Il y a toujours un début. Un début tellement plein de souvenirs condensés, d’archives noircies qui n’apparaissent pas parce qu’elles sont dans l’avant tout. Elles ne font que colorer l’idée de départ. Elles pourraient faire exploser l’entre les lignes mais le cerveau s’harmonise toujours à la blancheur métaphorique de la « page blanche ». Alors derrière le fourmillement de ce qui apparaît se cache toujours beaucoup plus, exponentiellement beaucoup plus. Serait-ce ce qu’on appelle communément l’inconscient collectif?
Début
Published mars 9, 2007 poésie 1 CommentÉtiquettes : archive, Cerveau, Collectif, début, départ, inconscient, page blanche, souvenir
1 Réponse to “Début”