Extrait d’un manuel scolaire d’économie familiale domestique publié en 1960 au Québec… (source : Le Point en administration scolaire – Été 2006)
Si votre mari suggère l’accouplement, acceptez alors avec humilité tout en gardant à l’esprit que le plaisir d’un homme est plus important que celui d’une femme. Lorsqu’il atteint l’orgasme, un petit gémissement de votre part l’encouragera et sera tout à fait suffisant pour indiquer toute forme de plaisir que vous avez pu avoir.
Ajout (jeudi 27 mars 2008) :
Petite suggestion : quand vous aurez assouvi votre soif de matériel en lien avec l’accouplement, revenez donc faire un tour par ici, il y aura peut-être d’autres sujets qui vous intéresseront…
Renart L'éveillé / Carnet résistant 
J’aime le mot employé: « accouplement ». Ça sonne Canal D ^^.
Dire que ça ne date pas de tant que cela…
Mais qu’est-ce que je pourrais bien dire la dessu…je suis sans mots là!..HIHIiii! J’aurais donc été une vrai « Marie-Madeleine »!!!..HIhiiii! L’accouplement tu dis!.HIhiii Olala! » Petit cris qui lui fera savoir votre plaisir mais rien de plus!.. »HIHii!..Ouf! Je dois me mettre à écrire le nouveau tôme et ca presse! **oreille chaste s’abstenir!**..HIii!..merci mon cher..xox
« accouplement »: ça me donne envie de grogner comme un sanglier… chais pas si le mari idéal aimerait ça, par contre ? ;o)
Pareil comme chez-nous ; )
j’aime bien le choix de mot, accouplement 😛
Comme manx le pointe si bien, ça date d’à peine 50 ans, c’est pratiquement hier…
«accouplement»…mouahahah!
j’aime bien le mot accouplement cela parait comme si nous etions dans la jungle.
Le mot accouplement est super. Mais dîtes… la femme n’est elle pas un peu chosifiée là?
Et après ça il y en a qui ont le toupet de dire que ce n’est jamais arrivé au Québec qu’une femme soit forcée de s’«accoupler»? La mère de mon conjoint s’est fait refuser l’absolution parce qu’elle empêchait la famille après 5 fausses couches de suite!
Vous pensez vraiment que c’est par choix que les femmes avaient 12 enfants et parfois plus? ¨ca ne faisait pas seulement l’affaire de l’Église, mais souvent aussi celle du mari, qui pouvait ainsi se «vider» (la masturbation étant interdite).
Dans un article sur le Viagra dans la Presse il y a quelques semaines, une dame dans la soixantaine disait qu’elle maudissait le Viagra parce que la paix qu’elle espérait enfin avoir s’était envolée.
Je cite «J’ai 62 ans et je suis mère de six enfants aujourd’hui adultes. Il y a deux ans, quand j’ai commencé à voir diminuer l’ardeur de mon mari, qui a 64 ans, ce fut une immense joie pour moi. Et qu’est-il arrivé? On a inventé un médicament du nom de Viagra, et voilà mon satyre de mari à nouveau en selle. J’aime vraiment mon mari, mais j’estime avoir largement mérité du repos. Sans compter que ce médicament coûte 10$ le comprimé – la semaine dernière, il en a pris quatre…» http://www.cyberpresse.ca/article/20080323/CPACTUEL/803230638/6685/CPACTUEL
J’aimerais en savoir plus sur tes références. Est-ce que tu pourrais m’aider?
Merci
Melonne,
j’ai connu ça par ma conjointe qui m’avait apporté une photocopie… Les références que j’ai sont celles indiquées dans le billet.