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Joseph Facal jette à nos visages les bases du statu quo gluant dans lequel nous sommes empêtrés. À lire et à méditer, quels que soient vos opinions et penchants.
Et il termine son billet avec une phrase que j’ai eu envie de poursuivre ici pour vous : « Nous vivons décidément la petite noirceur. » Et j’ajoute : même si elle est ponctuée de luminescences qui malheureusement captent toutes l’attention.
J’entends par là le cancer de la civilisation, c’est-à-dire le sensationnalisme. Et il est tellement là ce sensationnalisme qu’il sert de barème pour tout ce qui est en dehors du domaine privé, quand il ne tente pas justement de le percer pour arriver à ses fins. Quand le politicien jongle avec la langue de bois, c’est du sensationnalisme qu’il a peur. Quand un journaliste abaisse volontairement son QI pour flatter le consensus mou, c’est le sensationnalisme qu’il invoque.
Si Jean-François Mercier a eu besoin d’imager son trouble dû à la polémique du Bye Bye 2008 en se rasant le coco et en se le maquillant d’une cicatrice de lobotomisé, c’est qu’il sait très bien que le sensationnalisme sera là pour l’aider à faire passer le message.
Et c’est une maladie qui s’attrape, mon système immunitaire est justement en train de la combattre.
(Photo : Olivier Jean)
Je regarde la cicatrice là… Pis j’suis juste un pseudo cook… Mais y’a de l’infection! Devrait se soigner celui-là au lieu de courrir après la marde
Pourquoi « pseudo cook »? ;(
« J’entends par là le cancer de la civilisation, c’est-à-dire le sensationnalisme. »
Je ne suis pas trop d’accord avec cette phrase. À mon avis, le cancer de la civilisation serait représenté par notre obsession de satisfaire notre égo.
Bon, alors, il y en a plusieurs… 😉