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Le permis de conduire à 21 ans!

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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)

En voyant cette vidéo chez Hispong Elbayne l’autre fois, j’ai automatiquement eu cette réaction :

En voyant ça j’irais même jusqu’à dire : moins d’ados connes au volant!

Mais ça serait discriminatoire…

Pour quand le permis de conduire à partir de 21 ans?

Le blogueur m’a demandé :

Et tu fais quoi des collégiens des régions qui ont besoin de l’automobile pour voyager à leur CÉGEP?

J’ai répondu :

des tas de jeunes sans voitures, il y aura alors beaucoup de demandes pour des autobus!

J’ai remarqué que mon commentaire a beaucoup fait réagir de jeunes conducteurs sur le blogue. C’est normal, et je n’ai pas voulu en rajouter. Par contre, je réitère mon opinion ici à ce sujet malgré le fait que je sais que certains jeunes sont très responsables. Mais, malheureusement, je ne crois pas que c’est la majorité. Et même si ce l’était, la minorité restante représente pour moi une bombe à laquelle je n’ai pas le goût de me frotter, même de loin.

Si je puis me référer à mon expérience personnelle, la conduite dangereuse que j’ai pu voir depuis le peu de temps que je conduis était exclusivement le fait de jeunes conducteurs. Pour ce qui est de la distraction, il n’y a pas d’âges…

Je m’excuse, mais j’ai de la difficulté à croire que le sens de la responsabilité soit bien développé à 16 ans quand ce sont tes parents qui s’occupent encore de te faire à souper, de te loger, etc.

Pourquoi 21 ans? Parce que normalement, ou plutôt, généralement, c’est aux alentours de 18 ans qu’un jeune part de la maison, ce qui donne trois ans de plus pour expérimenter la vie adulte et s’imprégner de la responsabilité qui vient avec.

Le permis de conduire devrait être un cadeau de graduation, pas un droit à prendre à la légère.

Je sais que c’est désolant pour les jeunes qui sont extrêmement responsables, mais, comme on dit, on ne fait pas d’omelettes sans casser des oeufs!

Chronique environnementale

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(Le billet qui suit a été publié parallèlement sur Les 7 du Québec, pour lire les commentaires ou en laisser, suivre l’hyperlien précédent.)

Le 28 juillet dernier, Michel Monette demandait : « Sommes-nous vraiment coupables du réchauffement climatique? » Pour ma part, comme je le dis toujours, différemment, je m’en fous un peu, là n’est pas le problème, ce sont les pollutions qui le sont, même en se basant seulement sur le principe de précaution. N’empêche, regardons les choses en face : « un nombre croissant de scientifiques remettent en question les idées reçues sur le changement climatique ».

Rendu là, je comprends tout à fait qu’on en vienne à avoir peur qu’un renversement du paradigme environnemental actuel — où le réchauffement causé par l’activité humaine est une vérité immuable — donne le OK à un laisser-aller encore plus grand. Pour ma part, je suis assez optimiste. Malgré le caractère torrentiel des critiques antiécolos, la conscience environnementale a fait des petits, les entreprises s’y sont mises, même si, comme l’indique en conclusion de son billet Michel, il faut maintenant se méfier comme de la peste de l’écoblanchiment

Et optimiste, je le suis aussi parce que le progrès peut provenir des endroits les plus insoupçonnés. En effet, j’ai appris via « La terre va trembler » qu’un adolescent de 16 ans a fait la preuve qu’un sac de plastique pouvait se biodégrader en trois mois en présence d’un cocktail de microbes et de bactéries. Comme quoi, en fin de compte, il n’y a pas de « dommages » qui soient irréversibles.

Par contre, pour ce qui est du climat, personne ne peut nier qu’il y a des changements : mais seront-ils seulement irréversibles? En tout cas, ils sont palpables. Ma conjointe me faisait remarquer dernièrement que de plus en plus, avec les années, l’été arrive tard, et ainsi de suite. Alors, si cette tendance se poursuit, il faudra peut-être déplacer le moment des vacances pour les écoliers et étudiants, par exemple (pour ce qui est des travailleurs, j’ai entendu que les vacances de la construction avaient été déplacées). Il y a pire comme conséquence d’un changement… Cela dit sans pour autant amoindrir les répercussions extrêmes où il y en a. Mais pourquoi s’autoflageller quand tout fait en sorte de pointer qu’il s’agit d’une fatalité?

Le message que je veux transmettre est : je ne veux pas être écolo simplement, je veux qu’on me donne les moyens de l’être le plus facilement et le plus véritablement possible.

(Image : Jude Buffum)


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