Posts Tagged 'confiance'

Enquête publique : Le gouvernement Charest sur la défensive

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Ne bouge surtout pas!

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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)

L'archer

Je suis tombé sur cette photo la semaine dernière. Elle m’a troublé.

Au-delà de la confiance aveugle, j’y vois une allégorie de notre condition sociétale. Les anarchistes (enfin, quelques-uns), qui ne doivent plus beaucoup m’aimer, seront peut-être heureux de lire que je vois dans cette photo notre assujettissement au pouvoir.

On nous organise et la majorité s’installe, sans dire un mot, la baloune entre les dents, le risque inhérent étant un concept mou, une suite de lettres sans substance.

Alors, il reste le refus. Le problème, c’est que le refus n’attend que le poids du nombre. Et il ne saurait se décliner en une seule théorie, même une myriade ne saurait faire atteindre le point de bascule puisque c’est l’utilité, la survie qui prime. La philosophie ne rime malheureusement pas avec la survivance, elle est un luxe.

Mais comment ne pas voir la contradiction qui s’installe? C’est la survie qui empêche et entretiens le refus, comme possibilité. La peur de perdre empêche la fuite dans la rébellion, et l’état de survivance est souvent l’étincelle qui l’allume. Et tout cela, toujours dans le déficit.

C’est l’habileté de l’archer, ou plutôt la croyance en son habileté, voire sa virtuosité, qui tient tout ça ensemble. Qu’il soit personnellement et pour la plupart un mauvais homme n’est même pas important. Sa place dans la photo est tout ce qui compte. Et il est interchangeable.

À cette distance, il n’a pas de visage.

Patch contre l’électrosmog

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C’est un sujet dont on ne parle pas vraiment dans les médias, la pollution électromagnétique. Pourtant, une entreprise française vient de lancer au Canada, sous le nom de D’Faz, « un patch protecteur à coller au dos de son téléphone portable. » Ce bidule « neutralise en déphasant les ondes à haute fréquence qui nous agressent ».

Le deuxième paragraphe du communiqué de CNW est assez éloquent :

À l’heure où les grandes villes du monde envisagent de devenir wi-fi, de plus en plus de scientifiques sonnent l’alarme sur les risques sanitaires à long terme de l’électrosmog : troubles du sommeil, céphalées, pertes de mémoire mais aussi leucémie infantile et différents types de cancer… Le diagnostic fait froid dans le dos. « Les ondes électromagnétiques émises par les technologies sans fil pourraient devenir le scandale du tabac du 21e siècle », pouvait-on même lire dans l’International Herald Tribune en septembre 2007.

J’irais dans le même sens que mon billet nommé « 243 entorses à la liberté » :

Comment peut-on parler de liberté, de souveraineté sur son propre corps quand l’environnement est chimiquement [changer ici pour « électromagnétiquement »] hostile[…]?

Le problème, c’est que cette perte de contrôle est inscrite dans les fondements de nos sociétés basées sur les progrès. Ces progrès ayant été promus dans un emballage ultra positif, laissant les après-coups aux seules mains de la médecine qui se trouve à y trouver aussi un moteur assez performant pour la suite des choses. Cela n’est rien de moins qu’un cercle vicieux.

Personnellement, j’aime bien les progrès technologiques. Mais j’ai un problème éthique à devoir payer pour me protéger de quelque chose qui m’est offert à prix fort, puisqu’il n’est pas que matériel, mais bien plus culturel.

La moindre des choses serait que ces nouveaux produits incorporent à leur frais ce genre de technologie de protection. En cette époque de crise économique, ça livrerait un beau message pour redonner confiance aux consommateurs…

Est-ce que j’ai besoin de spécifier que je ne propose même pas une loi?

Quelqu’un n’a pas encore vu cette photo-là!

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Le blogueur Éric de Scotch et sloche pose une foutue bonne question par rapport à cette photo-là : Info ou vidange? Pour ceux qui ne la reconnaissent pas, c’est Rihanna qui venait tout juste de se faire battre par son amoureux Chris Brown. Pour ceux qui ne la connaissent pas, c’est une chanteuse pop, originaire de la Barbade, qui trône plus souvent qu’à son tour depuis quelques années au sommet des palmarès mondiaux. (Voir sa page sur Wikipédia et/ou une recherche d’image sur Google pour voir la différence.)

Donc, à la question de savoir si c’est de l’info ou de la vidange, je ne vais pas m’enfarger dans les fleurs du tapis en écrivant que tout ce qui touche à la musique commerciale, au star system états-unien, c’est tout simplement de la marde, conséquemment ce qui en ressort aussi. Nan… Même si c’est sûrement profitable pour le magazine qui a sorti la photo, elle ne nous parle pas moins. J’irais même jusqu’à dire que pour une fois ce champ de pourriture qui avilit notre belle société pourrait servir à quelque chose de constructif, au lieu de simplement nous gaver de sucre, de calories vides!

Mais c’est certain que mon regard là-dessus est complètement biaisé, vu que j’ai la violence conjugale de tatouée dans ma fibre depuis tout petit. Et il l’est encore plus puisque je gagne ma vie à faire se trémousser les demoiselles, qui par définition préfèrent majoritairement au sang les bonbons… Je leur donne ce qu’elles veulent, et ça fait longtemps que j’ai arrêté de croire que la plus grosse partie de mon travail c’est d’éduquer musicalement une meute en chaleur. Ça me fait même beaucoup plaisir de le faire ce travail. Sauf que j’ai quand même mes limites, justement, je n’ai jamais voulu jouer des chansons de ce Chris Brown : là, ça commence à trop sentir cheap! Un peu comme Celine. Bon, je divague.

C’est dommage, mais les histoires de femmes battues anonymes ne réussiront jamais à faire autant réagir et réfléchir que celle-là et je crois qu’il faut en profiter (même si ça s’avérait au pire une farce de très mauvais goût…). Et les hommes battus ne sont surtout pas en reste dans le calcul. Qu’une ou un trou de cul se permette de violenter la personne qui par définition devrait lui faire le plus confiance, ça ne me rentrera jamais dans la tête comme quelque chose de sujet à débat, sur le fond. Et pis fuck l’alcool et tout le reste comme bémol aux actes! La violence conjugale, c’est la pire des trahisons après l’abus sexuel.

Oui cette histoire pue, mais rien en comparaison de la puanteur des violents de l’amour.

Je ne voudrais pas être dans les culottes de Stephen…

À propos de Stephen Harper, Nicolas pense qu’il est porté par Machiavel et Sun Tsu.

Je pense que ce serait lui donner trop de génie. Notre bon père de famille national pensait plutôt que la « presque » raclée de sa dernière victoire s’était chargée d’étouffer l’opposition, surtout que cette opposition avait clairement refusé de se rapprocher. Mais changer d’idée en politique est une seconde nature… Et ça, il semble que le grand stratège l’a oublié!

Bryan rappelle aux admirateurs de Stephen qu’il a signé en 2004 un document avec le NPD et le Bloc pour éviter des élections, qu’il ne faut pas s’offusquer du soutien des « séparatistes » puisque deux budgets ont passés grâce à eux, et surtout, que le Premier Ministre « est la personne qui a la confiance de la chambre, pas la personne qui termine première dans les intentions de votes (sic). Harper ne peut blâmer que lui-même pour cette perte de confiance. »

Rien à rajouter.

Steve Proulx pense que ce « putsch » est « peut-être la meilleure chose qui pourrait arriver à la démocratie. »

Tout à fait d’accord. Et pour ceux qui pleurent comme des madeleines devant ce possible revirement, je me questionne quant à savoir si votre vision de ce qu’est un gouvernement ne se voile pas trop de partisanerie. Pourquoi les forces de l’opposition ne pourraient-elles pas appuyer fort à ce point, si c’est dans la possibilité qu’offre le système parlementaire?

En lien avec la position de Pauline Marois qui accepterait de voir Stéphane Dion à la tête de la fédération, Robert Dutrisac compare la situation au film Proposition Indécente, où un millionnaire offre à un jeune couple amoureux un million de dollars pour coucher avec la dame.

La comparaison est plus esthétique que logique. Au niveau individuel, pour les électeurs péquistes, que Gilles Duceppe « couche » avec Stéphane Dion pendant quelques mois, ça ne devrait pas bouleverser grand-chose… Et puis encore, pourquoi être souverainiste devrait-il signifier être tout le temps un gros grain de sable dans la machine fédérale? Être souverainiste c’est entre autres ne pas se contenter, et de ne pas se contenter est un bon point de départ pour faire bouger les choses.

Pcmarty, contre l’argument de l’opposition qui brandit le trop-plein d’idéologie de droite dans l’énoncé économique du PC, répond que la gauche est tout aussi idéologique, que la politique EST idéologie.

Je lui donne raison sur le fond. Par contre, je ne gagerais pas que la totalité, ni même une majorité des électeurs qui ont voté pour le PC soutiennent sans fléchir la partie économique de leur idéologie. D’autant plus qu’exhaustivement, la majorité des votes n’a pas été pour le gouvernement. Alors, la modération aurait eu bien meilleur goût, et nous n’en serions pas là!

Bref, dans le contexte économique actuel, je crois que de dilapider des fonds dans une autre élection fédérale serait le pire scénario. La GG doit jongler comme jamais. Il doit y avoir des accidents d’influx nerveux dans ses neurones…

(Photo trouvée chez P45)

Après le cinéma, le cinémomètre

C’est quand même assez drôle de lire le libertaré Martin Masse traiter Patrick Lagacé d’« insignifiant sans culture intellectuelle à qui l’on a donné une tribune pour exprimer ses sautes d’humeur d’ado attardé », je m’étais habitué à un peu plus de sérieux de sa part… même dans ses coups de gueule. Le phénomène des trolls semble encore prendre de l’ampleur…

C’est une évidence, nous avons affaire à un extrémiste comme les autres, piochant sur son idée monomaniaque, son système utopiste : nulle société complètement libertarienne n’existe dans ce bas monde. Cet extrémisme ne me plaît pas plus que son contraire, et même son travers, et son biais, et le contraire de ce dernier. Je suis pour un idéalisme de centre, qui est une position tout aussi défendable, n’en déplaise aux amateurs du noir et blanc.

Le sujet de cette montée de lait, pour ceux qui n’ont pas suivis les hyperliens plus haut, c’est l’idée d’instauration de cinémomètres sur les routes du Québec. Je partage avec le journaliste l’espoir (que cela pourrait faire peur aux automobilistes et faire changer leurs habitudes) et avec le « cheuf » des éconocentrophiles sa critique quant au fait que ce seul moyen ne serait pas salvateur en lui-même, qu’il y a d’autres éléments, dixit le chroniqueur automobile Alain Raymond, dont le perfectionnement des voitures et les cours de conduites, sans oublier la lutte à l’alcool au volant.

Quoique, je me demande bien si les progrès technologiques ont été assez rapides, et le parc automobile renouvelé assez vite pour permettre de croire que l’amélioration du bilan routier serait dû majoritairement à ça. J’en doute… Mais ça ferait tellement beau comme slogan : seul le progrès technologique sauve des vies! Il faudra quand même attendre que la conduite automobile soit complètement automatisée, ce qui devrait bien arriver dans le futur. On aura alors à choisir entre l’État ou les machines…

Mais une question que je me pose, dans l’optique où la philosophie libertarienne repose sur la confiance quasi absolue en l’individualité : pourquoi le risque en lui-même, bien sûr de se promener en voiture sur les routes, ne rend pas déjà tous les usagés prudents et conscients des dangers, à un niveau acceptable pour tous? Et même, pourquoi, quand les cours de conduite ont arrêté d’être obligatoires, les gens n’ont pas continué de les prendre quand même pour avoir les bonnes techniques de conduite, si la solution à tous les problèmes se trouve dans l’individualité?

Le pire, c’est que je serai bien heureux dans une société libertarienne (mais quand même dans l’optique où tous les citoyens auraient à coeur la responsabilisation personnelle, ce qui n’est pas du tout le cas…) : j’avais le choix de suivre ou pas un cours de conduite et je l’ai pris, pour ne pas être un danger public. Et une chance, parce que pas plus tard qu’hier j’aurais pu avoir un accident, parce qu’un vieux con n’a pas fait son angle mort et m’a presque tourné dessus, une chance que j’étais vigilant et que je n’étais pas dans le même état qu’une personne qui fait une balade à pied dans un bois…

Vous me traiterez de fasciste si vous voulez, mais moi j’imposerais du haut de mon ignominie étatiste des tests de conduite à répéter, au moins aux 10 ans, question de faire disparaître des routes les personnes inaptes, comme ce vieux con!

(Photo : grafic details)

L’accord tacite #10

(Pour plus d’information quant au sujet de cette publication, consultez L’accord tacite #1.)

10) J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système. j’accepte d’ailleurs toutes sortes de divisions possibles, pourvu qu’elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux,

Pour vous avouer franchement, je ne me souviens pas par coeur des 33 points de cette liste et la lecture de ce point m’a vraiment fait sursauter! Sans blague!

C’est une chance que je ne fusse pas avancé dans ce projet au point de faire celui-là pendant que j’étais encore enrubanné du gauchisme uhecéen… Je me serais trouvé dans une drôle de situation, même si j’ai toujours partiellement trouvé que les catégories gauche-droite sont insuffisantes à expliquer le monde idéologique à elles seules et qu’en même temps mon « coeur » est visiblement à gauche, dans le sens de progressisme. Et je dis partiellement, car les définitions de la droite et de la gauche, bien que discutables, servent au moins à préciser ou à généraliser quand on en a besoin. C’est utile et stérile en même temps. À utiliser avec précaution.

Pour revenir au « coeur », j’essaye tant bien que mal de ne pas seulement le suivre, par logique. Sans « tête », le « coeur » se démène comme une poule pas de tête, et de trouver des solutions à des questions comme « l’oeuf ou la poule? » est impensable!

Mais ce que je comprends avec ce point, c’est une accusation envers le système de balancier qui fait osciller la société dans un sens, puis dans un autre, sans toutefois apporter de changements vraiment profonds. On a l’impression que ça avance, que ça bouge, mais c’est du surplace. Donc, la politique est emprisonnée dans une architecture quasi binaire, où les solutions sont des agencements avec plus ou moins de gauche et de droite. Comme des recettes de cuisine. Comme des expériences avec éprouvettes par essai-erreur…

Quand on regarde du dehors des idéologies, en vrai pragmatique, elles apparaissent comme des Legos à démonter et à possiblement remonter, avec l’apport d’autres morceaux, mais seulement dans le royaume des concepts, puisque la politique d’aujourd’hui ne peut que jongler qu’avec les bras mécaniques de la partisanerie qui n’est qu’un jeu de mauvais et de bons coups à court terme. Exit les positions subtiles, exit les hypothétiques (puisqu’il devrait bien y en avoir) nouveaux alchimistes qui pourraient réussir à faire tourner la société sur un dix cennes… Les consommateurs chialent, mais le chic du Parlement les impressionnent, les vieux de la vieille dans tous les sens de l’expression ont toujours la cote parce qu’il ne faut rien démolir, toute nouveauté est dichotomique à la confiance et surtout comique… En fait, pas si comique que ça, même les humoristes ne trouvent plus beaucoup de jus dans le bal des élus!

Alors, il reste toujours la gauche éculée, acculée et accusatrice, bien qu’accrochée solidement au plancher, contre la droite froide, stoïque et revancharde, mais tellement efficace, pour attiser encore trop peu de passion. Rien de trop gros pour les analyses sèches, mais goûteuses des naufragés sur l’île de l’équilibre, état vers lequel je peine à tendre, à temps partiel.

Cela devient lassant de se battre contre les vents et marées de la politique d’apparence, qui n’est en fait qu’une belle pièce de théâtre diplomatique. Je vous laisse donc sur une analyse crue et lumineuse de Patrick Lagacé, où il dresse un beau portrait de la politicaillerie québécoise actuelle. En espérant que son message passera, pour le mien c’est moins évident…

(Photo : givikat)

La Bourse ou la vie

La crise financière mondiale actuelle qui se dessine est une belle allégorie de la répartition des pouvoirs dans notre société. J’admets que l’utilisation du terme « allégorie » est un choix plus esthétique que pragmatique, puisqu’il s’agit plus amplement de la réalité… Alors, une question : pour ce qui est du phénomène de panique humaine qui occasionne les soubresauts économiques à court terme, qui en détient les leviers? Pas vous ni moi, sauf si vous travaillez dans un domaine qui touche à la spéculation.

Donc, notre seul levier est notre pouvoir d’achat — et minimalement nos votes (quelle bonne blague!) —, et il semble que seule la confiance au système permet de nous rendre, nous les consommateurs, plus chauds ou plus froids à la consommation. Au total, c’est la peur qui guide les gens de la Bourse, c’est la peur qui guide le peuple. Pour faire un constat analytique simple, c’est terrorisant. Le capitalisme, tel qu’il se pratique aujourd’hui, est effroyable.

Mais, il suffit de laver la pollution avec des statistiques de croissance économique bien ficelées pour que cela ne le soit plus… Après le blanchiment d’argent, l’économie est javellisante!

Il reste que le coût de notre confort est plus élevé qu’on le croit : La Presse canadienne fait état d’une étude qui « met en lumière les dommages écologiques que les pays pauvres supportent pour permettre indirectement aux pays prospères de maintenir leur niveau de vie ». Alors, la mondialisation ne serait pas que positive, puisqu’il y a un écart causal évident entre les pays riches et les pays pauvres qui, bien qu’ils « n’aient contribué qu’à raison de 1,3 pour cent aux gaz destructeurs de la couche d’ozone, […] payeront 15 pour cent de la facture en termes d’impact sur la santé. »

En gros, il y a de l’iniquité, de la pollution partout, qui aura assurément des répercussions globales et on devrait se fermer les yeux, laisser la science spéculative faire son travail, et foncer tout droit en scandant la croissance et le progrès à tout prix. Voilà le plan.

Les systèmes boursiers et leurs laquais sont comme un pistolet sur la tempe de l’humanité. Il faudra que le pouvoir d’achat se transforme en pouvoir d’acheter responsable, cette sangsue boursière mourra alors de sa belle mort, laissant la place à un système plus respectueux de la vie.

(Photo : dhammza)


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