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Bon, je suis un peu plus de retour, après une petite escapade trop courte à mon goût, et à celui de Douce, pour aller profiter d’un peu de relaxation chez ses parents. Comme je leur dis toujours, de la manière la plus niaiseuse possible : votre maison est faite en bois de tisane!
Je n’ai approché le portable que pour publier mes deux dernières blagues à propos de Charlie et lire les réactions (qui m’ont fait bien sourire!) et y répondre. Sinon, le plus éreintant que j’ai fait, c’est de me trotter avec Douce au Mont Kekeko au travers d’un sentier qui longeait un magnifique ruisseau parsemé de cascades. Dire que j’ai déjà ri de la randonnée pédestre… Il n’y a que les fous qui ne changent pas d’idée!
Voilà, je me suis dégourdi les doigts et le cerveau!
(Photo : Sylvie Pepin)
N’importe qui aurait changé d’idée… en marchant dans les Kékéko! Ta photo est un véritable plaidoyer pour un retour aux sources dans une région comme l’Abitibi-Témiscamingue!
C’est vrai, plusieurs de nos maisons semblent faites en bois de tisane (!) D’ailleurs, je me sauve de MON lac quelques jours pour aller rejoindre MA rivière, MA forêt, MON campe…
Bon retour Renart. Et puis, Charlie a-t-elle fumé son premier joint? 😎
Zoreilles,
pour ce qui est de la photo, elle n’est pas de moi. Elle a été prise par quelqu’un de la région. J’en ai pris quelques-unes, mais mon appareil est encore là-bas, avec mes deux amours.
Lutopium,
hé hé!
« votre maison est faite en bois de tisane! »
La tisane apporte aussi comme conséquence de faire uriner abondamment! À moins de se bricoler un tuyau après la patante ou mettre des couches, se détendre sous tisane, c’est un peu comme essayer de sommeiller en plein soleil!
Mais j’aime bien l’expression, je songeais justement à un slogan pour mettre en avant de chez nous et remplacer mon bon vieux: « Arbeit macht frei »
« Arbeit macht frei » c’est bien : « Le travail rend libre »?
Exactement!
Ça me sert de leitmotiv quand j’entre dans le jardin pour y passer quelques heures. Je crois avoir déjà assez de réserve alimentaire pour passer facilement 2 mois sans faire d’épicerie… Travailler la terre en fou depuis Septembre dernier m’a rendu « libre »… Il me reste surtout à utiliser le soleil pour chauffer la maison. Je me donne 2-3 ans pour y arriver.
Beau projet!
Et en passant, je ne comprends pas pourquoi, mais tes commentaires se retrouvent dans ma section de polluriel…
C’est normal, car j’ai utilisé par inadvertance mon adresse AOL au lieu de celle de Gmail… Je n’ai pas de mémoire pour les adresses électroniques, donc j’utilise toujours un pattern similaire.
Ça doit être ça, en effet.
Arbeit Macht Frei est une expression allemande utilisée sur les portes d’accès aux camps de concentration d’Auschwitz-Birkenau et Dachau.
« C’est le général SS Theodor Eicke qui ordonna l’apposition de la phrase à l’entrée des camps de concentration, notamment Auschwitz et Dachau. Avant cela, cette phrase avait été utilisée par la société allemande IG Farben au-dessus du fronton de ses usines » (wiki).
Il s’agit de la dernière phrase que des milliers de déportés ont lu avant d’être gazés.
L’origine « Arbeit Macht Frei » vient de l’écrivain-ethnologue et pasteur Lorenz Diefenbach (1806-1883)qui était aussi ami avec Jacob Grimm (Les frères Grimm), l’auteur très connu des « Contes de l’enfance et du foyer » (Hansel & Gretel). Ça date de 1872, soit 67 ans avant les Événements de La Deuxième Guerre Mondiale. Et bien franchement ça n’a pas grand chose à voir avec l’utilisation insidieuse qu’en a fait Theodor Eicke. « Patriotism is the virtue of the vicious.” disait le grand Oscar Wilde. Les Nazis auraient bien pu utiliser le slogan du Poulet Frit Kentucky s’ils avaient eu la certitude d’en piller toutes les possibilités. Que les Nazis s’en soient appropriés la beauté n’a rien de particulièrement inédit, on trouve partout dans l’histoire des pillages artistiques par le Monstre froid de L’État et des cadavres casqués du Nationalisme.
« Le travail rend libre » Moi j’aime bien cette expression, elle peut chevaucher toutes les idéologies, se frotter à tous les types d’humains, elle demeurera éternellement souveraine de par sa sémantique. Elle aurait bien bu servir Lenine, Mao ou moi, adolescent, qui travaillait comme un fou dans les champs de légumes pour me payer mes premiers CD de Jazz!
C’est sûr que de savoir les origines de cette phrase devait réconforter les déportés.
Ce n’est pas le cul assis dans ta miche faisandée de banlieue bourgeoise que tu peux changer un iota au malheur, bien réel et inimaginable, des millions de déportés. Tu n’es qu’un assis comme les autres, assume avec un minimum de retenu, le poids moral de ton inaction quotidienne. Si tu avais été Français lors de l’Occupation, je paris ma chemise brune que tu aurais bouffé les mêmes olives farcies que les Allemands, peut-être même les aurais-tu avaler à même leurs trou d’culs… Quand on a le vécu d’une glace au chocolat, on s’abstient de jongler avec la douleur des divers groupes ethniques impliqués dans cette barbarie.
J’ai sous les yeux les dizaines de superbes compliments obtenus par toi même sur ton blogue. Les lire en ce moment est peut-être la plus délicate sucrerie du sadisme qu’il m’a été de savourer! Merci d’avoir tout déballé avec la naïveté et la candeur des êtres admiratifs!
@Renart
Sorry again, la mouche a marde est assez Centriste cette année! Comme tu vois, chaque grand artiste a son Mark David Chapman potentiel! Le lecteur attentif comprendra pourquoi j’ai demandé à ne plus être associé à ce cravaté pseudo-révolté, jaloux et faussement accueillant! Je connais bien le profil psychologique de Kung Fou Panda, puisqu’il l’a si gentiment étalé un peu partout sur son blogue. Je comprends très bien sa souffrance, je la goûtai avec un soupçon d’abandon, pour finalement en savourer la pleine indifférence!
Donc, Renart, par respect pour toi et tes lecteurs, mais aussi parce que tu as une nétiquette, tu pourras retirer mes commentaires auxquelles un dialogue de sourd est proposé entre moi (le génie suffisant) et Kung Fou Panda… Je me m’abaisserai plus à répondre à ce petit être blessé, cherchant avec une obsession maladive, le conflit dans les moindres replis de mes interventions.
Tu dois te dire Renart: « calice que j’étais ben dans l’bois! avec les mouches noires et les maringouins! » C’est à force de fréquenter le genre humain qu’on finit par aimer l’appel miraculeux de la nature et de la famille!
Tiens ça pourrait faire un slogan pour JF Plante!
Patrick,
je ne vais rien effacer, mais, franchement, ça commence à faire!
Je ne comprends pas vraiment votre mésentente, et je ne suis vraiment pas intéressé de le savoir, alors il m’apparaît que mon blogue en subit seulement quelques dommages collatéraux…
Je te comprends très bien!
Il me semble que jamais je n’ai eu de prise de bec ici avec un collaborateur. Mieux, même Jean Vitchier n’a jamais eu à sortir la poigne pour se faire entendre! Il a baissé ses culottes, mais il a toujours gardé son poing à hauteur de la procréation!
De tout mon passage sur le net, je n’ai jamais été « l’agresseur » ou l’instigateur d’une bataille, jamais…
J’ai, par exemple, toujours été l’homme de la réplique, celui qui fait chauffer le point de Godwin à plein régime! j’assume, je ne peux être objectif dans le cas de Kung Fou Panda, mais en revenant ici sur une base plus « régulière », n’était pas une attaque contre lui…
Qu’il commence par me crisser la paix, moi, son petit jeu puéril, je trouve que c’est de l’emo…
Tu as tout fait raison. Pardonne-moi, Renart, de troubler ainsi la quiétude de ton blogue.
On vient de m’accuser, dans le même commentaire, d’être un sale bourgeois, un collabo et un meurtrier potentiel. Décidément, je suis une menace sérieuse. Mais ça passe la nétiquette, apparemment.
Amusez-vous bien. Je ne nous importunerai plus. Il n’y a pas assez de place ici pour moi et l’ego du Grand Artiste.
Oui Patrick, je te crisse la paix. Une fois pour toute. Si tu te cherches des admirateurs, observe-toi dans le miroir. Ils sont tous là.
Nicolas,
bon, maintenant je suis mêlé à ça, je te semble être de l’autre bord. Misère…
Quand je parlais de « dommages collatéraux », je pensais que c’était évident que je signifiais seulement que je ne voulais pas m’en mêler.
Si tu y tiens, je peux bien effacer ce que tu veux que j’efface. Mais bon, je n’ai pas demandé à ce que vous veniez continuer votre guerre ici, et je n’ai surtout pas demandé à trancher, puisque vous vous battez tous les deux, à votre manière. Et si c’était un de mes billets qui avait parti le bal, je considérerais la chose autrement.
Ça me désole beaucoup de voir que tu m’en veux.
Je ne t’en veux absolument pas, Renart, et tu n’as rien à voir dans toute cette affaire. N’efface rien et je ne veux surtout pas que tu tranches en faveur de quelqu’un. Il s’agit d’une querelle débutée ailleurs et qui se termine ici, par accident, et je le regrette sincèrement. Pour éviter de futurs dérapages, je préfère me retirer sur mes terres, où tu es toujours le bienvenu, ainsi que tout ceux capables d’humilité.
@Nicolas
Je n’ai peut-être pas assez d’humilité pour toi, mais j’en ai assez pour admettre que ma partie de l’échange ici était tout à fait hors propos. Ces quelques lapidations futiles n’auraient jamais dû sortir du clavier…
@Renart,
Tu peux effacer ma part de l’échange; je ne suis pas présent sur internet pour affronter en duel des gens avec qui je ne partage pas l’éthique de leur vie. Visiblement ça ne donne strictement rien de meubler un blogue avec un échange qui n’aurait jamais dû exister. On s’emporte bien souvent, mais dans le fond ce n’est que la floraison de toutes nos blessures respectives qui explose.
Nicolas,
super! Ça va bien finir par finir…
Patrick,
bon, s’il te plaît, j’aimerais que mon commentaire soit le dernier concernant cette affaire, merci!