Annick Poitras, rédactrice en chef de Jobboom écrit:
« Mais est-ce normal qu’un nombre croissant de jeunes diplômés bossent pour moins de 10 $ l’heure en 2006? Que des bacheliers, en ingénierie par exemple, travaillent à forfait, sans vacances ni avantages sociaux, en attendant ce «vrai» poste qu’on leur promet, mais qui ne vient jamais? Qu’un diplômé universitaire de 25 ans gagne aujourd’hui 1 000 $ de moins par mois qu’en 1985? C’est le coût mensuel moyen d’une hypothèque!
Non. Dans un pays qui s’enrichit, ce n’est pas normal. Mais tout indique que l’appauvrissement et la précarité des travailleurs sont en train de devenir la norme. Les conditions de travail sont revues à la baisse et ce sont surtout les recrues qui paient la note. C’est-à-dire les travailleurs X, Y et Z qui devront financer le coûteux Québec de demain.
Il va falloir sortir les cartes de crédit. Syndics de faillite, tenez-vous-le pour dit. »
Ça donne presque raison à ceux qui veulent contester les anciens gouvernements en votant pour l’ADQ… Sauf que je doute fort que M. Dumont fasse quoi que ce soit dans le sens de renverser cette tendance (c’est une blague d’appeler ça une tendance!). Avec son bras droit du patronat on penserait plutôt le contraire, non?
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acwo
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Le néolibéralisme engendre la pauvreté et la solution à Dumont c’est davantage de néolibéralisme. On a une pognée dans le dos, ou quoi?
Et oui, et c’est là-dessus que les gens devraient réagir!
PLus que 3 jours et on va être fixé sur l’avenir du Québec pour les quatres prochaines années… J’ai bien hâte de voir….