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L’ADQ a un nouveau chef!
Published novembre 20, 2009 Caricature , politique 26 CommentsÉtiquettes : Adéquiste, ADQ, centre-droite, couronnement, démission, Droite, Gérard Deltell, Gilles Taillon, moribond, Parti, perte, politique, problème, Vitesse
Questions nationales : impressions et réactions
Published septembre 1, 2009 Canada , Critiques , culture , français , Histoire , opinions , politique , Québec 21 CommentsÉtiquettes : actuel, Adéquiste, André Pratte, Anglais, anglophone, argument, aspiration, assimilation, Écosse, écossais, Bernard Drainville, Britannique, Canada, canadianiser, Canoë, catalan, Catalogne, chef, Cinéma, culture, Cyberpresse, dialogue, diffusion, Documentaire, entrevue, espagnol, fédéraliste, Festival des films du monde, film, français, Françoise David, Gilles Duceppe, Histoire, historien, indépendance, Jocelyn Letourneau, Jordi Pujol, Julie Snyder, La Presse, Langue, Le Devoir, Lutopium, média, Michel David, mondialisation, mouvement, non partisan, oeuvre, Originalité, parallèle, Parti, Pauline Marois, pauvre, pays, peuple, Pierre Curzi, Pierre Dubuc, Pierre Elliot Trudeau, Pierre-Karl Péladeau, Politicien, PQ, première, projet, Quartier Latin, québéciser, Québec, Quebecor, Questions nationales, Radio-Canada, référendum, résistance, René Lévesque, riche, sécession, société, société civile, Souveraineté, souverainiste, Tabou, visionnement, Web
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J’aimerais revenir sur ma soirée d’hier au cinéma Quartier Latin où j’ai assisté au visionnement du film « Questions nationales », en compagnie du blogueur Lutopium. De visu, j’ai pu remarquer la présence de Pauline Marois, Gilles Duceppe, Pierre Curzi, Françoise David, Pierre Dubuc, Michel David, Bernard Drainville, Pierre Karl Péladeau et Julie Snyder. Mais avant de poursuivre, j’aimerais faire une parenthèse au sujet de M. Péladeau.
Moi qui ai fait beaucoup de recherche ce matin pour mon billet chez BV! au sujet de ce film, j’ai remarqué que la couverture est quasi inexistante chez Canoë : le site qui regroupe la diffusion web des médias de Quebecor. Pourtant, la très fédéraliste La Presse-Cyberpresse en a parlé abondamment (ce qui est plus ou moins dans son intérêt…), Radio-Canada aussi et bien sûr Le Devoir. Je sais bien qu’il y a l’homme, et son entreprise, et qu’ils ne sont surtout pas indivisibles, mais ça reste pour moi questionnant, d’autant plus que sa présence était « remarquable ». Soit.
Donc, comme je le titrais ce matin, ce film est utile. Qu’on y arrive ou non à cette souveraineté du Québec, cet exercice a au moins le mérite de marquer l’Histoire, de faire comme un arrêt sur l’image. Ce qui ressort aussi beaucoup, c’est le réalisme, là où les uns voudraient gommer l’opinion des autres, et je vais paraphraser mon ami Lutopium qui disait : « alors que nous étions trop près de l’arbre, nous voyons maintenant clairement la forêt ».
On y débloque en quelque sorte fictivement le dialogue, qui est toujours bloqué entre les deux camps. Pourtant, la réalité, c’est que finalement, comme l’indique dans le film l’historien Jocelyn Létourneau : « Ni Trudeau, ni Lévesque n’ont gagné leur pari de québéciser les Québécois ou de canadianiser les Québécois. » L’enjeu est le même, c’est la réalité qui a changé.
Là où l’argument économique est moins important, puisque le Québec s’est grandement développé, celui linguistique et culturel prend maintenant la relève comme le soulève Gilles Duceppe en pointant la mondialisation à la sauce anglophone, argument que j’ai moi-même utilisé ici et ailleurs. Mais le plus grand problème de cet argument, c’est qu’il est beaucoup moins quantifiable, pour ne pas dire moins fiable… C’est beaucoup moins drôle de dire « nous crevons de faim » que « notre culture et notre langue se meurent » alors que c’est encore dit en français!
À ce sujet, un des moments forts du film a été pour moi quand le politicien catalan Jordi Pujol annonce qu’il doit partir, mais revient pour spécifier que résister à l’espagnol est difficile, mais que ce n’est rien par rapport à la résistance face à l’anglais. Et en plus, c’est un homme tout à fait attachant, il faut voir le film ne serait-ce pour l’écouter expliquer la situation de la Catalogne.
Aussi, j’ai été surpris de remarquer que la situation écossaise me semblait plus proche de la nôtre, malgré le fait que les Écossais parlent l’anglais comme les Britanniques. Peut-être parce que justement notre système politique est aussi britannique. Mais bon, il ne faut surtout pas oublier que les Écossais actuels sont le résultat d’une assimilation réussie. Je trouve que c’est une bonne réponse à André Pratte qui ce matin annonçait un peu trop sérieusement l’impossibilité de notre assimilation, en réaction aux propos de Gilles Duceppe dans le film.
Autres propos qui m’ont fait réagir, ce sont ceux d’un adéquiste qui répétait constamment, lors de son entrevue : « référendum » et « répétitif »… Il faudrait peut-être lui rappeler que l’utilisation de l’adjectif « répétitif » est absurde quand il s’agit de qualifier deux référendums qui ont eu lieu à 15 ans d’intervalle!
Je pourrais continuer longtemps comme ça, mais, en gros, j’ai espoir que la sortie de ce film débloquera le tabou actuel qui enveloppe depuis trop longtemps la question de la souveraineté du Québec. Les réalisateurs ont beau proclamer le film de « non-partisan », néanmoins, il aidera peut-être à pousser l’Histoire dans un sens ou dans l’autre, comme quoi la culture est un de ses moteurs importants, et surtout, non négligeables.
L’ADQ manque de mordant!
Published juin 3, 2009 Canada , opinions , politique , Québec 6 CommentsÉtiquettes : Adéquiste, ADQ, autonomiste, Canada, Classe, constitutionnel, dossier, gains, Gilles Taillon, idées, infection, Ottawa, Partisanerie, Peur, politique, politiquement, PQ, problème, Québec, Raison, Souveraineté, transmissible
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Dans le dossier constitutionnel, savez-vous c’est quoi le problème avec l’ADQ? C’est qu’ils n’ont pas le pantin nommé « souveraineté » pour faire peur et obtenir des gains pour le Québec. Si le PQ utilise des idées adéquistes, ils ont alors plus de poids, juste pour cette raison. Pourquoi Ottawa donnerait-il quoi que ce soit aux autonomistes quand c’est clair qu’ils veulent rester à tout prix dans le Canada?
Alors, Gilles Taillon devrait vraiment lâcher le morceau s’il veut prouver que le Québec lui tient plus à coeur que l’ADQ. J’en doute fortement, puisque la partisanerie est une infection transmissible politiquement, et que la totalité de la classe politique semble en être atteinte…
(Photo : Diyann)
Paf!
Published janvier 6, 2009 Caricature 14 CommentsÉtiquettes : Adéquiste, ADQ, émission, épisode, candidat, controversés, débat, démission, Dessin, Jean-François Plante, La Joute, propos
Hier, j’ai écouté l’émission spéciale des meilleurs moments de La Joute, dont je n’ai pas assez écouté les épisodes à mon goût. Parmi les débatteurs, il y avait Jean-François Plante, animateur-poubelle et ancien candidat adéquiste, qui a dû démissionner pour ses propos controversés. Ce dessin est le résultat de ce qu’il m’inspire.
Mario, à Dieu!
Published novembre 19, 2008 humour , opinions , politique , Québec 16 CommentsÉtiquettes : Adéquiste, ADQ, Amériquébec, Clip, crédibilité, Dieu Merci!, gêne, Mario Dumont, Politicien, politique, Spectacle, Steve Proulx, sympathie, TLMEP, Tout Le Monde En Parle, TVA, Vidéo
Je viens de visionner le clip de Mario Dumont à Dieu Merci!
Je ne sais pas pour vous, mais, comparé à TLMEP, je crois que les retombés de cette apparition télé seront plus payantes pour TVA que pour Mario…
Je trouve que sa performance est correcte, sans plus. Il a un bon sens de la répartie, fidèle à ce qui devrait prévaloir chez un politicien, surtout chef de parti.
Pour ce qui est de faire monter la sympathie chez le public, ça ne marche pas pour moi, mais je ne pourrais dire pour les autres, évidemment.
Chez Amériquébec (où j’ai trouvé le lien), les mots sont loin d’être tendres, mais pas trop durs, si on considère qu’un politicien devrait se garder une petite gêne. Mais moi, ça ne me dérange pas trop, tant qu’à faire dans la politique spectacle…
Crédibilité entachée n’est de toute façon jamais indélébile.
(Photo trouvée chez Steve)
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