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Sur le comment je me sens

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Stationnement

Stationnement

La fatigue m’élance, mais je dois l’écrire. Mon cerveau est un nuage gris (même que la forme est assez ressemblante). Du mille-pertuis, de la vitamine D et des capsules multivitaminiques ne viennent pas à bout de me remettre sur le pied de guerre. J’ai des idées, mais c’est une nausée sourde qui en vient à bout. Et ce que j’accomplis malgré tout manque de l’entrain qui rend même les activités obligées heureuses.

Je ne sais pas trop pourquoi même si j’ai plein de théories. L’accumulation est le concept le plus plausible. Accumulation de fatigue, manque de bougeotte. Le morne automne qui nous précipite trop vite pour nos pauvres réserves dans l’hiver renfrogné. Je soupçonne même le vaccin tant honni et tant désiré. Mais le plus drôle (?), c’est que mon fond du baril s’est produit deux jours après une bonne brosse (ce qui est très rare dans mon cas — serait-ce une piste?) et tout ça, alors que j’ai toutes les raisons d’être le plus heureux des hommes.

Bon, je publie, avant d’être obsédé par l’idée de tout effacer.

Un creux parmi tant d’autres

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À l’heure où la blogosphère semble devenir un simple appendice de son microcousin Twitter, l’annonce de la possible mort du très populaire blogue personnel « La belle et la bête » me donne un coup dur. Malgré mon optimisme avoué, j’ai (entre les lignes) depuis quelque temps un pessimisme collé à la tête, pressant mes tempes de son bourdonnement suceur d’énergie. Tellement que j’ai fait avorter bon nombre de billets, ce qui m’arrivait assez rarement jusqu’à voilà deux semaines. Et même sans me compter, j’ai remarqué un creux quasi généralisé.

Pour revenir à moi, on dirait que l’étincelle est trop paresseuse, en plus d’être petite. Pourtant, ça ne devrait rien changer au fait qu’elle puisse être capable de provoquer une explosion. Mauvais exemple, peut-être. Une étincelle dans le vide, ça reste quand même loin de toute possibilité.

J’ai mes positions, je constate qu’il y en a d’autres, mais au lieu de titiller ma combativité, ça contente mon sens de la mesure. Et c’est loin de m’indiquer que c’est un bon point de départ pour quelque chose d’intéressant. Du moins pour le lecteur. (Et ce personnage-là, je suis trop loin de m’en foutre!)

Et j’ai toujours en tête que le corps a le gros bout du bâton d’intelligence que le cerveau n’a pas. Donc, je ne m’avouerai pas vaincu aujourd’hui. Par contre, j’accepte maintenant de voir toute la procrastination que peut contenir l’activité d’écrire dans ce moule que j’ai moi-même fabriqué, même si l’écriture en soi reste toujours un véhicule défendable, au moins par-devers soi. Au danger de se mentir à soi-même.

Et je n’en suis même pas à l’abri.

Qui peut bien se targuer de l’être?

Ce doit être ce qu’on appelle le doute.

(Photo : Lodonnext)

Crevaison passagère

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Qui a besoin d’une aiguille sur la peau? La feuille à plat ne cherche pas à s’enrouler pour voyager ou pour servir de communication d’un trou à l’autre. J’ai des yeux qui me gardent comme une ancre même si mon corps est le plus mauvais des moutons. Le tremblement rend flou.

Affalé ravalé autant que faire se peut. Même les longues nuits je rêve à un soleil blanc. À une balade, à un sourire banane. Et les engrenages à huiler parce que la rouille est d’une couleur bancale. Belle et effroyable.

J’effacerais tout ça pour m’en laver les mains, les dents, passer la soie, aller rejoindre la chaleur de la noirceur de l’abandon. Parce qu’il n’y a rien de plus difficile que de matérialiser sa pensée, même la plus sourde. Se taire est la plus commune des options.

Et ça continue. Pour le plaisir. Il faudrait bien que je trouve une blague de mauvais goût. Ou encore mieux : insulter le monde entier pour son impossibilité d’être totalement en phase avec les mouvements électriques de mon cerveau.

J’ai un hippopotame sur le dos. Du beurre dans les oreilles. Le nez en négatif. Pour le reste, c’est à la remorque. La question est de savoir de quoi.

Retour

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Bon, je suis un peu plus de retour, après une petite escapade trop courte à mon goût, et à celui de Douce, pour aller profiter d’un peu de relaxation chez ses parents. Comme je leur dis toujours, de la manière la plus niaiseuse possible : votre maison est faite en bois de tisane!

Je n’ai approché le portable que pour publier mes deux dernières blagues à propos de Charlie et lire les réactions (qui m’ont fait bien sourire!) et y répondre. Sinon, le plus éreintant que j’ai fait, c’est de me trotter avec Douce au Mont Kekeko au travers d’un sentier qui longeait un magnifique ruisseau parsemé de cascades. Dire que j’ai déjà ri de la randonnée pédestre… Il n’y a que les fous qui ne changent pas d’idée!

Voilà, je me suis dégourdi les doigts et le cerveau!

(Photo : Sylvie Pepin)

Insupportons nos troupes

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Depuis quelque temps, en me promenant en voiture, et même à pied dans mon voisinage, je remarque beaucoup de rubans « Supportons nos troupes » sur le cul des voitures… Pourtant, d’après un article récent du journal Le Devoir, « 54 % des Canadiens s’opposent à la mission, contre 34 % qui l’appuient. Environ 12 % sont ambivalents. » Et, sans « surprise, c’est au Québec que l’appui à la mission en Afghanistan est le plus faible (15 %), alors que 73 % des répondants s’y opposent. »

C’est une drôle de coïncidence, quand même. Il faut dire qu’il n’existe pas de rubans contre la mission, enfin, pas des autocollants prêts à l’emploi, si je ne m’abuse. S’il en existait un, je ne l’achèterais pas. Je préfère net-tement exposer mon opinion ici. C’est un univers « intellectuel » : voir un ruban « Supportons nos troupes » sur un blogue me titille le cerveau, le voir sur un char me donne envie au minimum de l’arracher…

Entre autres, sur les blogues, ce ruban, je le vois sur celui de quelqu’un qui se targue d’être libertarien (donc extrêmement contre l’État : est-ce qu’il y a quelque chose de plus étatique que l’armée?) et sur celui d’un minarchiste (une variante du libertarianisme : une « théorie politique appelant de ses vœux un […] État minimal […], réduit dans de strictes limites de légitimité »). Dans le cas du deuxième, son appui minimal à l’idée d’État réussit à légitimer sa position, mais pour le premier c’est pour le moins mystérieux.

Je sais que pour les tenants de cette mission, tout tient dans la lutte contre le terrorisme, mais il faut pour cela accepter que cette lutte passe par l’agression et c’est ce avec quoi je ne suis pas d’accord. J’ai beau avoir peur de l’islamofascisme en particulier et de la religion comme désir d’imposition d’un dogme social en général, je pense que les États ciblés par ces cinglés devraient privilégier la défense (dans son vrai sens, pas comme dans défense = attaque…). Aussi, je n’ai surtout rien contre l’espionnage, même qu’il me semble qu’une approche plus axée sur l’infiltration et les actions ciblées donnerait de meilleurs résultats. Cette guerre n’est pas une guerre ouverte, alors elle devrait être pensée dans ce sens.

En conséquence, devant ce fait, il est tout à fait normal que certains pensent que ce déploiement est entre autres une belle raison de dilapider les fonds publics dans l’industrie de l’armement.

Màj :

David Gagnon, du blogue L’antagoniste, que je pointe dans ce billet n’est pas un libertarien, mais bien un minarchiste, comme il est venu me le spécifier.

Màj :

J’ai induit tout le monde en erreur en écrivant « Supportons nos troupes » alors que le verbe « supporter » dans le sens d’encourager est un anglicisme. Et en plus, sur le ruban, c’est bien écrit « Appuyons nos troupes ». Mea culpa. Merci au commentateur dénommé Darwin de m’avoir pointé la faute.

Niaiseries de fin de semaine

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Niaiseries : le mot est faible. C’est supposé être des apparitions divines, pourtant, si on se fie seulement sur les seules probabilités que ce genre d’images apparaissent quelques fois, par-ci par-là, dans notre monde, il n’y a que dans le cerveau de celui qui regarde que ça peut être ça.

En guise d’introduction, pour ceux qui ne sont pas trop au courant de ce qui s’est passé en art, naguère, ça commence par un tableau de René Magritte (La Trahison des images, 1928-29).

(Le billet se poursuit après les images.)

Divine Apparition 1

Divine Apparition 2

Divine Apparition 3

Divine Apparition 4

Divine Apparition 5

Divine Apparition 6

Divine Apparition 7

Divine Apparition 8

Divine Apparition 9

Divine Apparition 10

(Images trouvée sur odee.com, via un billet de Stéphane Pageau.)

Et le pire c’est que j’ai une anecdote familiale à propos d’une image du genre.

Ma grand-mère avait pris une photo dans les nuages en avion où on voyait clairement une représentation du Christ. Elle nous l’avait passé pour que nous puissions la montrer. Elle était sertie dans un cadre en carton.

Mon père, séparé de ma mère, nous recevait aux deux fins de semaine et cette fois-là, c’était mon tour, je devais coucher par terre sur un lit de camp à côté du lit qu’il partageait avec sa nouvelle femme. La photo en question était sur une commode dans la chambre. Nous nous sommes réveillés au matin et le cadre de carton était déchiré en une dizaine de morceaux.

Atonie

trouver un mot des mots
mon cerveau en gravitation
en galette sur le plancher

vidé même de sa statique
l’électricité à la terre
la gourde est flasque
sèche
il n’y a pas de rebonds

la paresse serait même un luxe
une langue de survivance

je n’ai pas le goût de finir

En rafales du 11 mars 2009

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(Firefox se transforme en tortue – pas ninja – pour cause de trop-plein d’onglets. Je dois en éliminer. Ce billet est pour qu’il en reste quelque chose.)

Un peu de bave sur Twitter : « ce gadget risque de nous enterrer dans une vague supplémentaire de babillage sans autre but que de se donner l’illusion d’être en contact, un peu comme ces ados accros au cellulaire qui n’ont strictement rien à se dire. »

Comprendre nos amis virtuels.

Traumatismes de l’enfance: un effet permanent sur le cerveau. Ou comment blesser à vie, et même sur plusieurs générations…

La liste des radars photo fixes et mobiles du Québec. Ça ne devrait pas être secret ça?

Jean-François Harisson = artiste = pédophile en puissance?

Il va falloir que j’arrête de boire du Red Bull. Dommage que je n’habite pas Québec…

Pourquoi est-ce qu’en 2009 il y a encore des produits qui ne sont pas biodégradable? Une question à répéter et à répéter…

Toute la vérité sur René Angelil par le Doc Mailloux : ça fait un drôle de choc quand t’aime ni un ni l’autre!

Quel beau bottage de cul contre l’Église!

JF Harisson : ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué…

La « société individualiste est un mensonge patent. »

(Ouf… Ça fait du bien!)

(Photo : Sténopé)

Rigolo ricochet de Zhom à Valium!

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Oh! les amis, je viens de me taper une séance de rire à ne plus savoir comment m’arrêter…

Ça faisait longtemps que je n’avais pas éventé autant mon cerveau!

La cause : un billet de Zhom, la bébitte derrière Le jour des vidanges. Où j’ai écrit presque sans m’en rendre compte :

J’en pleut au point de ne plus en être!

Ce texte, c’est de la haute voltige langagière, toujours sur la frontière avant l’incompréhensible.

Ça me fait un peu penser à Henriette Valium, le fameux bédéiste maniaque, figure emblématique de l’underground des années 90 qui se passait beaucoup aux Foufs, que j’ai redécouvert dernièrement en ressortant mes vieux fanzines. Dans le temps où le terme « hipster » n’existait pas…

L’hyperlien plus haut c’est son site et l’image qui chapeaute ce billet est aussi de lui. Je suis heureux de le retrouver par ce ricochet.

Faites le tour de son site, c’est du bonbon pour les yeux et du poison pour le cerveau!

« ne pas voter, c’est donner son vote à Harper »

Même si je suis pas mal catégorisé comme blogueur politique, plus largement comme blogueur d’opinion, et que je fréquente beaucoup ce milieu, je zieute pas mal aussi du côté des blogues perso et je ne m’en cache pas : ça joint souvent l’utile à l’agréable. Une preuve, mon titre, comme un bandit des grands chemins, je l’ai piqué à la sympathique blogueuse Miss Klektik, habituée du Yulblog, qui a pondu un billet politique en cette éruption électorale et qui a conclu avec ça, elle qui habituellement prose poétique (avouer que c’est pas mal quand même ce néologisme verbal : « proser »!).

Or donc, c’est d’une limpidité proverbiale que cette formule que je propose comme slogan pour une campagne contre l’abstention. Je sais que je ne ferai pas plaisir à un certain anonyme, mais je pense qu’il faut parfois penser plus loin que son propre cerveau, bien scellé et imperméable aux autres. On a beau jongler comme les libertariens et les autres sur le geste d’annuler son vote (ou plus paresseusement, de ne pas se lever pour aller user de son droit), la Miss en question a bien raison, il n’y a dans la situation actuelle que deux options : aider ou nuire aux conservateurs.

Avec stratégie, il faut faire lever le vote en défaveur des conservateurs!

(Photo : eyeye)

Ajout : Pour à peu près le même résultat, mais par un chemin très différent, lire l’avis d’Anarcho-pragmatiste sur cette question.

Ajout (bis) : Il y a un groupe Facebook « Ne votez pas Conservateur en 2008« 

Des sourires et des grincements de dent

Au sujet des jeunes libéraux :

Au fait, pourquoi on appelle ça Libéral ?… C’est Conservateur ou Front national des abrutis que ça devrait s’appeler, ce parti !!

……………….

Ça lance n’importe quoi et ça se prend la totale couverture média-tique, ces jeunes veules du cerveau. Contrechoc, ça pop-corn dans la blogoboule qui roule, qui roule et mousse. Aussi, un autre s’assimile pour la cause, il cause speak white pour l’utile de l’image, de la chose.

Je reçois tout ça comme de l’humour absurde, du genre qui ne fait pas rire, surtout pas les enfants en nous.

Je sais dans quelle langue j’écris, où je l’ai appris, et à qui je m’adresse.

Et le pécuniaire, dans le cul!

Je vais rêver éveillé si ça me chante, parce que ça ajoute quand même mon poids dans la balance et j’espère que ça peut faire des petits.

(Photo : nicouze)

Interrogatoire

Est-ce que j’ai le droit d’écrire pour mon propre plaisir, et pour être lu à la fois?

Est-ce qu’il y a seulement une seule bonne manière d’entrevoir la problématique environnementale?

Est-ce que j’ai vraiment besoin d’avoir un BAC, une maîtrise ou un doctorat en politique pour avoir le droit d’émettre des opinions sur le sujet?

Est-ce qu’il est positif de croire que la révolution internet est parallèle à la constitution d’un cerveau virtuel commun où chaque individu est un de ses angles?

Est-ce que l’idée de la liberté n’est pas seulement un concept qui permet d’improviser à froid et de s’en servir comme défense quand ça tourne mal?

Est-ce qu’être ouvert d’esprit est seulement une manière de ne pas se trouver dans l’extrémisme?

Est-ce que se poser des questions est une perte de temps?

Est-ce que quelqu’un est tout à fait certain de ses réponses?

(Photo : William Kunz)

La fumée du tabac gèlerait plus qu’on le pense…

Une petite nouvelle de l’Agence Science-Presse, via Le Journal de la rue, ne fera pas plaisir aux fumeurs actuels…

Pearl Chiu et ses collègues du Collège Baylor de médecine (Texas) ont étudié les cerveaux de 31 fumeurs et 31 non-fumeurs et ont observé les mêmes différences lorsqu’on les soumettait à une simulation boursière. Alors que les non-fumeurs utilisaient les conseils qui leur étaient donnés après un investissement pour ajuster leurs futurs investissements, les fumeurs, eux, changeaient à peine leur comportement. Leur activité cérébrale démontre qu’ils avaient bel et bien enregistré l’information, mais que celle-ci ne semblait pas avoir un impact sur leur prise de décision

De mon côté, je suis bien content de m’être débarrassé de cette habitude, mais je sais bien comment j’aurais réagi si j’avais lu ça voilà bien longtemps, quand je pouvais encore justifier mon addiction et que mon cheminement vers l’arrêt n’était pas encore enclenché…

Mais ce qui n’est pas dit là-dedans, c’est si c’est l’habitude de fumer qui provoque ça ou plutôt si c’est a priori.

Ceci est en quelque sorte une bouteille à la mer!

(Photo : lumendipity)

De l’inexistence de l’âme et de la raison chez les animaux

J’aimerais encore revenir minimalement sur l’histoire autour de Paul Watson. J’ai conservé dans mes onglets une lettre de Marie-Hélène Therrien, de Saint-Pétronille (Île d’Orléans), parue le 4 avril sur le site du journal Le Devoir.

Comme argument (que je souligne en caractère gras) envers la position animaliste, elle écrit :

L’accident qui a coûté la vie aux quatre chasseurs madelinots est une tragédie, et ces personnes, dotées d’âme et de raison, contrairement aux phoques, sont mortes dans des circonstances effroyables et peut-être pas aussi accidentelles qu’on le croit.

J’aimerais lui répondre que l’existence de l’âme est discutable (pour ma part, je ne crois qu’en des réseaux électriques et nerveux complexes : le cerveau; et s’il existe une âme, elle ne serait qu’énergie, ce qu’un animal est aussi amplement capable de stocker et de se débarrasser…), et qu’il n’est pas raisonnable de penser que les animaux ne sont pas doués de raison, même si cela était seulement une raison simplissime, hautement sous-développée.

Et je me permets même de remettre en question la définition du terme « raison », via Antidote, qui va comme suit :

Faculté propre à l’être humain de penser, de connaître, de juger

Qu’est-ce que penser, sinon interpréter ce que nos sens captent? Les animaux font de même.

Qu’est-ce que connaître, sinon comprendre et se servir de ce que notre cerveau accumule comme information? Les animaux font de même.

Et qu’est-ce que juger, sinon à la base pouvoir prendre la décision de choisir entre deux choses dissemblables? Les animaux font de même.

L’âme et la raison sont des termes poétiques, puisque l’humain aime bien rêver qu’il est plus important que la propre importance qu’il se donne.

(Photo : Life Though A Lens)

Mes plogues du jour


Encore, quelques très bonnes lectures aujourd’hui. La première, un texte scientifique du trop rare Mazzaroth sur le cerveau et l’éducation. Je vais encore me coucher moins niaiseux!

Mais j’y pense, vous n’êtes pas en train de travailler, vous devriez avoir honte! J’ai vu ce vidéo très instructif tantôt via Le Petit Émerillon sur RW (Une oeuvre de Prenez-garde au chien!). Travaillez! Travaillez!

Et la photo provient du blogue de François Rodrigue Blogstory.

Sérieux ou pas d’après vous?

Début

Il y a toujours un début. Un début tellement plein de souvenirs condensés, d’archives noircies qui n’apparaissent pas parce qu’elles sont dans l’avant tout. Elles ne font que colorer l’idée de départ. Elles pourraient faire exploser l’entre les lignes mais le cerveau s’harmonise toujours à la blancheur métaphorique de la « page blanche ». Alors derrière le fourmillement de ce qui apparaît se cache toujours beaucoup plus, exponentiellement beaucoup plus. Serait-ce ce qu’on appelle communément l’inconscient collectif?


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