Enquête publique : Le gouvernement Charest sur la défensive
Published novembre 27, 2009 Caricature , politique 5 CommentsÉtiquettes : accusations, économie, condamner, confiance, construction, contrat, contribuables, corruption, coupables, enquête publique, enquêter, enquêtes policières, entrepreneurs, escouade, finances publiques, fraudeur, industrie, institutions, institutions publiques, Jacques Dupuis, Marteau, Ministre, opposition, Population, québécoise, Québec, réputation, refus, sécurité publique, transparence, travaux publics
5 Réponses to “Enquête publique : Le gouvernement Charest sur la défensive”
- 1 Rétrolien sur novembre 27, 2009 à 10:33
Est-ce que les québécois se souviendront de cette magouille aux prochaines élections? La stratégie du Parti Libéral n’est-elle pas simplement d’espérer que les gens oublieront cette histoire? Une commission d’enquête publique, quoi qu’en disent les détracteurs, causerait autant de dommages au PLQ que la commission Gomery l’a fait à Jean Chrétien et au Parti Libéral du Canada. Le Parti Québécois risquerait également d’être écorché au passage.
On va en déployer des énergies pour nous faire oublier cette affaire là…
@lutopium,
Oui ils s’en souviendront mais le problème c’est que les alternatives manqueront et/ou n’intéresseront pas la majorité ce qui ramènera le PLQ au pouvoir.
L’avenir nous le dira mais c’est ma lecture actuelle de la politique québecoise et j’ai comme l’impression que les trois prochaines années n’y changeront pas grand chose.
@Tym: la corruption au niveau fédéral a permis aux conservateurs de prendre le pouvoir. Le désenchantement des québécois envers les libéraux de Jean Charest et leur incapacité de voter pour André Boisclair a permis à L’ADQ de ramasser 41 sièges… Pas certain que le PLQ peut demeurer majoritaire si les québécois se souviennent de toutes ces histoires de corruption… Et on ne sais pas qui sera le (la) chef du PQ en 2012…
Le jeu de Charest est évidemment de nous faire oublier le tout. Pourquoi parle-t-on 28 heures par jour de la A(H1N1) ?
pour qu’on ne parle plus de l’enquête sur la construction !
Après Noël, le PLQ va trouver un autre sujet «brûlant» pour occuper les medias et on va , petit à petit, oublier la nécessité de cette enquête.
J’espère que les partis d’opposition ne tomberont pas dans le panneau !