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Le titre de ce billet est une minime modification de mon dernier statut Facebook.
Ça m’arrive cycliquement d’avoir une baisse. J’ai comme l’impression de ne pas avoir assez de temps pour aborder tout ce que je voudrais aborder, mais si je le faisais ça serait trop en surface (il y a surface et surface!), alors je ne trouve pas l’énergie pour entamer quoi que ce soit : autrement dit, c’est de l’énergie qui se perd dans les dédales administratifs de mon cerveau. Ça gèle en mottons au lieu de circuler normalement, voire même sortir pour mieux revenir.
(Eh! que je peux être ésotérique! Tellement, que j’ai regardé Une pilule une petite granule et un reportage sur la luminothérapie m’a fait de l’oeil, moi qui a toujours été un peu sceptique par rapport à ça.)
Comme toujours, ça va revenir.
Sûrement demain après avoir vogué au travers de ma journée dans tous les sens. Une autre manière de parler des rêves. Même si, pour moi, ces deux mondes ne se côtoient pas consciemment.
Les rêves, c’est pour les autres. Je devrais me dire plus souvent qu’au lieu de ça je les vis.
Ça arrive à tout le monde un jour ou l’autre… mais ça revient toujours, enfin, c’est ce que je NOUS souhaite!
Cette phrase est un bijou : « de l’énergie qui se perd dans les dédales administratifs de mon cerveau ». Quand t’as dit ça, t’as tout dit. Suffit alors de trouver la brèche et de la colmater.
Comme dis Zoreilles, tu as trouvé les bons mots pour decrire ton probleme. On comprend tout de suite pourquoi ca ne marche plus.
Bon, attendons alors que ca revienne.
On dit souvent que l’intérieur de sa maison est le reflet de notre intérieur émotif. Notre blogue est peut-être aussi le reflet de notre vie émotive.
Je passe régulièrement par ces périodes de tout vouloir laisser tomber. Le pire est évidemment le manque de temps pour aller au fond des choses et participer à tous les débats qui m’intéressent. Cela laisse un sentiment de frustration de ne pas pouvoir faire un travail complet et adéquat.
Quand je me suis fais remplacer pour 3 semaines sur le blogue des 7 du Québec, en réalité dans ma tête c’était le début de ma démission. Finalement, je suis revenu et j’ai continué. Mais pour combien de temps avant que je me fasse ébranler encore une fois?
Il y a le blogue, la vie personnelle, professionnelle… Nous reste-t-il encore une vie???
Prend soin de toi Renart, peu importe les changements que tu apporteras dans ta vie.
Voyons mon beau Renart que se passe t-il avec toi? Dis-moi que t’es comme Jean Charest avec la plotte à terre!
J’espère que l’inspiration va te revenir et que tu vas nous pondre encore des billets intéressants.
Ça me rappel le début de ma fin, je souhaite que ce ne soit pas la tienne. Mais il faut dire que quand notre réalitosphère va bien, c’est plus facile de garder le cap, alors tu as plus de chance de rebondir avec tout ce qu’il y a de positif qui t’arrive.
Je suppose que la fin de ta collaboration avec les 7 n’est pas étrangère à cet état d’esprit. Continue à faire les bons choix ! Mais t’éloigne pas trop de la blogosphère, la réalité te rattrape tellement vite que tu n’arrives plus à te convaincre que tu pourrais avoir le temps de t’y remettre !
Personnellement, à chaque fois que j’ai annoncé que je n’avais plus trop d’inspiration ou que je pensais faire une pause, je me ramassais à écrire un billet inspiré le lendemain. 😛
Donc oui, dans ton cas, je suis assez confiante que ça va revenir.
Sinon, il faudra bien que je te téléphone plus souvent! hé hé
Zoreilles et Reblochon,
ça va déjà un peu mieux, merci.
Mais j’aurais dû spécifier que la semaine de remplacement chez Branchez-vous!, à jouer à la police (ou plutôt au gardien de cours d’école) m’a vraiment rentré dedans…
Raymond,
« Il y a le blogue, la vie personnelle, professionnelle… Nous reste-t-il encore une vie??? »
pour ma part, je n’ai pas trop tendance à séparer ma vie en compartiments, puisque souvent la ligne entre le travail et la passion est difficile à départager, mais oui, je trouve parfois que ce qui se passe dans la virtualité est de l’intrusion au point où le sentiment de vivre est en déficit.
Ça devrait être moins difficile à gérer pour les générations futures…
Internationaliste,
« J’espère que l’inspiration va te revenir et que tu vas nous pondre encore des billets intéressants. »
absolument.
Tétoine,
« Mais il faut dire que quand notre réalitosphère va bien, c’est plus facile de garder le cap, alors tu as plus de chance de rebondir avec tout ce qu’il y a de positif qui t’arrive. »
ça ressemble à ça, enfin, j’espère.
« Je suppose que la fin de ta collaboration avec les 7 n’est pas étrangère à cet état d’esprit. »
Pour ce qui est des 7, le point principal c’est la date de tombée, parce que je veux continuer d’écrire sur la politique. J’en ai à respecter sur BV alors que c’est du travail, pour le plaisir j’aime moins…
Noisette,
« Personnellement, à chaque fois que j’ai annoncé que je n’avais plus trop d’inspiration ou que je pensais faire une pause, je me ramassais à écrire un billet inspiré le lendemain. »
pour l’instant, c’est une caricature!
« Sinon, il faudra bien que je te téléphone plus souvent! hé hé »
Je n’ai vraiment rien contre! 🙂
En parlant de ca, tu m’avais promis qu’on se referait une bouffe un jour. Alors je ne suis pas pressé, mais avant douze ans ca m’arrangerait quoi 🙂 Ca me ferait bizarre de te voir debarquer avec une ado.
Au printemps, je sens que je vais me sentir plus sorteux… 😉
Au pire, publie des choses en surface, ou des mots-clefs de ce qui pourrait t’inspirer mais qui ne t’inspire pas. Qui sait, peut-être y aura-t-il des gens qui pourront s’en inspirer en commentaire?
Pas fou.
OUais, ca serait une nouvelle vision du blog participatif. Tu privatises les commentaires. Tu poses un mot et tu laisses les autres bosser 🙂
J’ai toujours su que tu etais capitalistes dans le fond de toi.
T’es vite sur pied, toi, dis donc! Tant qu’à être en panne d’inspiration, ou d’avoir le blogue à terre, j’aimerais ça l’être de même…
;o)
Bonne nouvelle pour nous tous!
Pascal Renart L’éveillé rides again…
Reblochon,
hé hé!
Zoreilles,
dans le fond, ce billet était le coup de pied au cul qu’il me fallait!