Saviez-vous que les billets de dollar « américain » sont émis par la Banque Fédérale de Réserve (FED), appartenant à des intérêts privés? Saviez-vous que l’argent crée ici l’est en majorité par les banques à charte privées, et donc que 94 % de la masse monétaire créée ne fait pas partie de la catégorie « monnaie légale » (qui sort des imprimantes de la Banque du Canada), mais bien dans celle des « promesses de paiement en monnaie ayant cours légal »? Aussi que la FED est propriétaire à 95 % de la Banque du Canada?
Si vous ne le saviez pas, la lecture du texte « L’escroquerie monétaire mondiale à votre portée » de JC Thériault, publié sur le site La Tribu du Verbe, pourrait vous en apprendre davantage. L’auteur y fait l’étalage des problèmes de notre système, assujettit au bon vouloir de quelques décideurs qui font des profits en additionnant et en soustrayant des chiffres comme par magie. Par exemple, pour rester dans la thématique de l’illusionnisme, dans son chapitre concernant la situation canadienne, il cite John Kenneth Galbraith (1908-2006), économiste canadien et conseiller économique de différents présidents des États-Unis, dont John Fitzgerald Kennedy, à propos de la création d’argent : « Le processus par lequel les banques créent de l’argent est si simple que l’esprit en demeure confondu. Quand il s’agit de choses aussi importantes, on est en droit de s’attendre à un mystère plus profond. »
Ce que l’auteur expose aussi, c’est l’impossibilité du règlement de la dette dans ces conditions. Car il est alors assez facile de comprendre que tout argent frais occasionne systématiquement un déficit au moment même où il est créé. Notre société doit de l’argent, et de plus en plus, à des individus simplement parce qu’ils existent, puisqu’il n’y a pas de travail à proprement parler de leur part : la famille Rothschild possède 53 % de la Federal Reserve Bank (qui, il ne faut pas l’oublier, est propriétaire à 95 % de la Banque du Canada — et, en passant, c’est assez bizarre qu’il n’y ait aucun membre de cette famille dans le haut du peloton du palmarès des plus riches de la planète…). Concrètement, cela donne ici une situation où dans son budget 2004-2005, le ministre Séguin « consacrait près de 7 milliards au Service de la Dette du Québec, soit presque 50 % des impôts sur le revenu », et soit 12,8 % du budget total. (À l’examen de ces chiffres, c’est une réelle chance que ayons encore d’autres revenus étatiques que les impôts!)
Mais le noeud du problème est surtout que, selon différents observateurs et experts, le système est sur le point d’éclater en un boom d’effondrement planétaire (quand la monnaie ne peut plus servir à acheter des biens étant donné la perte de confiance des gens en ce moyen de tractation) parce que « l’inflation est une politique délibérée et qu’elle se poursuivra sans fin », selon les termes de Ludwig von Mises (1881-1973), économiste autrichien qui a eu une influence appréciable sur le mouvement libéral et libertarien moderne. Et c’est dans la mesure du possible puisque les conditions ressemblent étrangement à « ce qui s’est passé avec la devise Continentale aux États-Unis en 1781, avec les mandats territoriaux français en 1796, et avec le mark allemand en 1023. Cela se reproduira chaque fois que les mêmes conditions apparaissent », encore selon les propos de cet économiste, mais ceux-ci tirés d’un article de William Bonner, historien et moraliste, paru dans La Chronique Agora, site d’information financière.
Et le pire, c’est que la sirène d’alarme sonne déjà, mais dans une fréquence qui passe inaperçue, car notre survie à (très) court terme n’est pas en danger. Mais pour combien de temps encore? L’avenir est dans une zone d’ombre, pour ne pas dire escamotée, mais le passé l’est tout autant : l’histoire d’horreur atteint son paroxysme quand on sait que lorsque « le président Kennedy a proposé une Loi visant à étatiser ce système financier privé, il est décédé subitement. »
J’aimerais sortir une phrase assassine, quelque chose de brillant… Mais y’a rien qui sort… Je vais me contenter d’être indigné et impuissant…
Bon je vais commencer à ramasser de l’or et de l’argent pour mes vieux jours. Merci pour l’avertissement.
Cette manie de produire plus de billets que la richesse reel du pays, me rappelle cet economiste qui expliquait que si tous les gens du monde (hors etats unis) retournaient leurs dollars US à la banque, c’en etait fini du soi-disant plus puissant pays de la planete… et nous avec bien sur. En fin de compte, le tiers-monde pourrait remettre sa monnaie aux ricains.
bonne soiree Renart
Plus les gens vont être au courant de ça, plus les instances gouvernementales n’auront pas le choix de bouger.
Sur UHEC (où mon texte est paru originalement), il y a eu un bon commentaire qui permet de penser qu’au États-Unis les choses pourraient changer :
« Pour ceux et celles ici qui l’ignorent encore, faites Ron PAUL sur YouTube, écoutez ses interviews et vous entendrez un homme qui pourrait changer les choses en commençant par la disparition de la Federal Reserve américaine ET du nom moins fameux IRS…! »
SOS, HELP, A L’AIDE!
Chers ami(e)s blogistes,
Le pays en voie d’industrialisation souffrent du système monétaire mondiale. Pire encore, les mmonaies locales disparaîssent peu à peu en Afrique. Sous la prédominence des dollars en circualation. Ces gens cherchent à s’en sortir et se voient coinçés par ce nouveau phénomène qui vient aggraver leur dénuement.
Avec 400$ seulement et quelques amis, nous avons démarrez sur place, en RDC un système de micro-crédit, qui ne nous rapporte rien. Tous y travaillons bénévolement sélon la Loi. Ca fonctionne bien. Les personnes nécessiceutes remboursent régulièrement leurs micro-crédits et trouvent dans le système un nouvel éspoir qui le font vivre. Malheureusement, très souvent, Ils ne remboursent leurs dettes qu’avec des billets hyper usagés, inutilisables et qu’aucune banque locale ne peut reprendre. Ces sont des dollars américains. Donc une monnaie étangère n’ayant pas cours.
Ces billets usagés font le drame de ‘la petite économie’ actuellement. Celle qui n’est pas analysée par les statistiques de la banque modiale pour influencer la possibilité de ces gens à s’autofinancer.
Et voilà, notre activité bénévole pour aider cette population qui cherche à s’en sortir, risque de fermé définitivement.
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Faute d’un vrai plan Marchall ou d’ aides véritables en lieu et place de ces petites aides qui n’arrivent qu’au compte goûtes et qui souvent ne font que les humilier, les initiatives comme celles-ci sont les seules à les aider à survivre. Et à se développer. Nous avons une dizaine de familles qui vivent actuellement grâce à notre organisation. Les enfants vont à l’école et mangent au moins un répas par jour.
Et nous disposons actuellement d’environ 1000$ qui ne peuvent être réinjecter dans notre système. Est-ce-que quelqu’un pourrait nous indiquer comment faire pour les faire échanger aux USA? Je viens de lire l’article de Renartléveillé sur la FED Federal Reserve Bank est-il possible d’avoir leur adresse?
Merci de votre aide et d’avoir piblié notr annonce!
Avez-vous songé à communiquer avec l’ambassade états-unienne sur place?
On seraient porté à croire qu’ils « devraient » pouvoir vous aider… (dans le meilleur des mondes…).
Bonne chance!
François, Roblochon a raison. C’est ce que j’éssaies de faire ici. Remettre aux Ricains ce qui est à eux! Mais à l’ambassade c’est impossible. j’ai déjà essayé. Ils disent que c’est pas leur rôle. la Bank of America ne veut même pas me répondre. Comme dit notre ami Roblochon, ils ne veulent pas que cet argent rentre chez eux, ça ferait remonter leur monnaie et les exportations chûteraient. Ruine totale. Entre temps ces pays qui sortent de guerre et qui changent souvent de monnaie cherchent une monnaie de changes qui ne va pas risquer d’être démonétiser. Et ils sont pris au piège avec les billets verts usagés que l’Amérique refuse; perte de valeur, argent thésorisé qui ne produit pas, fond de roulement inactif…la ruine de la ruine quoi. L’idéal pour nous c’est de trouver une ONG qui accepte de nous défendre et de aider. En allant échanger de l’argent pour nous et peut être, pourquoi pas faire une collecte pour nous renflouer un peu. Un partenaire par solidarité et charité humaine. Merci. En parlant de nous autour de vous; qui sait, une bonne âme fera sienne notre cause et nous viendrait sûrement en aide!