Nous sommes en sursis
Le bonheur n’est pas une fin en-soi mais bien un succédané
Fort en calorie
Vide
Ce sera ce lieu commun puisque rien d’autre ne me vient
Ce sera surtout ce vide
L’espoir réside dans la possibilité que quelque chose en ressorte
j’aime beaucoup cette réflexion, c’est le genre de phrase courtes qui fait réfléchir pas mal plus longuement que le temps que l’on prend à les lire.
Je suis content que ça te plaise. J’ai écrit ça pendant et après avoir revisionné Zeitgeist, ce qui sera en partie l’objet de mon prochain billet.
Votre site s’est grandement amélioré, je dois donc reviser mon verdict initial et vous dire bravo. VOus y mettez beaucoup de temps chaque jour?
mh
Ce silence peut-il en dire long?
MichelMichel Hébert,
merci pour ce verdict positif!
Pour ce qui est du temps que j’y mets, j’y passe pratiquement tout mon temps libre (je travaille seulement environ 20 heures par semaine comme DJ pour gagner mes sous). Mais cela comprend aussi tout ce que je fais et j’écris en dehors, sur les autres blogues, bien sûr.
JP,
je ne suis pas certain de comprendre à quoi tu fais allusion…
À rien de précis… Je me demandais simplement ce qui faisait en sorte que toi, Renart, en soi réduit à quelques mots sur les thèmes du vide et de l’espoir? En fait, je posais la question dans l’espoir d’une réponse, puisque tu dis que «l’espoir réside dans la possibilité que quelque chose en ressorte». L’interrogation est une possibilité, non?
JP,
comme je l’écrivais à Y-man plus tôt, j’ai commencé à écrire ça alors que je visionnais Zeitgeist.
Comme ce documentaire remet en question la réalité et les croyances, ça m’a fait penser que nous sommes en sursis, en attente du futur quel qu’il soit, libre à nous de l’accueillir, soit avec nos préjugés, soit après avoir fait le vide…
Aussi, je vois le vide comme étant un peu de découragement devant l’état des choses, devant l’incertitude de la vérité colportée par les uns et par les autres.
Pour ce qui est du bonheur, il est dans le chemin et non dans l’arrivée, qui est en plus inatteignable par la conscience, puisque l’ultime arrivée c’est la non-conscience, la mort, la fin.
Donc, oui à l’espoir, qui sert de corde pour s’accrocher après avoir atteint le vide. C’est pour ça le titre, les rebours et les rebonds font référence à la courbe d’humeur qui fluctue, la perception qui recule et avance pour mieux évoluer. Ce qui me fait beaucoup penser à un graphique, un tableau comme on en voit partout et qui expose des données mises en lien sous la forme d’un tracé.
je souhaiterais vraiment aussi que ça soit Obama, merci de votre billet ça nous éclair beaucoup.
Ti-pisenlit,
ça me fait plaisir! 😉