Voilà, c’est officiel, je suis déménagé à cette adresse :
http://www.renartleveille.com
Qui m’aime me suive! 😉
(Photo : Werner Schnel)
Opinion, humeur, politique et poésie!
Voilà, c’est officiel, je suis déménagé à cette adresse :
Qui m’aime me suive! 😉
(Photo : Werner Schnel)
Voilà, les lecteurs de La Clique du Plateau ont choisi Richard Martineau comme bon premier, Denis Lévesque comme deuxième et Stéphane Laporte comme troisième pire journaliste/chroniqueur. Et, comme vous pouvez le constater, ils m’ont demandé d’illustrer l’événement, ce que j’ai fait avec joie, et beaucoup d’huile de coude!
Pour ma part, je ne suis plus certain de mes choix, mais je me souviens qu’un de mes préférés ne s’y retrouve pas, soit Claude « Clown » Poirier! Quand même, il le méritait amplement, pour la totalité de son oeuvre!
Ça me fait penser à quelques poiriaiseries qu’un copain sur Facebook a notés :
« suspect autre que blanc », « agression sessuelle» et « travailleuse du sec »
Et il faut remarquer que TVA torche sur le podium, et parmi les finalistes, quand même.
Pas bien bien surprenant…
Depuis la parution de mon billet nommé « Elvis « Masbourian » Gratton », j’accumule des billets que j’ai lu portant sur le sujet de la situation du français.
Coyote Inquiet (portant très bien son pseudonyme) qui remarque en se promenant dans le quartier Plateau-Mont-Royal que 80% des gens dans la rue se parlent anglais. Phénomène que je remarque aussi parce que j’y travaille. Au-delà de l’irritation (et d’une certaine incompréhension) que je partage avec lui, j’ai trouvé quelque chose comme une réponse dans la section Opinion de Cyberpresse.
C’est un texte de Patrick Poisson, un « professeur de français langue seconde auprès des immigrants et étudiant à la maîtrise en éthique appliquée à l’Université de Sherbrooke » titré : « Les francophones laissent Montréal s’angliciser ». Il pointe les « lois linguistiques déclarées inconstitutionnelles, la culture américaine en super concentré, la mollesse du Canada à défendre sa minorité linguistique, la migration des francophones vers les banlieues, etc. »
Parlons-en du pouvoir, et encore plus du législatif, de la Cour Suprême du Canada : les Santa Claus qui ont fait arriver Chrismas un peu trop en avance cette année. On voit bien combien est vraie la formule : si tu ne t’occupes pas de politique, c’est la politique qui va s’occuper de toi… Mais là, c’est encore pire, puisque même une forte majorité de québécois en désaccord avec eux n’aurait pas pu influer sur cette mise à mort de la loi 104. Il y a bien du laisser-faire et de la peur qui nous ont menés jusqu’à aujourd’hui, encore des sujets de Sa Majesté, même si elle est bien le contraire de l’omniprésence dans nos vies.
Je n’arrive pas à comprendre cette traditionnelle guérilla en règle contre la loi 101, et encore plus aujourd’hui, puisque l’anglais est tout simplement un greffon à toutes les langues : qui n’a pas remarqué que le réflexe de traduction semble de moins en moins nécessaire quand il s’agit de la « langue des affaires ». Je pense à un détail dans ma lecture du moment, un roman fort intéressant de Jean-Simon DesRochers : La canicule des pauvres, aux éditions Les Herbes rouges.
L’auteur, qui se réclame du réelisme, dépeint quelques personnages anglophones et se sert donc de l’anglais dans les dialogues et dans la transcription de leurs pensées. Où j’en suis rendu dans ma lecture, il fait la même chose avec des personnages qui s’expriment en espagnol, mais dans ce dernier cas, on a droit à une traduction en fin de page.
Si j’étais un parfait unilingue francophone, une partie de l’oeuvre m’aurait été inaccessible. C’est un fait, pas une critique, enfin, pas personnelle, puisque je n’ai pas été brimé dans ma compréhension. Et je ne crois pas que ce choix éditorial est politique. S’il l’est, ça me surprendrait beaucoup. C’est un choix pratique. Pourquoi considérer une oeuvre francophone dans un contexte de lecture seulement francophone quand c’est (pratiquement) inutile d’aller au bout de la logique?
Alors, pour revenir à nos zélateurs anglophones, je le répète : pourquoi agir comme si l’anglais était en voie de disparition alors que cette langue est maintenant le greffon de toutes les autres? Les francophones n’ont pas besoin de s’ouvrir à l’anglais, car le forceps est bien ouvert et surtout, greffé. Qu’on soit d’accord ou pas n’est même pas secondaire tellement c’est hiérarchiquement bas. C’est comme ça.
Pour le reste, il y a notre espace linguistique à renforcer comme du béton armé. Ce qui donne pour certains, comme Caroline Moreno, le goût de suggérer des choses comme « Revenir aux graffitis (101) », « Bloquer un pont et réclamer le départ d’Ottawa du Québec » et « Prendre d’assaut l’Assemblée nationale du Québec et déclarer l’indépendance du Québec ».
Ce ne sont que des suggestions, mais une chose est sûre, c’est que le je-m’en-foutisme des uns encourage certainement l’extrémisme des autres.
*
Lire aussi :
Gérald Larose : La disparition sociopolitique du français en terre d’Amérique fait partie de l’ADN du Canada
Josée Legault : La lâcheté érigée en système
Ajout :
J’écoutais La Joute hier. Pendant le débat sur le sujet, « Imposer le français au collégial? », Patrick Masbourian a fait un Elvis Gratton de lui-même. L’extrait n’est pas disponible, alors je vais le paraphraser :
Quand tu « Think Big », tu parles anglais!
Oui, il était sérieux, et oui, c’était supposé être un argument-choc pour gagner des points durant le débat! En tout cas, ce qui est certain, c’est qu’il a pitoyablement perdu la partie, arrivant bon dernier… (Pour ceux qui ne connaissent pas l’émission, c’est le public qui vote.) Mais bon, c’est une émission de Télé-Québec, alors ça vaut ce que ça vaut. (Ajout : j’aime Télé-Québec et tout ce que je veux dire par là, c’est que le résultat est sûrement beaucoup lié à l’auditoire de ce poste.)
Personnellement, ce qui m’énerve avec ça, c’est que ce qui devrait être un choix, une curiosité, quelque chose d’utilitaire (apprendre l’anglais est une chose, être anglophile en est une autre) devient une idéologie qui classe dans la catégorie des perdants ceux qui, par choix, par goût, et/ou par (manque de) nécessité, s’intéressent peu ou prou à la « langue des affaires » (expression fourre-tout qui signifie aussi « langue du travail », pour ne nommer que celle-là).
Parce que je sais bien que c’est un atout parler anglais. Mais il n’a pas l’honnêteté de constater que c’est plus le cas pour certains que pour d’autres. Pour ma part, je ne le parle ni assez ni bien, mais quand on me donne l’impression comme lui que l’anglais est une nouvelle religion, mon athéisme refait surface…
Et surtout, je trouve que c’est retourner la question à l’envers. Il est question de la pérennité de la langue française en Amérique et d’intégrer les néo-québécois à langue (officiellement) commune, ce qui est tout à fait légitime, pas de taper sur les doigts des francophones!
Parce que justement on se fait assez taper sur les doigts légalement avec cette invalidation de la loi 104!
(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)
Il est tout à fait drôle de voir comment certaines informations sont séduisantes, et d’autres beaucoup moins. On se souvient à quel point la révolution verte iranienne a enflammé les comptes Twitter et les grands médias, laissant les critiques à la risée générale. C’était très à la mode de se peinturlurer en vert et j’en vois même encore aujourd’hui. Alors, émettre un doute quant à la participation de la Maison Blanche à tout cela était vraiment le meilleur moyen pour jeter l’opprobre sur soi…
Pourtant, Hillary Clinton a avoué à CNN le 9 août dernier que les États-Unis ont manipulé la « révolution verte » en Iran.
Traduction française d’une citation :
Ainsi nous avons fait beaucoup pour renforcer les protestataires sans nous afficher. Et nous continuons à parler avec et à soutenir l’opposition.
Et pour dire vrai, je suis tombé là-dessus alors que je cherchais des informations sur un autre sujet en lien avec l’Iran, soit que « Washington est derrière la rébellion sunnite en Iran » : une autre information qui n’est pas sexy… bien qu’elle provient d’une source tout à fait sérieuse, l’Agence France Presse (AFP).
Ça ne semble pas s’être rendu jusqu’au Québec, et dans la francophonie la nouvelle a été reprise par beaucoup de médias alternatifs, bien peu chez les autres : les premiers résultats sur Google avec les mots-clés « Washington derrière rébellion sunnite Iran » donnant deux médias belges.
Alors, il me vient un questionnement. Est-ce que l’épithète « conspirationniste » servirait en fait souvent à qualifier les gens qui pointent autre chose que les choix éditoriaux des grands médias?
Je demandais dans mon dernier billet sur Jean-François Plante pourquoi il avait inscrit le terme « famille » dans son slogan, j’ai eu partiellement une réponse dans un article de Rue Frontenac :
« Au-delà de l’ADQ, il y a beaucoup de gens qui aiment qu’on leur parle de valeurs comme le choix, la liberté et la famille », a expliqué l’animateur d’une radio sur Internet, citant l’exemple des parents qui s’opposent au nouveau cours d’éthique et culture religieuse et de tous les gens « qui voudraient moins de gouvernement (sic) dans leur vie ».
Voilà, la famille, dans son sens le plus religieux, ce dont je me doutais. Pour la liberté et le choix d’endoctriner ses enfants comme bon nous semble. C’est joyeux.
On me traitera d’étatiste, mais je préfère nettement des enfants qui ont la possibilité d’avoir une vue globale sur la société à tout enseignement centré sur la croyance des parents. Ils auront bien, et la liberté, et le choix de se positionner plus tard quand ils auront assez de bagages pour en décider par eux-mêmes.
Dire qu’on parle de famille…
Et si vous ne le saviez pas, JF Plante est officieusement dans la course à la chefferie de l’ADQ. Il le sera officiellement quand on aura vérifié ses 1000 signatures.
(Photo : Mauvais Oeil.)
(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)
Dans le confort du statu quo, quelle graine de changement peut bien germer? C’est ce que je me demande à la suite de la sortie de Jacques Parizeau, qui dit :
C’est bien embêtant. Il y a des crises qui apparaissent de temps à autre, mais ce n’est pas toujours au bon moment pour nous. En fait, il faudrait susciter la crise.
(Source : Le Devoir)
Bien qu’on veuille retourner la question dans tous les sens, à la base, le mouvement souverainiste trouve sa raison d’être dans l’insatisfaction. Les fédéralistes auront beau le pointer comme étant une tare, c’est la dynamique : on veut ou on ne veut pas bouger.
Aussi, ce plan Marois a au moins la qualité de placer l’électorat, déjà, devant un choix un peu plus clair pour le futur, contrairement aux dernières élections — et je ne pointe pas seulement 2007 — où le PQ semblait seulement l’alternative au PLQ, avec en façade les couleurs du mouvement souverainiste, sans la fougue qui devrait venir avec. À mon humble avis…
Après l’écriture de ce dernier paragraphe, je suis tombé via Patrick Lagacé sur le dernier commentaire de Joseph Facal à ce sujet. Morceaux choisis :
la stratégie de madame Marois est que le Québec s’affirme au maximum dans le cadre politique actuel. […] Au moins, les souverainistes sortent de leur longue négation du réel et recommencent à bouger. […] Évidemment, les fédéralistes québécois, eux, ont leur solution toute trouvée: faire croire qu’il n’y a pas de vrai problème, et laisser le Québec devenir rapidement une grosse Acadie.
Peut-être que le mouvement souverainiste ne fera que ralentir le mouvement, mais au moins il y aura eu un peu d’action. Et encore plus, le Québec sera comme l’hospice où parquer majoritairement ce qu’il reste de l’esprit francophone en Amérique, jusqu’à ce que tout ça meurt d’avoir trop mal vieillit.
(Image trouvée via La Terre va trembler – Le plan Marois selon The Gazette)
Nous ne sommes pas des journalistes, et s’il y en a pour leur ressembler, c’est par la nécessité d’attirer les foules et ainsi de recevoir les deniers de la pub — pour ne pas écrire « la pute ». Nous sommes des gens, tout ce qu’il y a de plus subjectifs. Nos choix de sujets le sont absolument. Il y a une raison pour aller commenter chez l’un et pas chez l’autre, nos attitudes négatives ou positives envers quiconque sont des choix sciemment raisonnés, ou nous sommes des bêtes sentimentales, ce qui revient pratiquement au même. Alors qu’on me lâche avec l’objectivité! Et il faut vraiment que ça me tanne pour que je parle de quelque chose qui va comme ça de soi pour moi!
On remet déjà en question celle des journalistes alors si un de ceux-là se met le gant blogal pour s’exprimer sur le web, permettez-moi de douter du but recherché. L’objectivité est un masque pour les pleutres qui ont la chienne de se faire pointer du doigt et pour ceux qui sont payés pour pomponner la nouvelle. Ces derniers sont au moins utiles. Ça rapporte. Dans tous les sens possibles.
Se targuer de l’objectivité en-soi dans la blogosphère, c’est insidieusement s’habiller de l’argument d’autorité, mais cet habit-là taillée de son propre égo qui en plus en beurre épais. Ça me les gonfle toutes, toutes les parties, du cheveu à l’ongle d’orteil!
Ça tue ce qui reste de l’honnêteté, même de l’humain. Le robot, l’ordinateur transmet l’information, n’y laisse rien de lui-même, nous oui.
Quiconque veut me faire suer à grosses gouttes continue de l’imiter. Tendre vers l’objectivité c’est se fondre dans l’outil.
J’aime mieux voir un humain même grossièrement tracé qu’un gros marteau en 3D.
*
(À part ça, je taquine l’Iggy en chaussant les souliers de Christian Vanasse chez BV!)
Selon le National Post, trouvé via Goudaille, Justin « fait caca » Trudeau serait le choix canadien numéro 1 à la chefferie du PLC.
S’il devient un jour PM of Canada, bonjour la souveraineté du Québec!
(Montage-photo : Neil Obstat)
J’ai un petit service à vous demander. J’aimerais savoir laquelle bannière entre les trois vous préférez.
Merci d’avance, ça va nous aider à choisir.
Ajout :
La deuxième a gagné haut la main, merci!
Je ferme donc les commentaires.
Le billet qui suit est ma première contribution au blogue « Les 7 du Québec ». Pour laisser un commentaire ou suivre la discussion, vous devrez vous rendre là-bas, puisque je ferme les commentaires ici.
Concernant le refus du Ministre de la Santé Yves Bolduc de permettre l’ouverture de piqueries supervisées, il est clair que c’est du calcul politique, électoraliste. Il ne faut pas se laisser berner, l’« ambiance » conservatrice dans laquelle baigne le Québec depuis quelque temps, au su et au vu des derniers sondages qui placent Stephen Harper et sa bande de réactionnaires dans une position assez confortable, n’en est pas étranger. Pas du tout.
C’est un bon indicateur de la position de l’électorat, et la preuve que le populisme est une manière comme une autre de mener les affaires gouvernementales. Même s’il est manifeste que l’instauration de ces centres serait un plus pour les toxicomanes, et la société, il semble d’autant plus payant de courtiser la fibre puritaine d’une partie de l’électorat pour investir dans le futur. Et ce futur ne concerne, s’il faut le répéter, que le Parti Libéral du Québec.
Serait-ce de la mimésis, étant donné que les conservateurs se battent pour faire fermer le seul centre canadien du genre, qui se trouve présentement à Vancouver? (Justement, mon collègue Pierre R. Chantelois discute de cette dérive conservatrice dans son billet d’hier.)
Alors, le PLQ est parfois, et surtout dans ce cas-ci, très loin de ce que son « L » présuppose, soit bien sûr l’adjectif « libéral », synonyme de tolérance, d’ouverture, et encore moins de la libéralité : « Acte par lequel une personne procure un avantage à une autre sans aucune contrepartie. » Les toxicomanes ne pourraient être comptés pour un groupe assez important d’électeurs…
Donc, ce qui est dit, entre les lignes, c’est que la seule place pour les toxicomanes est la prison, ou encore, s’ils peuvent croupir l’écume aux lèvres loin des regards dans un appartement crade à cet effet, et que la société n’a pas à se tremper dans cette lie, puisque s’ils sont dans cette détresse, c’est bien leur très grande faute, ils n’avaient qu’à ne pas faire ce choix.
Le problème, c’est que le choix n’existe pas dans leur cas, il n’y a que des circonstances, de la grande tristesse, des tendances et beaucoup d’inconsciences. Et pour la société, il n’y a que le choix entre la répression, au nom de principes éculés, et le soutien, avec toutes les possibilités que cela provoque. Mais quel est le démarreur de la rébellion déjà?
Entre celui d’un propriétaire d’une piquerie illégale, d’un gardien de prison ou d’un intervenant bienveillant, quel regard risque le plus d’allumer une étincelle positive dans les yeux du toxicomane?
(Photo : nikoumouke)
Déception. Espoir que cette bourrasque ne sera que passagère. Que la montée de la rogne ne nous transformera pas en loups. Que cette campagne n’aura été qu’une belle pièce de théâtre, que nous ne nous enfoncerons pas encore plus.
Mon choix est en attente d’un futur à réparer.
En rafales du 15 avril
Published avril 15, 2009 blogosphère 20 CommentsÉtiquettes : émergence, barricades, base, Blogue, Branchez-vous!, canadienne, carrière, choix, collaboration, commentaires, dinosaure, engage, engrenage, Esclavage, explosive, Fabien Major, Facebook, Françoise David, Gouvernement, humaine, Humanité, Journaliste d'estrade, Karine Blais, larmes, Liberté, Mario Blais, mélange, Militaire, Mort, morte, Nouveau, obèses, oncle, parrain, Parti, Pierre Falardeau, pleurer, politique, Privé, québécoise, Québec Solidaire, réaliste, robotique, Safwan, sang, Satellite Voyageur, soldat, solde, statusphère, statuts, sujet, sursis, symbolique, tableau de bord, terme, Twitter, vie, wordpress
Visitez mon nouveau blogue : http://renartleveille.com/
Deuxième collaboration chez BV! en remplacement de Fabien Major, au sujet de la mort de la militaire québécoise Karine Blais : Quelle Karine est morte?
Découvert par hasard en furetant dans mon tableau de bord WordPress, un billet au sujet d’un nouveau terme, bien d’adon, avec la montée fulgurante de Twitter et de l’importance que prennent les statuts dans Facebook : L’émergence de la “Statusphere” (note à moi-même : suis-je un dinosaure comme l’ami Satellite Voyageur à ne pas avoir un compte Twitter?)
Dans le rayon des dégueulasseries, j’ai rarement vu quelque chose d’aussi épouvantable! Bon, j’en mets un peu trop, mais y’a des vraies gens qui salivent devant ça et qui se départissent de leurs sous chèrement gagné pour bouffer ça : Pourquoi les gens sont obèses?
Dans mon billet précédent, je parlais de la découverte du site de Pierre Falardeau. Là je fais contrepoids en pointant celui de Françoise David, qui est un blogue par-dessus le marché! Ça rachète la blague d’un blogue de Québec Solidaire qui, naguère, ne permettait pas de laisser de commentaires… (Mais je vois en cherchant qu’il y en a un en bonne et due forme. Le parti s’était déjà racheté blogualement dans mon dos!)
Et je termine en saluant chaleureusement Safwan, la Journaliste d’estrade, qui ferme boutique. J’aurais bien aimé lui laisser un petit commentaire plus senti sur son dernier billet, mais, bizarrement, on doit s’inscrire pour en laisser, et comment s’inscrire n’est pas évident à trouver. En tout cas, bonne vie ma chère!
(Photo : Daniel)
Ajout :
C’est le premier anniversaire du blogue d’Alex, Le Satellite Voyageur, alors je lui ai concocté un cadeau graphique :
Comme il va le remarquer, je l’ai emballé avec du papier journal, c’est plus écologique! 😉
Bonne fête!