Une amie m’a envoyé un lien vers le site du Mouvement québécois pour une décroissance conviviale. Elle a bien fait parce que je travaille pour eux sans le savoir depuis longtemps… Comme vous le savez, pour ceux qui me lisent régulièrement, la réduction de la croissance économique dans le but de réduire notre empreinte négative sur cette Terre est un de mes chevaux de bataille, sinon le plus vivant! Mon dernier texte critique envers la position verte de Stephen Harper en fait foi.
Alors oui, le terme « décroissance » est bien indiqué, mais pourrait faire peur. L’ajout de « conviviale » permet de le redresser vers la positive, mais je ne peux croire que la drouate sceptique accueille cette idée d’un bon oeil…
L’image vient du blogue français Colcanopa.
Je suis, aussi, défenseur de la décroissance conviviale. La surconsommation est un véritable fléau, autant pour la planète que nos vie sociales. Jamais la population n’as attaché autant d’importance à des babioles dont nous n’avons pas de besoin. Sans compter la quantité hallucinante de déchet que cela crée.
Je me bat aussi pour rétablir les brevets à leur forme initiales. De base, un brevet était émis pour préserver que la création d’une invention quelconque soit bien par tel personne. Jamais les brevets furent inventé à titre compétitif. Je regarde les compagnies tels qu’Apple et IBM qui émettent une quantité hallucinante de brevet pour empêcher les compagnies rivales (ou soutirer de l’argent) de les dépassé technologiquement. Or, cet compétition de brevet ne fait que ralentir notre progression technologique pour permettre à des compagnies, déjà trop riches, de se faire encore plus d’argent. Vivement l’innovation technologique coopérative.
La décroissance conviviale, quel beau terme et qui dit bien ce qu’il veut dire.
Oui, la surconsommation est un fléau.
J’aime tes textes, ils font beaucoup réfléchir.
Bonne journée
Félix,
je ne connaissais pas les faits en lien avec les brevets, merci!
Rosie,
Bonne journée à toi et merci pour l’appréciation de mes textes!