Ça me fait mal de voir des voitures passer dans la rue et ça me brûle de toucher le plastique de mon clavier.
Je n’exagère pas du tout en écrivant que la majorité des troubles sur cette Terre viennent de près et de loin de cette foutue industrie de l’or noir.
C’est visqueux.
Ça me dégoûte.
Ce n’est pas pour rien que j’écris plus sur le Québec que sur la Birmanie, car avec ce qui se passe ici je peux digérer après avoir mangé.
Et là j’ai mal au coeur.
Ma rage ne sait plus comment en découdre.
Je ravale pour ne pas cracher en l’air.
le problème n’est pas l’or noir. Il y avait des problèmes au XIX siècle au temps ou les moteurs à combustion n’existaient pas encore, le vrai problème c’est l’avidité de l’homme, avide de pouvoir, avide d’argent, avide de jeunesse. Quand les réserve d’or noir auront été épuisées, les problèmes vont continuer d’exister
y-man apporte un bon point.
Le problème c’est l’homme et son avidité. De l’or noir y’en aurra plus bientôt, on va trouver un autre moyen de détruire la planète en remplissant les poches d’une pognées de milliardaires…
Les gars,
ce n’était pas très analytique comme texte, je l’avoue…
Je venais de voir le photographe japonais se faire tirer dessus.
Et bien, je veux pas être celui qui casse le party… Je suis d’accord que l’humain est avide et que le pétrole est en train de tuer notre raison de vivre (la terre).
Mais il existe des gens qui en ont conscience et qui tentent, dans leur quotidien, de diminuer les ravage de l’humanité. Nous sommes déjà 4 ici, je crois! Cela fait des années que les gens se plaignent de ces problèmes.
Le temps des plaintes est révolu! Il est l’heure d’agir!
c’est bien beau agir, mais quand quelqu’un aura une solution pour faire comprendre à des milliardaires que leurs tas d’argent est pas important, là ça plus valoir la peine…
J’ai l’impression qu’a chaque fois qu’on fait de quoi, ces gens là se réunissent pour nous rire dans la face.
@Renart, c’était dégueulasse comme assassinat…
JP,
c’est certain qu’il faut agir, et je crois que nous agissons un peu à notre manière en étalant nos questionnements et opinions ici sur le web. C’est sûr qu’il faudrait faire plus…
Iamwormbuffet,
« c’est bien beau agir, mais quand quelqu’un aura une solution pour faire comprendre à des milliardaires que leurs tas d’argent est pas important, là ça plus valoir la peine… »
C’est lourd de vérité ça. Mais quand la majorité de la population se sera ouvert les yeux, je crois qu’ils riront beaucoup moins…
Et des petites victoires comme celle de la fermeture du blogue-poubelle d’Élodie me donnent confiance.
Salut Messieurs,
Note: Je n’arrive plus à me logger sous mon ancien pseudo, frankybolds.. Me voici donc sans apparâts!
Vous êtes dans le vrai en pointant l’avidité de notre espèce.
Mais, je n’arrive pas à croire que c’est la masse, nous-mêmes, qui soit à pointer.
Oui, nous sommes de réels moutons lorsqu’il s’agit d’augmenter son niveau de popularité dans la société qui nous entour. Mais, nous SUIVONS quand même quelqu’un.
Nous suivons nos leaders. Eux qui sont nos élus et qui planifient et modèlent notre environnement de consommation. Car nous vivons, en bout de ligne, dans une société de consommation. Notre structure politique en est totalement assujettie. À tel point que des gens comme D.Rockefeller, qui sont des champions de l’industrie de consommation, du capitalisme sans lendemain, arrivent avec ces « qualités » et ces structures politiques bouchonnées – souvent le résultat de leur actions – à jouir d’un impact décisionnel sans aucune commune mesure lorsque comparé à nous tous, citoyens (consommateurs).
Donc, quelles « actions » envisagez-vous lorsque vous parlez d’agir?
Une quelconque action posée par un groupe de consommateurs ayant la responsabilisation en tête sera toujours, dans notre structure capitaliste, reçue par des actions opposée de la part des marchés (incluant leurs « chums » bien placés au sein du gouvernement). C’est de leur survie (celle des divins marchés) dont on parle dans de tels cas. Et, comme on le sait tous, ils ont plus de poids que n’importe quel groupe constitué de simples consommateurs. Qui gagne à chaque fois..?
L’amplitude de cette logique acceptée et controllée détermine l’amplitude du coup de barre à donner si on souhaite y changer quelque chose.
Moi, si les conditions arrivaient à le permettre, j’aimerais que le Québec (…) oblige toute entreprise désirant faire des affaires sur son territoire à créer une entité séparée spécifique au marché québécois et qui réserve une partie significative de la composition du nouveau CA aux citoyens de la zone concernée. Ceci pour les entreprises étrangères.
Mais, je conserverait le même principe pour les entreprises locales.
Et, je précise que ce pouvoir devrait revenir aux « citoyens ». Non pas au gouvernement.
La question:
Comment influer pour mettre en place ces fameuses conditions qui permetteraient un tel revirement?
« La question:
Comment influer pour mettre en place ces fameuses conditions qui permetteraient un tel revirement? »
Pour essayer de répondre le plus simplement à cette question, Franky, je pourrais te dire que ma manière d’influer concerne l’art, l’écriture, la musique, le chant. Si j’avais plein d’argent, ça irait encore mieux pour « influer » à ma manière… C’est sûr qu’il faudra regrouper nos forces en un organe ou un autre. Il reste à le définir.