’est le gouvernement qui traine de la patte, c’est pas bon signe… »

En espérant que la malléabilité et la facilité du web et le bouillonnant et dynamique laboratoire blogosphérique influenceront un jour nos dirigeants.

La photo provient d’ici.

Wal-Mart sur la voie du recyclage : un opportunisme payant

Il y a de ces nouvelles qui sont très positives malgré le fait qu’elles sont à la fois ambiguës…

Hier matin, un article est paru dans lapresseaffaires.com selon lequel Wal-Mart Canada « va recycler le carton et le plastique qui sert à emballer ses produits mis sur ses tablettes. » La compagnie « espère ainsi améliorer son image auprès du public, mais ce n’est pas sa raison principale » : la « chaîne répond d’abord à la demande des consommateurs, plus soucieux de l’environnement. Ensuite, elle augmente ses revenus annuels d’environ quatre millions, par la vente de ses déchets recyclés. »

On ne peut qu’applaudir cette nouvelle qui aura, pour sûr, beaucoup de répercussions sur les grandes entreprises en général, qui ne pourront faire autrement que de suivre la vague, même si cette décision est loin d’être purement vertueuse. Comme on dit : à cheval donné on ne regarde pas la bride…

C’est une belle preuve que la population peut influencer les choix des entreprises, et que ces dernières trouveront toujours le moyen d’en tirer profit, de toute façon. Mais il reste quand même que c’est la démonstration du rapport de force très sain qu’est le lobby libre des citoyens, qui s’exerce par le droit de veto pécuniaire.

Et, comme le souligne le journaliste Laurier Cloutier, c’est une « position qui a de quoi faire réfléchir des chefs politiques craignant que des programmes environnementaux nuisent à l’économie. »

En conséquence, je me demande bien comment les dénigreurs de tourner au vert se relèveront de ce revers qui, idéologiquement parlant, rebrasse les cartes à un niveau inédit. Car il était facile pour eux de planter l’aiguille de l’économie dans la poupée vaudou de la gogauche environnementaliste pour faire pencher la balance du côté du néo-libéralisme. Maintenant, leur argument clé est rouillé et hors d’usage. Mais, je leur fais confiance, ils bâtiront bien assez rapidement d’autres portes, que je m’efforcerai de claquer encore aussi fort.

Pour ce qui est des efforts de Wal-Mart, ils sont sur la bonne voie, et je ne me gênerai pas pour le répéter encore et encore. Mais, je n’irai pas plus économiser quelques sous chez eux, parce que je ne veux pas l’économiser dans l’espoir de tout ce qu’il leur reste à accomplir, au niveau mondial et social, pour devenir une entreprise vraiment éthique, même s’il semble que cela sera toujours assujetti au rendement économique.

Ce qui me fait le plus sourire, comme sa virtuelle mascotte jaune, rondelette et souriante, c’est qu’il est clair que ce géant a peur. Et plus il aura peur que les consommateurs montrent leurs dents, plus les citoyens en sortiront gagnants. Et des dents, nous en avons beaucoup trop pour ne pas mordre.

Mulcair en antédumont et Harper en cuir?

Le billet de Patrick Lagacé ce matin discute de Thomas Mulcair, cet homme politique qui semble un peu girouette (mais de là à le comparer avec Mario Dumont, il y a un pas de géant à franchir, à mon avis : nous en reparlerons s’il devient un jour chef de quelque chose…), et qui se présente dans Outremont sous la bannière NPD. J’ai laissé rapidement un petit commentaire à la suite de ma lecture :

« À vue de nez, Thomas Mulcair n’est ni plus ni moins différent des autres politiciens, il est interchangeable. S’il a une « case » dans le cerveau pour pouvoir s’imbriquer dans un parti de gauche, j’en suis fort aise, puisque je n’ai pas honte d’avoir un parti pris pour mes valeurs.

Mais sérieusement Patrick, est-ce que tu penses vraiment que les dénominations et les lignes de parti ne sont pas diluées à l’extrême de leur sens justement pour que des politiciens qui ont une forte cote de popularité puissent aller un peu partout? »

J’ai bien hâte de voir s’il va me répondre…

Aussi, en survolant les commentaires, je suis tombé sur cette perle :

« stephaneharpon

Le Vendredi 14 Septembre 2007

J’espère simplement que les Conservateurs vont remporter davantage de sièges. Stephen Harper est un homme, il n’a pas l’air d’une moumoune comme Dion. Y me semble que cet argument suffit pour élire d’autres conservateurs, surtout que le BQ ne prendra jamais le pouvoir. Le BQ zigne sans jamais entrer. Messemble que ça doit être irritant à la longue! :)»

Me semble Stéphane que je verrais bien Harper avec un kit de cuir…


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